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L'autoformation, une auberge espagnole - Evelyne Jardin, article Sociologie

L'autoformation, une auberge espagnole - Evelyne Jardin, article Sociologie
Autoformation sociale, éducative, existentielle, cognitive... cette notion polysémique est devenue centrale dans notre société individualiste. Brigitte est en seconde. Elle a choisi l'économie en option parce qu'elle veut faire du commerce international avec la Chine. L'autoformation, c'est un peu l'auberge espagnole, avoue le spécialiste en la matière, Philippe Carré (1), et l'exemple précédent nous en donne une illustration. - Sous l'angle de l'individu, l'autoformation peut, tout d'abord, permettre d'« apprendre à être » ou d'« apprendre à produire sa vie » par, selon l'expression de Gaston Pineau, « une appropriation par le vivant de son pouvoir de formation ». - Toujours d'un point de vue individuel mais cette fois dans une version moins essentialiste, l'autoformation intégrale consiste à apprendre hors des systèmes éducatifs. - Enfin, l'autoformation est cognitive lorsqu'elle se donne pour mission d'apprendre de façon autonome. L'autoformation, un enjeu de société Selon P.

Les « bons points » de l’école démocratique Quel bilan tirer des politiques scolaires menées depuis l’après-guerre ? À contre-courant des orientations actuelles, Éric Maurin démontre que l’ouverture scolaire aux classes moyennes a payé. La démocratisation scolaire profite-t-elle aux jeunes qui en ont bénéficié ? Améliore-t-elle leur destin social ? Ont-ils accès à des emplois mieux rémunérés ? Délivrer de plus en plus de diplômes a-t-il un sens, au vu de l’évolution de l’économie ? Pour trancher la question de l’intérêt ou non, pour les sociétés occidentales, de poursuivre le processus de démocratisation de l’école, c’est-à-dire la mise en place de l’école ou du collège unique pour tous les élèves jusqu’à 16 ans, c’est en économiste qu’il compare les effets des politiques scolaires scandi [ lire la suite... ] Article de 3406 mots.

Définition de l'autoformation - Profession formateur Définition de l'autoformation Philippe Carré définit lautoformation comme étant un processus dapprentissage autonome, « par soi-même ». Afin déclairer la notion, il présente les cinq grandes approches issues de la « galaxie de lautoformation » : lapproche éducative (apprendre dans des dispositifs ouverts), lapproche cognitive (apprendre à apprendre), lapproche sociale (apprendre dans et par le groupe social), lapproche existentielle (apprendre à être) et lapproche autodidacte (apprendre hors des systèmes éducatifs institués). PEUT-ON SE FORMER SEUL ? - Apprentissage numérique et autoformation Peut-on se former seul ? Peut-on apprendre seul ? Ce mode de formation est-il possible pour tous ou ne convient-il qu'à certains individus capables de se concentrer et trés enclins sur leurs modes de ressources internes ? De nos jours, l'utilisation d'internet et des nouvelles technologies dans les apprentissages (les apprentissages numériques) entraîne-t-elle l'augmentation du nombre de personnes se formant seules ? J'apprends seul : autodidaxie ou autoformation ? Si j'apprends seul et que je me forme seul, je suis certainement autodidacte... mais peut-être pas tout à fait. En autodidaxie, l'apprenant se forme en dehors de toute institution éducative, en dehors de tout accompagnement. En autoformation, l'apprenant se forme par lui-même, dans un cadre : l'autoformation consiste à se former soi-même, chez soi, dans un système éducatif ou dans des groupes sociaux. Mais alors, avez-vous déjà appris par vous-même ? Un regain pour l'auto-formation de nos jours ? Qu'en pensez-vous ?

Jerome Bruner Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jerome Seymour Bruner, né à New York le 1er octobre 1915, est un psychologue américain, dont le travail porte en particulier sur la psychologie de l'éducation. Il fut l’un des premiers découvreurs de « Pensée et langage » de Lev Vygotski et s’est nourri de Piaget et Meyerson. Pour Bruner, la médiation sociale lors des conduites d'enseignement-apprentissage (interaction de tutelle) s'exerce sur un mode communicationnel (dialogique). Interaction de tutelle[modifier | modifier le code] Interactions entre un adulte et un enfant grâce auxquelles l'adulte essaye d'amener l'enfant à résoudre un problème qu'il ne sait résoudre seul. Étayage[modifier | modifier le code] Bruner repère 6 fonctions: L'enrôlementLa réduction des degrés de libertéLe maintien de l'orientationLa signalisation des caractéristiques déterminantesLe contrôle de la frustrationLa démonstration ou présentation de modèles Révolution cognitive[modifier | modifier le code]

Accueil « L'autoformation à la une (L’ancien Site de l’A-Graf) Le monde de l’autoformation… une histoire … des pratiques … des recherches … de l’actualité L’autoformation est à la mesure de la maîtrise que nous exerçons sur notre propre formation. C’est un des faits majeurs de nos sociétés contemporaines où la connaissance devient un enjeu central. L’autoformation est connaissance de soi, par soi, avec et par les autres, avec et par l’environnement. Elle représente une réalité souterraine et souvent masquée des processus d’apprentissage à l’œuvre dans la vie personnelle, sociale, professionnelle, ainsi que dans les dispositifs de formation. L’autoformation, c’est aussi un objet de recherche étudié tant par des praticiens que des chercheurs depuis plusieurs dizaines d’années. Par curiosité et intérêt personnelPour améliorer vos pratiques et projets personnels et professionnelsPour nourrir vos recherchesPour contribuer à la reconnaissance et à la diffusion de l’autoformation Vous pouvez, sur ce site

L'autoformation - Profession formateur L'autoformation Joffre Dumazedier évoque le déclin de la société pédagogique vers une société éducative en pleine évolution, en marge de lécole. Cette société éducative où lEducation nationale na plus le monopole, voit lémergence dun sujet social apprenant à tous les âges de la vie, émergence importante aussi dans une pratique collective. Lautoformation nécessite selon lui un apprentissage méthodique, capable dévoluer et de sadapter. Peugny Camille | Département de sociologie | Université Paris 8 (Vincennes → Saint-Denis) Maître de conférences Thèmes de recherche : Stratification sociale, mobilité sociale, déclassement Inégalités entre les générations et attitudes politiques Risques psychosociaux au travail contact : camille.peugny@univ-paris8.fr blog : Chercheur au CRESPPA, équipe CSU, page internet actualisée, avec les recherches en cours Principales publications : Ouvrage PEUGNY C. (2013), Le destin au berceau. PEUGNY C. (2009), Le déclassement, Grasset. Participation à des ouvrages collectifs PEUGNY C [avec LE HAY V.] (2013), « Fragilités et fractures de la société française », in Des votes et des voix. ollan PEUGNY C. (2013), « Vivre moins bien demain ? PEUGNY C. (2012), « Etre citoyen d’une société dont on se sent exclu : le rapport au politique de deux générations de jeunes », in Valérie Becquet, Patricia Loncle et Cécile Van de Velde (dir.), Politiques de la jeunesse : le grand malentendu, Paris, Champ social éditions. Coordination de numéro de revue

Bernard Stiegler Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'article doit être débarrassé d'une partie de son jargon (août 2012). Sa qualité peut être largement améliorée en utilisant un vocabulaire plus directement compréhensible. Discutez des points à améliorer en page de discussion. Pour les articles homonymes, voir Stiegler. Bernard Stiegler dans les années 2000. Bernard Stiegler, né le à Sarcelles[1], est un philosophe français qui axe sa réflexion sur les enjeux des mutations actuelles — sociales, politiques, économiques, psychologiques — portées par le développement technologique et notamment les technologies numériques[2]. Bernard Stiegler, lors des 11e ROUMICS[3] en 2014 à Lille, discutant de la question du « Bien commun » avec Amandine Piron[4] ; Michel Bauwens ; Michel Briand[5] ; Simon Sarazin et Emmanuel Vandamme[6] Simon Sarazin[7] Éléments biographiques[modifier | modifier le code] Du PCF à la prison[modifier | modifier le code] Les années 1980[modifier | modifier le code]

Système éducatif français Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le système éducatif français est très centralisé, piloté par le ministère de l’Éducation nationale. Depuis 1959 (réforme Berthoin), l’instruction y est obligatoire de 6 à 16 ans, mais l’école à la maison est légale (quoique marginale). Il existe plus de 65 000 établissements scolaires, relevant pour la plupart du ministère de l’Éducation nationale, même si environ 15 % (primaire) à 20 % (secondaire) des élèves sont dans des établissements privés. Les effectifs totaux d’élèves et d’étudiants atteignent 15 millions, c’est-à-dire qu’un quart de la population suit des études. Le coût de l'éducation représente 6,6 % du PIB de la France en 2008 (7,6 % en 1995) [1], dont 54,1 % dépendent du ministère de l'Éducation Nationale en 2008 (contre 61 % en 1980)[2]. Histoire[modifier | modifier le code] Organisation générale[modifier | modifier le code] Financement et prérogatives[modifier | modifier le code] L’État est par conséquent responsable :

La sociologie de l'éducation en France - Vincent Troger, article Éducation Après Émile Durkheim, ce sont Pierre Bourdieu et Jean-Claude Passeron qui ont vraiment donné naissance à la sociologie de l'éducation. En diversifiant ses objets de recherches et en se recentrant sur les stratégies des acteurs, la sociologie contemporaine est aujourd'hui en recherche de nouveaux cadres théoriques. Genèse et objet Émile Durkheim (1858-1917) est le précurseur incontesté de la sociologie de l'éducation. Des processus de sélection sociale masqués Ce sont surtout Pierre Bourdieu et Jean-Claude Passeron qui ont fait de la sociologie de l'éducation une préoccupation importante de la sociologie contemporaine en publiant Les Héritiers (1964) et La Reproduction (1970). Le travail des deux sociologues a atteint un niveau d'élaboration théorique qui lui a valu une large notoriété. Le postulat de l'acteur social rationnel Mais l'analyse de P. Recherches actuelles En introduisant la notion de stratégie des acteurs dans la sociologie de l'éducation, R. Subjectivation versus socialisation

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