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Économie

Économie
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cependant, le mot est polysémique. L’économie est le concept étudié par les sciences économiques, celles-ci prenant appui sur des théories économiques, et sur la gestion pour sa mise en pratique. Le terme d'« économie » (economics en anglais), au sens uniquement d'économie politique, a été popularisé par les économistes néoclassiques tel qu'Alfred Marshall. Le mot « économie » devient alors, de façon concise, synonyme de « science économique » et peut être considéré comme substitut de l'expression « économie politique »[1],[2]. Cela correspond à l'influence notable des méthodes mathématiques utilisées dans le domaine des sciences naturelles[3]. Histoire de la pensée économique[modifier | modifier le code] Pour une histoire du développement de l'activité économique des hommes voir les articles, Chronologie des faits économiques, Histoire de l'économie et aussi Histoire économique. L'économie de l'Antiquité[modifier | modifier le code] Related:  ORALITE - Fond Sémiologik Sanpaolien Primordial

Liste des seigneurs de la terre de Guise Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Seigneurs de Guise (950-1417) [ modifier ] Le donjon de Guise fut construit aux alentours de 950 par Gautier I er , comte d'Amiens , de Vexin et de Valois . Prononciation [ modifier ] Comme pour le nom de la ville homonyme, la lettre "u" doit être prononcée : [gɥiz] en phonétique. Seigneurs non héréditaires [ modifier ] Les comtes de Valois confièrent la terre de Guise à des châtelains non héréditaires. en 1010 : René en 1048 : Bouchard en 1058 : Gautier I er de Guise. Maison de Guise [ modifier ] ???? Maison d'Avesnes [ modifier ] Maison de Châtillon [ modifier ] Maison d'Anjou [ modifier ] 1360 - 1384 : Louis I er d'Anjou (1339 † 1384), duc d'Anjou, comte du Maine, roi titulaire de Naples, fils de Jean II le Bon , marié à Marie de Châtillon (1345 † 1404), fille du précédent. 1384 - 1404 : Charles d'Anjou (1380 - Angers, 17 mai 1404), dit le prince de Tarente, fils du précédent, reçoit Guise par testament de son père. Maison de France [ modifier ]

Génétique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. De la molécule d'ADN à la cellule vivante. Relations schématiques entre la biochimie (biochemistry), la génétique (genetics) et la biologie moléculaire (molecular biology). La génétique (du grec genno γεννώ, « donner naissance ») est la science qui étudie l'hérédité et les gènes, c'est une sous-discipline de la biologie. Une de ses branches, la génétique formelle, ou mendélienne, s'intéresse à la transmission des caractères héréditaires entre des géniteurs et leur descendance. L'invention du terme « génétique » revient au biologiste anglais William Bateson (1861-1926), qui l'utilise pour la première fois en 1905. Différents champs de recherche[modifier | modifier le code] Très tôt, la génétique s'est diversifiée en plusieurs branches différentes : la génétique du développement étudie les acteurs moléculaires (et les gènes qui les codent) impliqués dans la formation de l'organisme à partir du stade unicellulaire d'œuf fécondé. En 1966, J.L.

village Astrophysique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’astrophysique (du grec astêr = étoile, astre et physis = science de la nature, physique) est une branche interdisciplinaire de l'astronomie qui concerne principalement la physique et l'étude des propriétés des objets de l'univers (étoiles, planètes, galaxies, milieu interstellaire par exemple), comme leur luminosité, leur densité, leur température et leur composition chimique. Actuellement, les astronomes ont une formation en astrophysique et leurs observations sont généralement étudiées dans un contexte astrophysique, de sorte qu'il y ait moins de distinction entre ces deux disciplines qu'auparavant. Disciplines de l'astrophysique[modifier | modifier le code] Il existe différentes disciplines en astrophysique : (Pour la hiérarchie des disciplines scientifiques voir en français la Liste des disciplines scientifiques.) Historique[modifier | modifier le code] Copernic (1473-1543). Aristarque de Samos (310 av. Newton (1642-1727).

Chanoine Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un chanoine (du nom latin médiéval canonicus de même sens, lui-même issu de l'adjectif du latin classique canonicus : « relatif à une règle, régulier » ; et du grec ancien κανών (kanôn), règle) est un membre du clergé attaché au service d'une église. Au Haut Moyen Âge, le mot pouvait désigner certains membres du personnel laïc des églises. Aujourd'hui, il existe des chanoines religieux (séculiers ou réguliers), des chanoines laïcs et des femmes religieuses régulières (chanoinesses). Histoire de la vie canoniale[modifier | modifier le code] Origine[modifier | modifier le code] L'historiographie ecclésiastique voit dans le mode de vie des Apôtres rassemblés autour du Christ, l'exemple fondateur de la vie canoniale. Les persécutions que les chrétiens subirent dans les trois premiers siècles, empêchèrent en beaucoup de lieux les clercs de vivre en commun : mais ils mettaient au-moins leurs biens en communauté. Il est ainsi :

Paléontologie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. On distingue deux principales formes de paléontologie : La paléontologie systématique : son objectif premier est le développement de phylogénies sur la base d'observations scientifiques — pour le néophyte, la paléontologie s'arrête souvent à cette seule partie descriptive des fossiles.La paléontologie générale ou fondamentale : les paléontologues s'intéressent alors aux problèmes généraux dégagés par la démarche systématique, aux associations entre les êtres vivants disparus et/ou actuels, à leurs évolutions, et, à plus large échelle, à l'évolution des êtres vivants, des milieux et des climats au cours des temps géologiques. Le travail paléontologique comporte quatre étapes : Étymologie[modifier | modifier le code] Le mot paléontologie peut être découpé en trois termes grecs : Paleo, de palaios, ancien ;Ontos, vie, être ;Logie, de logos, étude, discours, science. Organisation[modifier | modifier le code] Pratique[modifier | modifier le code]

Augustin d'Hippone Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Augustin d’Hippone Antiquité tardive Augustin vu par Botticelli à Ognissanti (vers 1480) Augustin d’Hippone (latin : Aurelius Augustinus), ou saint Augustin, né dans le municipe de Thagaste (actuelle Souk Ahras, Algérie) le et mort le à Hippone (actuelle Annaba, Algérie) est un philosophe et théologien d'origine berbère. Sa culture et sa formation sont profondément romaines même si ses écrits laissent apparaître une sensibilité et des traits liés à sa région de naissance. Il est, à la suite d'Ambroise de Milan, le principal penseur qui permet au christianisme d'intégrer une partie de l'héritage grec et romain, en généralisant une lecture allégorique des Écritures liée au néoplatonisme. Dans sa théologie, le poids du péché et de l'habitude du péché est tel que sans la grâce divine l'homme ne peut pas se sauver : c'est le sens de la lutte contre le pélagianisme, qui soutient l'inverse. Biographie[modifier | modifier le code]

Biodiversité Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Depuis le sommet de la Terre de Rio de Janeiro en 1992, la préservation de la biodiversité est considérée comme un des enjeux essentiels du développement durable. L'adoption de la Convention sur la diversité biologique (CDB) au cours de ce sommet engage les pays signataires à protéger et restaurer la diversité du vivant. Depuis 2012, la Plate-forme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES), un groupe d'experts intergouvernemental sur le modèle du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), a été lancé par le programme des Nations unies pour l'environnement pour conseiller les gouvernements sur cette thématique. Histoire du concept[modifier | modifier le code] Un virage majeur arrive au début des années 1970 où plusieurs évènements marquants vont se succéder[6]. Définition[modifier | modifier le code] Évaluer la biodiversité[modifier | modifier le code]

économat Mécanique quantique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La mécanique quantique est la branche de la physique qui a pour objet d'étudier et de décrire les phénomènes fondamentaux à l'œuvre dans les systèmes physiques, plus particulièrement à l'échelle atomique et subatomique. Elle fut développée au début du XXe siècle par une dizaine de physiciens américains et européens, afin de résoudre différents problèmes que la physique classique échouait à expliquer, comme le rayonnement du corps noir, l'effet photo-électrique, ou l'existence des raies spectrales. Au cours de ce développement, la mécanique quantique se révéla être très féconde en résultats et en applications diverses. Elle permit notamment d'élucider le mystère de la structure de l'atome, et plus globalement elle s'avéra être le cadre général de description du comportement des particules élémentaires, jusqu'à constituer le socle de la physique moderne. Panorama général[modifier | modifier le code] Bref historique[modifier | modifier le code] où

Monachisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le monachisme est l'état et le mode de vie de personnes qui ont prononcé des vœux de religion et font partie d’un ordre dont les membres vivent sous une règle commune, séparés du monde, les moines (moniales au féminin). Le mot vient du grec ancien monos qui signifie « solitaire » et plus particulièrement « célibataire ». La première institution connue du monachisme est celle du bouddhisme theravada, il y a vingt-cinq siècles. Dans le bouddhisme, le monachisme est l'un des trois refuges, particulièrement propice à la méditation qui constitue le cœur de la pratique. Dans le christianisme, selon la tradition, le monachisme apparaît autour de Pacôme le Grand, vers 329 en Égypte, à deux pas de Nag Hammadi. Le monachisme chrétien[modifier | modifier le code] Moines de l'ordre des Augustins récollets. La vie monastique connaît un extraordinaire développement dans le christianisme. Le monachisme bouddhiste[modifier | modifier le code] Christianisme

JESUS Kibboutz Un kibboutz (de l'hébreu : קיבוץ, au pluriel, קיבוצים : kibboutzim, signifiant « assemblée » ou « ensemble ») est un type de village collectiviste créé pour la première fois en 1909 en Palestine alors ottomane ; il s'agit de Degania Alef (en français : « le bleuet ») qui fut créé par douze juifs d'origine russe et polonaise adhérant au mouvement sioniste d'influence socialiste. Les autres kibboutzim étaient environ une douzaine en 1920 et ont essaimé à compter de la création de l'État d'Israël, le 14 mai 1948 : ils étaient environ 210 en 1950. Il s'agit à l'origine de communautés rurales, mais des activités industrielles ont commencé à y être développées après la création d'Israël. Historiquement, leurs membres étaient perçus comme une élite du futur État juif avant 1948 comme d'ailleurs après la création de l’État d'Israël, particulièrement militante et engagée. Une personne vivant dans un kibboutz est appelée kibboutznik, soit au pluriel, kibboutznikim. Chaque kibboutz est autogéré.

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