Les nouvelles formes du travail sont-elles solubles dans le management Les nouvelles formes du travail (travail mobile, travail à distance, travail collaboratif…) peinent à se développer en France, estime Xavier de Mazenod (@xm), responsable de l’agence Adverbe et animateur de ZeVillage, un réseau social qui interroge les nouvelles formes du travail. Malgré l’enthousiasme des salariés pour un travail qui s’adapte à leurs modes de vies, ces nouvelles formes achoppent sur la difficulté du management à remettre en question les principes qui le fondent : la compétition, le caporalisme, la hiérarchie, le cloisonnement… Alors, oui, « à quand la révolution du management ? » Les réactions de peur dans le débat posé par Newsring sur la généralisation du télétravail sont très éclairantes sur la manière binaire d’aborder le sujet. Ces peurs, ce retard culturel expliquent en partie un certain retard du développement du télétravail en France. Pire, les entreprises sont peu intéressées voire hostiles. Côté syndicats, l’hostilité à priori a disparu. Xavier de Mazenod
Système éducatif français Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le système éducatif français est très centralisé, piloté par le ministère de l’Éducation nationale. Depuis 1959 (réforme Berthoin), l’instruction y est obligatoire de 6 à 16 ans, mais l’école à la maison est légale (quoique marginale). Il existe plus de 65 000 établissements scolaires, relevant pour la plupart du ministère de l’Éducation nationale, même si environ 15 % (primaire) à 20 % (secondaire) des élèves sont dans des établissements privés. Les effectifs totaux d’élèves et d’étudiants atteignent 15 millions, c’est-à-dire qu’un quart de la population suit des études. Selon le programme PISA de comparaison des systèmes éducatifs nationaux, les résultats du système éducatif français sont moyens par rapport aux autres États membres de l'OCDE, et régressent en matière de lutte contre les inégalités[3]. Histoire[modifier | modifier le code] Organisation générale[modifier | modifier le code] L’État est par conséquent responsable :
ENS-LSH - section de sociologie Séminaire de formation à la recherche Méthodes quantitatives Les Héritiers Pierre Bourdieu et Jean-Claude Passeron (1964) fiche de lecture réalisée par Marlène Benquet BOURDIEU Pierre, PASSERON Jean-Claude (1964), Les Héritiers. [lire ou télécharger cette fiche au format Word] [lire ou télécharger cette fiche au format PDF] L’ouvrage de P. L’objectif de l’ouvrage est de réinscrire l’étude des étudiants de l’enseignement supérieur dans une sociologie des inégalités devant l’école, en travaillant contre l’idéologie scolaire et une certaine sociologie de l’école. L’ouvrage est organisé en trois moments. Mais quel peut-être l’intérêt d’un tel ouvrage dans le cadre d’une réflexion sur les parcours scolaires improbables, et plus précisément, sur les étudiants issus de milieux sociaux fortement dotés en capital symbolique et pourtant engagés dans des parcours d’échec scolaire ? Ainsi, l’inégalité devant l’école est d’abord l’inégalité des chances d’accès à l’université.
Pour un savoir engagé, par Pierre Bourdieu S’il est aujourd’hui important, sinon nécessaire, qu’un certain nombre de chercheurs indépendants s’associent au mouvement social, c’est que nous sommes confrontés à une politique de mondialisation. (Je dis bien une « politique de mondialisation », je ne parle pas de « mondialisation » comme s’il s’agissait d’un processus naturel.) Cette politique est, pour une grande part, tenue secrète dans sa production et dans sa diffusion. Et c’est déjà tout un travail de recherche qui est nécessaire pour la découvrir avant qu’elle soit mise en œuvre. Ensuite, cette politique a des effets que l’on peut prévoir grâce aux ressources de la science sociale, mais qui, à court terme, sont encore invisibles pour la plupart des gens. Autre caractéristique de cette politique : elle est pour une part produite par des chercheurs. Maintenant, que va faire ce chercheur dans le mouvement social ? Pourquoi peut-on être optimiste ? Il faut prendre des risques.
Dossier - Pourquoi on pédale dans le vite ? D’où vient ce sentiment de vivre de plus en plus vite tout en faisant du surplace ? Entre mutation technique, économique et même métaphysique, quatre philosophes examinent les ressorts du temps nouveau. Hartmut Rosa Sociologue, professeur à l’université Friedrich-Schiller d’Iéna (en Allemagne), il est l’auteur d’Accélération. Bernard Stiegler Philosophe, Bernard Stiegler dirige l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) au sein du Centre Georges-Pompidou et préside l’association Ars industrialis. Françoise Dastur Professeur émérite à l’université de Nice Sophia-Antipolis, Françoise Dastur est spécialiste de phénoménologie. Etienne Klein Physicien et philosophe des sciences, il dirige le Laboratoire des recherches sur les sciences de la matière (Larsim) du Commissariat à l’énergie atomique (CEA). Publié dans n°57 Mars 2012
Bernard Stiegler Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'article doit être débarrassé d'une partie de son jargon (août 2012). Sa qualité peut être largement améliorée en utilisant un vocabulaire plus directement compréhensible. Discutez des points à améliorer en page de discussion. Pour les articles homonymes, voir Stiegler. Bernard Stiegler dans les années 2000. Bernard Stiegler, né le à Sarcelles[1], est un philosophe français qui axe sa réflexion sur les enjeux des mutations actuelles — sociales, politiques, économiques, psychologiques — portées par le développement technologique et notamment les technologies numériques[2]. Bernard Stiegler, lors des 11e ROUMICS[3] en 2014 à Lille, discutant de la question du « Bien commun » avec Amandine Piron[4] ; Michel Bauwens ; Michel Briand[5] ; Simon Sarazin et Emmanuel Vandamme[6] Simon Sarazin[7] Éléments biographiques[modifier | modifier le code] Du PCF à la prison[modifier | modifier le code] Les années 1980[modifier | modifier le code]
mobilité sociale La mobilité sociale La mobilité sociale intergénérationnelle signifie la possibilité d'évoluer sur une ou plusieurs générations d'une strate à une autre. Cette possibilité est ouverte par l'égalité des droits, mais l'influence de la famille et plus largement du milieu social d'origine apparaît souvent comme un obstacle à cette mobilité. On prétend que lever ces obstacles permettrait de réaliser l'égalité des chances mais l'actualité nous montre que pour obtenir ce résultat on devrait sacrifier l'égalité des droits. I. A. 1. On peut opposer les sociétés aristocratiques que sont les sociétés féodales et les sociétés de castes dans lesquels les statuts sociaux sont assignés par la naissance aux sociétés démocratiques dans lesquelles la mobilité sociale est possible et permise par le principe d'égalité devant la loi. 2. Concentration méritocratique : l'ENA B. 1. La structure des professions évolue tout au long du développement. 2. Mesurer la mobilité sociale 3. II. A. Inégalité et formation B.
Commentaire de texte philo : Kant, la nature, l'homme et l'animal | La Philo facile Voici un commentaire de texte de philo complet, à partir d’un extrait de Kant sur la nature et ses dotations faites à l’homme. Rédigé par Nicolas Bogler, il permet de distinguer l’homme de l’animal et de comprendre le passage de la nature à la culture. Le texte “La nature a voulu que l’homme tire entièrement de lui-même tout ce qui dépasse l’agencement mécanique de son existence animale et qu’il ne participe à aucun autre bonheur ou à aucune autre perfection que ceux qu’il s’est créés lui-même, libre de l’instinct, par sa propre raison. La nature, en effet, ne fait rien en vain et n’est pas prodigue dans l’usage des moyens qui lui permettent de parvenir à ses fins. Donner à l’homme la raison et la liberté du vouloir qui se fonde sur cette raison, c’est déjà une indication claire de son dessein en ce qui concerne la dotation de l’homme. Kant, Idée d’une histoire universelle d’un point de vue cosmopolitique Explication détaillée Les mises en perspectives : Marx et Arendt
#lift12 : La fin de la maison On se souvient de la remarquable intervention de la chercheuse Stefana Broadbent à Lift France 2010et de son tout aussi remarquable livre, L’intimité au travail (voir notre interview). Après nous avoir parlé de nos espaces de travail, la chercheuse, responsable du laboratoire d’anthropologie numérique de l’University College de Londres revenait sur la scène de cette 7e édition de Lift pour évoquer ce que les technologies changent dans le coeur même de nos foyers : la maison. L’anthropologue Stefana Broadbent commence sa présentation par une image. Celle de trois petites filles, pieds nus, assises côte à côte sur un canapé, chacune l’attention rivée à son ordinateur portable. « Quand on montre cette image, beaucoup de gens la trouvent triste et à la fois représentative de notre époque ? Pour Stefana Broadbent, l’attention est éminemment une question sociale. L’environnement coercitif pour contrôler l’attention est aussi domestique L’intégration de la sociabilité dans l’habitat
Peugny Camille | Département de sociologie | Université Paris 8 (Vincennes → Saint-Denis) Maître de conférences Thèmes de recherche : Stratification sociale, mobilité sociale, déclassement Inégalités entre les générations et attitudes politiques Risques psychosociaux au travail contact : camille.peugny@univ-paris8.fr blog : Chercheur au CRESPPA, équipe CSU, page internet actualisée, avec les recherches en cours Principales publications : Ouvrage PEUGNY C. (2013), Le destin au berceau. PEUGNY C. (2009), Le déclassement, Grasset. Participation à des ouvrages collectifs PEUGNY C [avec LE HAY V.] (2013), « Fragilités et fractures de la société française », in Des votes et des voix. ollan PEUGNY C. (2013), « Vivre moins bien demain ? PEUGNY C. (2012), « Etre citoyen d’une société dont on se sent exclu : le rapport au politique de deux générations de jeunes », in Valérie Becquet, Patricia Loncle et Cécile Van de Velde (dir.), Politiques de la jeunesse : le grand malentendu, Paris, Champ social éditions. Coordination de numéro de revue
L'École : Entre Choix Individuels Et Reproduction Sociale - Note de recherches - Pau17 Dissertation d'ECONOMIE Sujet : « L'école : entre choix individuels et reproduction sociale. » Jules Ferry a permis la mise en place d'un système d'éducation gratuit et laïque, qui avait pour mission d'élever le niveau d'instruction, mais aussi de réduire les inégalités sociales. La reproduction sociale désigne le phénomène sociologique d'immobilisme social intergénerationel. Lire la dissertation complète Citer cette dissertation (2011, 01). "L'école : entre choix individuels et reproduction sociale" Etudier.com. 01 2011. 2011. 01 2011 < "L'école : entre choix individuels et reproduction sociale." "L'école : entre choix individuels et reproduction sociale."
» L'homme est par nature un animal politique. Aristote « La cité est au nombre des réalités qui existent naturellement, et (...) l'homme est par nature un animal politique. Et celui qui est sans cité, naturellement et non par suite des circonstances, est ou un être dégradé ou au-dessus de l'humanité. Il est comparable à l'homme traité ignominieusement par Homère de : Sans famille, sans loi, sans foyer, car, en même temps que naturellement apatride, il est aussi un brandon de discorde, et on peut le comparer à une pièce isolée au jeu de trictrac. Mais que l'homme soit un animal politique à un plus haut degré qu'une abeille quelconque ou tout autre animal vivant à l'état grégaire, cela est évident. La nature, en effet, selon nous, ne fait rien en vain ; et l'homme seul de tous les animaux, possède la parole. ARISTOTE. (330 av. I) La Thèse : La cité est un fait de nature. Par là Aristote signifie que l'existence sociale ou politique est naturelle à l'homme. La cité n'est pas un état contre-nature. II) Les implications de la thèse. Il y a plus.