L’intelligence collective : le lâcher prise clé de l’innovation | Les dossiers de l'observatoire
L’ordre asphyxie l’innovation ! Voilà ce qui se passe quand la société du savoir, où domine la diffusion d’informations, se heurte à la hiérarchie pyramidale des organisations. Les marchés économiques occidentaux arrivent à un seuil de stagnation inégalé. Pourtant, l’information, le savoir et la connaissance offrent de nouvelles matières premières aux entreprises. Pour saisir cette opportunité, les organisations doivent permettre des temps de réflexions collectives propices à l’émergence d’idées neuves. Conscientes du contexte actuel, les entreprises rencontrent pourtant des difficultés à adapter leur mode de management vertical aux évolutions inhérentes à cette société du savoir. Jeux de pouvoir Mobiliser le collectif. L’information joue alors un rôle clé dans la répartition du pouvoir d’une organisation. Et pour transformer ces informations en connaissances il est nécessaire de créer des situations propices au partage d’expériences individuelles. « Lâcher prise » ! Portrait Olivier Zara
Intelligence collective
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'intelligence collective désigne les capacités cognitives d'une communauté résultant des interactions multiples entre ses membres (ou agents). La connaissance des membres de la communauté est limitée à une perception partielle de l'environnement, ils n'ont pas conscience de la totalité des éléments qui influencent le groupe. Des agents au comportement très simple peuvent ainsi accomplir des tâches apparemment très complexes grâce à un mécanisme fondamental appelé synergie ou stigmergie[réf. souhaitée]. l'Intelligence Collective se distingue de l'intelligence collaborative (efficacité des échanges centrés sur une tache) et de l'intelligence projective (synergie des motivations individuelles et collectives, porteuse de sens individuel et collectif). Les formes d'intelligence collective sont très diverses selon les types de communauté et les membres qu'elles réunissent. Intelligence collective humaine[modifier | modifier le code] et
L'intelligence collective
On trouvera ici une versionPowerpoint™ de cet exposé. L’Internet n’est pas une technologie comme les autres, il a une valeur et un potentiel anthropologiques. C’est sur ce principe que Pierre Lévy, sociologue réputé, fonde le concept d’intelligence collective dans son ouvrage L’Intelligence collective : pour une anthropologie du cyberspace paru initialement en 1994. La juxtaposition des deux termes n’est pas choisie au hasard : ici, " intelligence " doit être compris comme dans le sens de " travailler en bonne intelligence " par exemple. L’expression finale se rapporte finalement à deux choses : Le concept à valeur politique au sens large, celui se référant à toutes les activités humaines en société organisée. I ? De par sa formation, Pierre Lévy a les compétences requises pour comprendre et analyser les problématiques liées à l’impact des nouvelles technologies sur les systèmes de signes et l’évolution culturelle en général. " Qu’est-ce que l’intelligence collective ? II ?
Fing : groupe Intelligence Collective
Schéma
Un groupe de travail de la Fondation Internet Nouvelle Génération Page principale - S'identifier Ce groupe a terminé ses travaux - Il s'agit d'un site d'archive Schéma Quelques synthèses des différents aspects qui influencent le développement ou non de l'intelligence collective dans un groupe Les différents points proposés ne peuvent prétendre à présenter de façon exhaustive toutes les facettes de l'Intelligence Collective et de la Coopération. Premier schéma : Comment développer des aspects collectifs ? Nouveau schéma du 15 novembre 2006Lien vers la version du schéma du 5 septembre 2006Lien vers la première version du schéma du 27 mai 2006 Deuxième schéma : Pourquoi développer l'intelligence Collective ? Influence des effets collectifs sur les membres, le groupe et l'environnement (ce schéma sera développé par la suite) #cooperation28 Articles à propos de "Schéma" : Trier par : Date, Titre 20/11/06 - Atelier Formation à l'évaluation réseaux Le groupe Actions du groupe Recherche
Atelier Formation à l'évaluation réseaux
Mots-clés :formations, niveaux d'Implication, schéma, convergence vers un intérêt communJe suis intervenu ce samedi 18 novembre dans une formation sur l'évaluation des réseaux organisées par l'Institut d'Eco-pédagogie de Namur. Je vous propose mon "rapport d'étonnement", c'est à dire ce qui m'a étonné, intéressé, stimulé... Les participants avaient des questions particulièrement pertinentes et avaient déjà une bonne connaissance de certains aspects pointus de la coopération. Renseignement pris, cela est du non seulement au fait qu'ils gèrent chacun déjà des réseaux mais surtout aussi que depuis 5 ans la plupart d'entre eux se connaissaient et échangeaient régulièrement de façon informelle sur leurs pratiques et leurs difficultés. Les attracteurs de "non-coopération" Dans le groupe Intelligence Collective (IC), nous avons vu qu'il fallait se pencher autant sur ce qui empêche l'IC que sur ce qui la favorise. Un nouveau niveau d'implication : les parasites Intérêt d'une conscience moindre
Le mythe de l'intelligence collective
RESUME : Notre époque, qui ne se paye pas de mots, a inventé la notion d’« intelligence collective » pour glorifier ses exploits technologiques et autres "success stories". Mon propos ici est de voir de plus près ce qui, éventuellement, pourrait être escamoté dans ce mythe. Comment se fait-il que, malgré cette impressionnante série d’exploits créatifs, l’homme contemporain fasse preuve en même temps de tels aveuglements (collectifs) ? A priori, il ne faut pas s’étonner de cet apparent paradoxe, si l’on se souvient que, à l’échelle individuelle, un homme (ou une femme) réputé intelligent peut tout aussi bien être aveugle à ses propres démons intérieurs. Raison de plus pour s’intéresser de plus près à cette « intelligence collective ». [1] Ecrivain, de formation ingénieur, 25 ans d'expérience en grande entreprise, spécialiste de l’économie de la connaissance, par ailleurs praticien du théâtre, titulaire d’un master en arts du spectacle, chercheur en études théâtrales
Faire levier de l’intelligence collective
Par Hubert Guillaud le 20/07/11 | 5 commentaires | 2,381 lectures | Impression “L’ouverture est extrêmement importante, mais ce n’est pas auprès d’une assemblée comme celle de Lift qu’il y a des gens à convaincre. Pour autant, on sait qu’on ne peut pas tout ouvrir : les gens n’auraient pas envie qu’on publie toutes les déclarations d’impôts ou tout ce qu’ils font sur l’internet. La société repose donc sur un équilibre entre la fermeture et l’ouverture”, introduit Geoff Mulgan sur la scène de Lift. Geoff Mulgan (Wikipédia) a longtemps été le responsable, et l’âme, de la Young Foundation, une organisation britannique de promotion de l’innovation sociale, et est devenu récemment le responsable du Nesta, l’agence de l’innovation britannique. Au Nesta, Geoff Mulgan travaille désormais au financement de projets ouverts et collaboratifs. Image : Geoff Mulgan sur la scène de Lift, photographié par Pierre Metivier. Et Geoff Mulgan propose de nombreux exemples qui vont dans ce sens.
The central platform for crowdsourcing US Government challenges, contests, competitions and open innovation prizes | Challenge.gov
Euclid
Social innovation parks | Social Innovator
The Social Innovation Park being developed by DennokInn in the Basque Country is the world's first experiment in creating a 'social silicon valley'. They are creating a business park for social enterprises and co-operatives. The park will include start-ups, regional and governmental organisations, and charitable foundations. Research and development needs will be met by the creation of a school for social innovation. This project is located in Santurtzi, (the Great Bilbao area of northern Spain) and is supported by the local authorities and the Spanish Government with an initial budget of €6 million. The Social Innovation Park will host more than 50 international companies and associations.