City Life Could Change Your Brain for the Worse | Wired Science
Between the crowds and the noise and the pressure, city life often seems to set one's brain on edge. Turns out that could literally be true. A study of German college students suggests that urbanite brains are more susceptible to stress, particularly social stress, than those of country dwellers. The findings don't indicate which aspects of city life had changed the students' brains, but provide a framework for future investigations. "Whether people are exposed to noise, live near a park, have a big group of friends or not -- you can do those experiments, and tease apart which parts of urban living are associated with these changes," said Andreas Meyer-Lindenberg, a psychiatrist at German's Central Institute of Mental Health. Meyer-Lindenberg's findings, published June 23 in Nature, are a neurological investigation into the underpinnings of a disturbing social trend: As a rule, city life seems to generate mental illness.
Sylvie Faucheux
Visualizing Childrens' Plans For The City Of The Future In Pop-Up Book Form
Out of the mouths of babes, the saying goes. Taking this quite literally, the Spanish design firm Play Studios gathered a bunch of children together and asked them for their visions of the cities of the future. Adult designers took these ideas and rendered them into pop-up book form. The pop-up book was then beautifully animated to show three different possibilities for our future urban living: The first city is a tree-filled landscape; green roofs writ large, perhaps. The second shows massive towers built over--but preserving--the existing landscape, while buses and people make their way on elevated roads that connect the tops of the skyscrapers. All fanciful, to be sure, but they're kids. [Hat tip: NotCot]
Vidéo Ted
La ville volante, une utopie dégénérescente ?
L'imaginaire conduit à dépasser les limites de la réalité, en attestent les projets de ville volantes. Pourquoi serions-nous tentés par la cité suspendue ? Explications de Philippe Gargov. Urban After All S01E16 C’est une tradition dans les médias : chaque inauguration d’un gratte-ciel, comme la Tour First la semaine dernière, est l’occasion de rappeler l’éternelle quête de hauteur de l’homo urbanus, depuis Babel jusqu’à Dubaï. Car derrière ses atours enchanteurs, la ville volante véhicule en effet certaines valeurs qu’il nous semble nécessaire de remettre en question ; ce sera l’objectif de cette chronique, qui vous invite à vous méfier davantage de ces utopies tentatrices. Une histoire récente L’histoire de la ville volante remonte aux voyages de Gulliver découvrant Laputa (1727). Encore aujourd’hui, l’idée fait rêver les architectes et urbanistes, à l’image de ces Cloud Skippers [EN] imaginés par le Studio Lindfors [EN] (présentés à la Biennale du Design de Saint-Étienne 2010).
Pas si smart que ça
C'est quoi la Smart City : une introduction compréhensible
On lit et fantasme beaucoup sur le concept de la Smart City. Les représentations de ces villes dans l’imaginaire collectif sont en partie largement influencées par le cinéma (des Temps modernes à Minority Report). Pour autant, qu’en est-il dans la réalité ? De nombreuses villes, comme Stockholm, Rio de Janeiro, ou encore Lyon se transforment, construisent et testent leurs modèles smart. Mais concrètement, c’est quoi la Smart City ? C’est quoi la Smart City ? Le contexte La concentration toujours plus importante des individus dans les villes amène irrémédiablement celles-ci à préserver et optimiser leurs ressources et leur organisation. Actuellement, 50% de la population mondiale vit dans les villes. L’objectif des villes, des métropoles, et des territoires est donc d’accompagner cet enjeu sociétal, politique et environnemental. Concrètement, qu’est-ce qu’une Smart City ? Ce concept d’origine anglo-saxonne n’est pas nouveau. Le projet Supertrees à Singapour. Ce qui caractérise la Smart City
La «smart city» n’est pas si «smart» que ça
Au vu de ce méga test de QI urbain, l’Europe ne compterait en tout et pour tout que six surdouées présentant la caractéristique d’être dotées d'une «politique ou d'une stratégie de ville intelligente»: Amsterdam, Barcelone, Copenhague, Helsinki, Manchester et Vienne. Sur un échantillon constitué des 468 plus grandes villes européennes analysées, pas de quoi pavoiser. Ni pour l’Europe, ni a fortiori pour la France. Heureusement, Lyon, classée dixième, sauve l’honneur. Cette place honorable ne doit rien au hasard. Appellation fourre-tout Mais, au fait, que faut-il entendre par «smart city»? Bien sûr, le palmarès des smart cities françaises hisse, lui aussi, la mobilité au rang de priorité. On pourrait égrener à l’infini les variations conceptuelles de la smart city À la limite peu importe. Lyon n’est pas un cas isolé. Logique d’empilement sans cohérence d’ensemble Aucune logique d’ensemble sinon une accumulation de moyens reliés par un usage commun des NTIC. Partenaires très privilégiés