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Comment réussir un partenariat ONG/entreprise

Comment réussir un partenariat ONG/entreprise
Depuis le début de la crise financière de 2008, le business de la solidarité peine à se renouveler. En France, le budget global du mécénat a baissé de 20% en 2010. Aux Etats-Unis, les dons en faveur des plus grandes organisations à but non lucratif américaines ont diminué de 11%. Il est donc devenu indispensable pour les ONG de trouver de nouvelles sources de financement. De plus en plus, les associations se tournent vers les entreprises pour remédier à cette situation. Réalités Cependant, les motivations des deux parties sont parfois caricaturées; les ONG mettent en place des partenariats uniquement pour engranger toujours plus d'argent, les entreprises montent des partenariats pour "verdir" leur image. Créer une association de toutes pièces n’est pas chose aisée. Il est également nécessaire de diversifier les sources de revenus. Soupçons de greenwashing Les entreprises utilisent généralement leurs partenaires pour s’assurer une meilleure image auprès des consommateurs. L’exemple du WWF

Organisations non gouvernementales Depuis sa création, l’UNESCO a cherché à collaborer avec les ONG, qui sont des partenaires fondamentaux de la société civile pour la mise en œuvre des activités et des programmes de l'Organisation. Au fil des années, l'UNESCO a tissé un réseau précieux de coopération avec les ONG ayant une expertise dans ses domaines de compétence, à savoir l'éducation, la science, les sciences sociales et humaines, la culture, la communication et l'information. Actuellement, l’UNESCO entretient des partenariats officiels avec 373 ONG et 23 fondations et institutions similaires. En dehors de ce cadre institutionnel formel, l’Organisation entreprend toute une série d’activités avec des ONG, non seulement aux niveaux international et régional mais aussi au niveau national. Allier son expertise et ses ressources à celles des ONG permet à l'UNESCO de : En savoir plus sur le partenariat officiel.

L'avocate des enfants perdus "Le droit, c'est magique!", s'exclame Laurence Tartour avec émotion, en regardant les codes civils et pénaux qui s'empilent sur les étagères de son cabinet. Assise à son bureau, l'avocate à la chevelure noire volumineuse et au rouge à lèvres écarlate pourrait parler du droit des enfants pendant des heures. "Il faut aller au tribunal et demander une autorisation pour assister à une audience. Ca vaut le coup", encourage-t-elle, enthousiaste. Cette femme de 46 ans au caractère bien trempé est avocate au Barreau de Paris. Même si elle dirige seule son cabinet dans le centre de Paris depuis treize ans, elle dédie l'équivalent d'une journée par semaine au droit des enfants à l'Antenne des mineurs. "Je vous ai apporté des bananes !" Défendre des personnes en difficulté est une "vocation", loin d’être aussi rémunératrice que d’autres domaines du droit. La prise en charge d'un enfant, comprenant son audition, l'audience et le suivi, lui rapporte environ 90 euros. Avocate solidaire?

Une interface ONG – entreprises, pour quoi faire ? Vous êtes une entreprise ? Vous souhaitez développer un partenariat avec une ONG mais ne savez pas vraiment vers qui vous tourner ? Vous souhaitez engager votre entreprise dans la solidarité internationale mais vous ne savez pas encore comment ? L’interface est un outil où vous trouverez toute l’info nécessaire pour mieux connaître le secteur des ONG de solidarité internationale et les différents types de partenariat possibles. Cette interface est le résultat d’une étude commanditée en 2010 par Coordination SUD la coordination française des ONG de solidarité internationale et le Medef et réalisée par le cabinet Be-Linked, pour établir un état des lieux des partenariats entre ONG de solidarité internationale et entreprises. Cette interface est un outil d’information et de mise en relation à destination des entreprises, qui vise à faciliter les partenariats avec les ONG de solidarité internationale. Découvrez les différents types de partenariat. En savoir plus

Organisations humanitaires Mise à jour le 24 janvier 2017, proposez vos liens ACODEV: Fédération des ONG de coopération au développement (Belgique) ACTION DAMIEN: inspirée du Père Damien (canonisé fin 2009) et de Raoul Follereau, la Fondation Damien est une ONG belge qui lutte contre la lèpre et la tuberculose dans 16 pays d'Afrique, d'Asie et d'Amérique latine AFRIQUE POSITIVE: une association humanitaire française qui œuvre pour l'éducation des enfants en Afrique AIDE et ACTION: une association de solidarité internationale créée en 1981 dont l'ambition est de favoriser l'accès à une éducation de qualité pour tous AMREF: Association pour la Médecine et la Recherche, l’AMREF est une ONG africaine de santé publique dont le siège est à Nairobi au Kenya, elle trouve ses origines dans les "Flying Doctors", association de médecins qui parcourent l’Afrique de l’Est pour apporter une aide médicale et chirurgicale aux populations en situation précaire et les plus reculées

"Je n’attends pas grand-chose du G20 de l’Agriculture" Jacques Berthelot, économiste français, ancien maître de conférences à l'École nationale supérieure agronomique de Toulouse et spécialiste de l’analyse des politiques agricoles pour l’ONG Solidarité explique les enjeux du sommet. Youphil: Qu’attendez-vous du G20 de l’Agriculture? Jacques Berthelot: Je n’en attends pas grand-chose. Le G20 n’est pas une structure capable d’imposer ses décisions à l’ensemble de la planète. On n'a par exemple pas parlé du rôle des productions de maïs américaine et européenne. De plus, lorsque le prix du pétrole augmente, le prix de l’éthanol augmente aussi, ce qui favorise la spéculation sur le maïs. Le G20 n’aura pas d’impact parce que les participants, Etats-Unis, France et Canada en tête, souhaitent réduire la volatilité des prix, mais certainement pas les baisser. Youphil: Le G20 doit également se concentrer sur la prévention des crises alimentaires… Le meilleur exemple est le Kenya. Youphil: Le G20 va-t-il aborder le problème de l’accaparement des terres?

Dangers et risques de la Nanotechnologie - Les Nanotechnologies Malgré les progrès que la Nanotechnologie apporte à notre vie, elle présente également d'énormes dangers pour les êtres vivants. Les industriels travaillant à partir de ces nouvelles technologies sont les premiers touchés. Ces dernières vont affecter dans les années à venir beaucoup plus de personnes, car la nanotechnologie est une science du futur : tout le monde aura la possibilité de l'exploiter. Les conséquences de ces nouvelles technologies mettent en place de nombreux débats où divers avis s'opposent entre progrès et environnement. De jour en jour on peut voir l'avancement de la technologie et plus particulièrement celle du Nano. Les risques encourus par l'organisme de l'être humain ou tout autre cellule vivante sont aussi envisagés : la taille d'un de ces robots peut atteindre celle du nanomètre et interagir avec les cellules du corps. Ce schéma d'une partie du corps humain présente les principales zones d'accès aux nanoparticules.

Notre partenariat avec Gide | Parrainage d'enfants et aide au développement - ONG Plan International France Le cabinet d’avocats Gide est partenaire de Plan International France depuis 2011 par le biais d’un mécénat financier et de mécénat de compétences. Fondé à Paris en 1920, Gide est l'un des principaux cabinets d’avocats internationaux, avec ses 14 bureaux à travers le monde. Il rassemble 600 avocats, dont une centaine d’associés, de 35 nationalités différentes représentant 41 barreaux dans le monde. Favoriser l’insertion professionnelle des jeunes issus de la migration interne à pékin Gide a soutenu un programme de lutte contre la malnutrition maternelle et infantile au Vietnam, puis un programme de santé maternelle et infantile au Togo. Désormais, Gide soutient un programme d’insertion professionnelle des jeunes issus de la migration à Pékin, en Chine. Le cabinet apporte également son soutien à Plan International France via du mécénat de compétences. En savoir plus sur Gide Découvrir le projet d’insertion professionnelle des jeunes issus de la migration interne à Pékin

"Les Etats-Unis et l'Europe ne peuvent plus ignorer les pays émergents" Dans quelques jours le Fonds Monétaire International (FMI) va nommer son nouveau directeur. Deux candidats sont en lice: la ministre française de l’économie, Christine Lagarde, et le directeur de la Banque Centrale Mexicaine, Agustin Carstens. Alors que de nombreuses voix se sont élevées pour demander une plus grande représentation des pays émergents dans l’institution, Nicolas Véron a répondu à nos questions sur les enjeux de ce débat. Youphil: Le nouveau directeur du FMI doit-il venir d’un pays émergent selon vous? Et pourquoi? Nicolas Véron: Il y a un déséquilibre: les principales institutions publiques économiques et financières mondiales sont basées en Europe et aux Etats-Unis et sont dirigées par des Européens et des Américains. En même temps, les pays émergents représentent une part croissante de l’économie mondiale. N.V: La symbolique est très importante. Il n’est pas évident de savoir lequel est le plus libéral ou interventionniste.

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