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Faire sa propre ville : comment les gens prennent-ils le pouvoir

Faire sa propre ville : comment les gens prennent-ils le pouvoir
Robin Chase (blog) est une serial entrepreneuse reconnue. Après avoir fondé Zipcar, la plus grande entreprise d’autopartage du monde, et GoLoco, une communauté autour du covoiturage, elle a lancé Buzzcar, un service de partage de voitures. Invitée dans les plus grandes conférences (TED), elle a reçu de nombreuses récompenses dans le domaine de l’innovation, du design et de l’environnement. Pendant longtemps les villes ont été construites de manière très chaotique, sans structure… Il a fallu attendre le baron Haussmann et ses grands travaux pour que la ville change. Mais accepterions-nous encore facilement des travaux à cette échelle ? Internet permet également aux gens de prendre le pouvoir. Image : Robin Chase sur la scène de Lift Marseille, photographiée par Pierre Métivier. Les grandes plateformes du web donnent du pouvoir aux gens. Robin Chase compare Couchsurfing aux grandes chaînes d’hôtels internationaux.

La montée de la consommation collaborative “La consommation collaborative correspond au fait de prêter, louer, donner, échanger des objets via les technologies et les communautés de pairs”, explique le site éponyme lancé par Rachel Botsman et Roo Rogers, les auteurs de What’s mine is yours, the rise of collaborative consumption (Ce qui est à moi est à toi, la montée de la consommation collaborative). Ceux-ci affirment d’ailleurs que cette pratique est en passe de devenir un “mouvement”. Un mouvement qui va des places de marchés mondiales comme eBay ou Craiglist à des secteurs de niches comme le prêt entre particuliers (Zopa) ou les plates-formes de partage de voitures (Zipcar). “La consommation collaborative modifie les façons de faire des affaires et réinvente non seulement ce que nous consommons, mais également comment nous consommons”, affirment ses défenseurs. Vidéo : la vidéo promotionnelle du livre de Rachel Botsman et Roo Rogers. Les fans du partage ont déjà leur magazine : Shareable.net.

Posséder, c’est dépassé ! Principales tendances motrices La crise économique et écologique, qui devient également sociale et politique Les réseaux sociaux, qui aident à transformer la contrainte (et la rage contre le "système") en énergie positive, tournée vers la recherche de solutions à la fois personnelles et collectives Signes avant-coureurs Le développement de différentes formes de "consommation collaborative" : achats groupés, partage de ressources et de capacités, "consumer to consumer" (don, troc, location, revente de biens)… L’"économie de fonctionnalité" : faire payer un service (transport, chauffage, éducation, culture, soins, etc.) ou l’usage d’un bien plutôt que ce bien lui-même. Face à une crise qui dure, une économie de survie se développe : il faut dépenser moins et générer des revenus complémentaires. Les territoires sont les premiers à se mobiliser pour accompagner ce mouvement. Pour les entreprises aussi, posséder devient coûteux et complexe. Les politiques prennent le relais.

Comment Rifkin est trop fan de l’économie collaborative | Le dernier ouvrage du célèbre économiste m’a rendue fort enthousiaste ! Parmi les raisons de cet enthousiasme : la façon dont il prend en compte l’économie collaborative. Explications. Je ne vais pas ici vous résumer La Troisième Révolution Industrielle, dernier opus de Jeremy Rifkin. Repenser la propriété Rifkin anticipe depuis longtemps le passage d’une économie de la propriété à un âge de l’accès. Le mécanisme de marché est devenu « la main invisible » qui régule l’offre et la demande de propriété privées, et la recherche de l’intérêt personnel garantit une amélioration régulière du bien-être général et fait avancer l’humanité sur la route vers un progrès illimité… Mais le paradigme est sur le point de changer, affirme Rifkin : « L’émergence de la Troisième Révolution Industrielle introduit une conception très différente des pulsions de l’espèce humaine et des postulats qui régissent son activité économique. Comment expliquer cette évolution ? Merci Wikipedia et Facebook Conséquence ?

Impacts environnementaux et sociaux de l economie collaborative | Next & CoWorking Ce soir de 18h à 21h, l’équipe de OuiShare animera un Workshop sur les Impacts environnementaux et sociaux de l’économie collaborative. Les impacts environnementaux et sociaux des projets entrant dans le vaste champ de l’économie collaborative sont à la fois intuitivement très présents dans nos esprits, et précisément mal connus ou compris. Pour mieux les appréhender, l’objectif des 1ers ateliers du workshop sera d’en dresser une liste, non exhaustive, sur les impacts (positif ou négatif) d’un champ délimité de l’économie collaborative et d’établir des liens entre ces différents impacts. Pour définir les attentes de chacun, un nouveau tour de table permettra à tous d’exprimer la nature de son intérêt pour ce questionnement sur les impacts environnementaux et sociaux ainsi que les motivations de sa participation au workshop, et cela, dans le but de définir les suites possibles à ces discussions : Quelles pistes de travail ?

Du BOGOF au BOSO, le gentil pied de nez de l’économie du partage Partage, P2P… bienvenue dans l’économie collaborative! Boostés par les outils web et la crise, la consommation collaborative émerge comme une véritable alternative à une société propriétaire. De la voiture partagée au booksurfing, Antonin Léonard dissèque les nouvelles tendances. Un jour, nous regarderons le XXe siècle et nous nous demanderons pourquoi nous possédions autant de choses affirmait récemment Bryan Walsh dans TIME Magazine qui consacrait la Consommation Collaborative comme l’une des dix idées amenées à changer le monde. L’économie du partage se propage : du transport aux voyages en passant par l’alimentation, le financement de projets et la distribution, tous les secteurs ou presque voient cette nouvelle économie émerger. Alors que plus de 3 millions de personnes dans 235 pays ont déjà « couchsurfé », ce sont plus de 2,2 millions de trajets en vélo libre-service (tels que le Velib’ à Paris) qui sont effectués chaque mois dans le monde. On se rend compte que ce mouvement n’est pas qu’une tendance passagère. Du bien au lien

Indice de la consommation collaborative ? Mesure du pouvoir de partager ? Indice de consommation, pouvoir d’achat, Pib, autant de termes qui bientôt pourraient devenir des anachronismes. Depuis des décennies, l’ensemble des politiques économiques repose sur l’idée qu’il faut produire plus, consommer plus et que le pouvoir d’achat doit sans cesse augmenter. Pourtant consommer plus n’est pas nécessairement le seul moyen d’accroître son bien-être et sa qualité de vie. Le développement récent et rapide d’une nouvelle économie dite économie du partage apporte la preuve qu’il y a d’autres voies de développement de la société que le sacrosaint couple production consommation. Aujourd’hui des nouveaux acteurs vous proposent de partager votre voiture (covoiturage, partage de véhicules) de partager votre appartement (colocation), votre matériel de bricolage, vos livres, … . L’économie du partage (ou la consommation collaborative) est une véritable innovation de rupture. Participer à l’événement de la consommation collaborative, rejoignez les COtuesday.

Le modèle "collaboratif" va détruire des emplois La culture collaborative accroît la productivité, et après ? La collaboration est désormais la nouvelle norme de nos sociétés et de nos entreprises. Le processus est en cours d’affinement, mais il est amené à se poursuivre. En bref, cela nous permet d’obtenir de réels gains de productivité au niveau de l’individu, de la société et de l’entreprise. Les activités reposant sur l’arbitrage des imperfections du marché vont se réduire. Une partie des postes de cadres moyens vont disparaître. Des emplois rémunérés seront remplacés par des travaux d’amateur disponibles gratuitement ou par des emplois faiblement rémunérés. La rétribution des journalistes et des photographes professionnels devrait sensiblement baisser, certains emplois disparaître. Le phénomène est parallèle à celui de la "seconde économie" Une série d’articles et de livres avancent que les progrès technologiques ont détruit plus d’emplois que la délocalisation. Pourquoi c’est en fait une opportunité pour tous ?

Le Social Good Lab cherche à favoriser l’émergence d’un entrepreneuriat plus social En associant Innovation sociale et Innovation technologique, cet incubateur devra favoriser l’émergence de services innovants issus de nouvelles technologies et ayant une portée sociale et environnementale. « Social Good Lab », c’est le nom d’un projet monté en partenariat entre Paris Région Innovation Lab et le comptoir de l’innovation. Situé dans les 13 arrondissement, l’incubateur, qui dévoilera ce soir sa première promo au public, a effectué un appel à candidatures jusqu’au 30 Avril pour attirer toute jeune entreprise porteuse d’un projet innovant correspondant au critères de développement énoncés ci-dessus. L’objectif ? Combiner problématique de société et monde technologique. 6 projets pour encourager le développement de la démarche SOI OSEO, principal contributeur financier à ce projet avec la Ville de Paris, est en passe de reconnaitre l’ « innovation sociale ». Un partenariat public/privé pour évangéliser l’écosystème web à l’innovation sociale

Impôts et revenus de la consommation collaborative | Le blog de Costockage Afin de vous faciliter la vie, nous vous proposons de vous éclairer sur les aspects juridiques (Qui peut louer ? Comment déclarer ses revenus ?) associés à la consommation collaborative. Aux Etats-Unis, l’affaire Nigel Warren, hôte sur AirBnB à New-York condamné en mai 2013 à verser une amende de 2 400$ pour avoir « violé la loi hôtelière », a fait douter certains propriétaires d’espaces sur les différentes plateformes collaboratives (AirBnB, qui a payé l’avocat, a d’ailleurs gagné le procès en appel en septembre 2013). Rassurez-vous, chers lecteurs français : si vous respectez les quelques règles suivantes, vous ne risquerez absolument rien ! 1. La loi française est très claire sur ce point, et distingue deux catégories de loueurs d’espaces : ceux qui sont propriétaires de l’espace, et ceux qui en sont locataires. A. Selon le Ministère du Logement : « Si le logement est à la fois la résidence principale et la propriété de l’occupant, celui-ci peut louer son bien. B. 2. A. B. 3.

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