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Pourquoi l'éducation tue la créativité et les chances de réussite

Pourquoi l'éducation tue la créativité et les chances de réussite
Mardi 12 juillet 2011 2 12 /07 /Juil /2011 07:45 Une intervention de Ken Robinson dans une conférence TED où il défend la thèse que nos systèmes éducatifs tuent la créativité et ne sont plus adaptés dans le monde dans lequel nous vivons, les arguments développés par Ken avec humour malgré leur gravité : Une conférence qui date de 2006 encore plus d'actualité dans notre monde qui ne cesse d'aller de plus en plus vite : il est vraiment temps que nos systèmes éducatifs donnent la chance à nos enfants de pouvoir s'adapter à cette nouvelle donne en positionnant la créativité au coeur et en ne plus stigmatisant les erreurs permettant de la développer : idem pour nos entreprises qui veulent se développer dans les nouvelles donnes économique et numérique ! Et voici une vidéo animée de RSA qui développe les arguments de Ken : Billets en relation : Partager l'article ! inShare Par Julien Bonnel - Publié dans : Société 4

le-pub-nouvel-amphi-des-chercheurs-britanniques Actu | International De notre correspondante à Londres, Élisabeth Blanchet | Publié le , mis à jour le Bright Club "Au 21ème siècle, on devrait rigoler avec les scientifiques et non pas se moquer d'eux", déclarent Miriam Miller et Steven Cross, tous deux chargés des relations extérieures à UCL (University College London). L’anti-tour d’ivoire C'est ainsi que naît la première soirée du Bright Club en 2009. D'un physicien qui vulgarise, à coups de grands gestes, le fonctionnement de l'accélérateur de particules du CERN à un comédien d'une série télé satyrique qui ne manque pas de boutade sur le sujet, les rires fusent tous azimuts.

Avec son livre, le directeur de BEM lance un débat sur l'enseignement du management Qu’ont en commun Marie Duru-Bellat, sociologue de l’éducation, Christophe Girard, adjoint au maire de Paris chargé de la culture, Philippe Aghion, professeur à Harvard, Yazid Sabeg, commissaire à la Diversité, ou encore Jean-Paul Bailly, président du groupe La Poste ? Ils font partie des 17 personnalités interrogées dans « Altermanager, mode d’emploi », livre d’entretiens signé Philip McLaughlin , directeur de BEM (Bordeaux Ecole de Management). Les thèmes abordés brassent large : le mérite scolaire et la diversité sociale dans les ESC ; le fondement de la légitimité d’un chef ; la responsabilité des agences de notation ; la question des normes en matières de développement durable ; le contenu des formations des business schools… Les interviews sont suivies de longs commentaires de l’auteur. De cet ensemble hétéroclite, Philip McLaughlin entend « donner matière à penser » aux parties prenantes de BEM. Il nous explique sa démarche. Pourquoi publier ce livre d’entretiens ?

Le blog de Stéphan Bourcieu » Blog Archive » La stratégie des écoles de management à la croisée des chemins Dans les marchés matures, lorsque la croissance s’essouffle, on observe généralement une double évolution de la stratégie d’offre produit à partir de la même gamme initiale : • d’une part, des produits qui répondent à une sophistication des usages, ce qui entraine une augmentation des prix ; • de l’autre, des produits qui répondent à une popularisation des usages avec un abaissement continu des prix. La part de marché des produits haut de gamme et celle de l’offre compétitive sont en croissance au détriment, parfois très fort, du marché initial, de milieu de gamme. Sur les marchés matures, on observe des prix qui continuent de baisser pour les entreprises qui suivent des stratégies de compétitivité et, à l’inverse, des prix qui peuvent monter fortement pour les concurrents qui suivent des stratégies de différenciation fondées sur des segmentations fines. Les écarts de prix se font alors selon des rations élevés : ils traduisent les différentes stratégies entre concurrents. 1. 2. 3.

Université de Cergy-Pontoise : l'expérience Fab Lab Emmanuel Vaillant et Camille Stromboni | Publié le , mis à jour le Installé à Gennevilliers, le "Fac Lab" de l’université de Cergy-Pontoise (UCP) est le premier Fab Lab implanté au sein d’une institution universitaire. Fab Lab pour Fabrication Laboratory… Ce concept, initié il y a dix ans aux Etats-Unis, se veut ouvert tous les publics: des professionnels, des enseignants aux étudiants et autres passionnés de bidouillage. Pour en profiter, il suffit de s'y rendre. Depuis son ouverture en février 2012, quelque 150 à 200 personnes se retrouvent ainsi chaque mois autour d’une découpe laser, d’une imprimante 3D ou autre fraiseuse numérique pour réaliser un prototype, tester une idée, explorer une technique. "Ouvrir l'université sur la société" "Le Fac lab entre complètement dans les missions de l'université. Deux enseignants sont en charge de la structure, Emmanuelle Roux et Laurent Ricard. Visionner la vidéo : Un Fab Lab, à quoi ça sert ? La vague des Fac Lab

La fac de droit de Nantes va remplacer les partiels par un grand oral A la rentrée 2012, la faculté de droit et de sciences politiques de l’Université de Nantes va instaurer de nouvelles modalités d’examens. En lieu et place des traditionnels partiels, elle va organiser un oral unique et transversal en fin d’année. L’idée est de donner une approche concrète de la discipline et de limiter le bachotage. Qui a dit que les universités ne savaient pas innover ? Une approche plus concrète et transversale du droit « Entre travail personnel et bachotage pour les examens, les étudiants ne s’en sortaient plus, explique ainsi Thomas Cailleau, Conseiller du Président de l’Université de Nantes en charge des questions étudiantes, pour justifier cette réforme. Plusieurs universités ont aussi abandonné les partiels Faire évoluer les modalités d’examen est un sujet dont se sont emparées plusieurs universités dernièrement. Audrey Steeves (avec Keek)

Le blog de Jean-François Fiorina » Blog Archive » Rencontre // Universités d’entreprise, nouvelle concurrence pour les business schools ? Les universités d’entreprise investissent de manière très innovante le champ de la formation et de la pédagogie. C’est une question à laquelle je suis très sensible comme directeur d’une grande école et initiateur d’une dynamique de réflexion et d’expérimentation autour de l’école du futur. J’ai invité sur mon blog, Denis CRISTOL*, co-auteur avec Eric Mellet, d’un ouvrage très intéressant sur ce thème, « Développer une université d’entreprise : créer un levier de business development ». Pierre Morlière, Président du consortium quaternaire en a rédigé la préface et Pierre-Julien Dubost, Président d’honneur du Comité mondial pour les apprentissages tout au long de la vie en a rédigé la postface. Comme le décrit cet ouvrage, les universités d’entreprise sont devenues « des leviers de business development et des outils de métamorphose des entreprises ». Mais comment fonctionnent-elles ? Jean-François FIORINA : pourquoi cette idée d’écrire un livre sur les universités d’entreprise ?

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