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Pour créer un jardin écologique permanent

Pour créer un jardin écologique permanent
Je pratique le jardinage écologique et biologique depuis plus de 30 ans après avoir visité, en 1975, des endroits de la Californie où des jardins luxuriants n'avaient recours à aucun engrais artificiel et harmonisaient leurs formes avec un paysage grandiose. Le jardin faisait partie de la vie de famille et il était adapté à ses besoins, et non l'inverse. J'ai découvert le concepteur du jardin autofertile à la fin des années 70 avec la lecture de La révolution d'un seul brin de paille, de Masanobu Fukuoka1, un microbiologiste et agriculteur japonais qui a propagé sa philosophie du "non-agir" à travers les continents dans les années 80. Cette technique d'agriculture naturelle préconise l'action simultanée d'éléments naturels qui, ensemble, ont un effet plus grand que la somme de leurs parties. On y cultive les plantes dans un sol sauvage qui s'autofertilise perpétuellement et se travaille par lui-même (sans travail du sol et sans labour).

Comment réaliser une culture liquide ? Préparation: Pour faire une culture liquide vous devez commencer par préparer votre récipient et votre mélange d’eau sucrée comme expliqué dans l’article: Qu’est ce qu’une culture liquide de mycélium? Stérilisation: Une fois que vos récipients sont prêts vous devez les stériliser: -Fermez les couvercles de vos pots et posez-les dans le panier de l’autocuiseur. -Allumez le feu et comptez 20 à 25 minutes après le sifflement de la soupape de l’autocuiseur puis coupez le feu. -Retirer la soupape pour faire redescendre la pression et laissez refroidir vos pots jusqu’à ce qu’ils soient à température ambiante. Inoculation: Cette étape doit être réaliser avec un maximum de stérilité afin de lutter contre les vecteurs de contaminations. Pour remplir votre seringue d’air stérile, il vous suffit d’aspirer lorsque l’aiguille est rougie par une flamme. Vous pouvez inoculer votre culture liquide avec: -chauffez le tour de votre pot à la flamme. -dévissez le couvercle SANS l’ouvrir. Utilisation: Conservation:

Qu'est ce qu'une culture liquide de mycélium? Utilité: Une culture liquide (CL) est une solution d’eau sucrée et stérile dans laquelle vous allez cultiver et multiplier le mycélium de l’espèce choisie. Le but de la culture liquide est de vous permettre d’inoculer votre substrat (paille ou céréales par exemple) ou une nouvelle culture liquide. La CL permet de conserver une espèce mais aussi de la reproduire à volonté. Choix du récipient: Une culture liquide peut être réalisée dans tout récipient en verre possédant une fermeture hermétique (pot de confiture, bouteille de jus de fruits,…) Néanmoins, il est préférable de faire plusieurs petits volumes au lieu d’un gros: si vous faites une culture liquide de 1L et qu’elle est contaminée votre espèce sera perdue (à moins de faire une isolation sur agar, méthode que je décrirais dans un futur article). Pour cette raison, je recommande l’utilisation de petits récipients et je trouve les minis pots de confiture (30 grammes) parfaits pour la culture liquide. La solution de culture: eau + sucre

La culture des champignons comestibles chez soi Les champignons sont des aliments très nutritifs, ils contiennent quantités de sels minéraux et de vitamines et sont une intéressante source de protéines. Les champignons comestibles peuvent faire l'objet d'une culture domestique, en intérieur dans une cave, un sous-sol, un garage ou une remise ou n'importe quelle pièce aérée mais sans courants d'air bénéficiant d'une température constante différentes selon les espèces cultivées : de 16 à 18°C. pour des champignons de Paris par exemple. Certaines espèces apprécient même les fortes chaleurs et supportent jusqu'à 30 à 35°C comme les pleurotes rose (Pleurotus Djamor). Les champignons comestibles se cultivent également en extérieur par exemple sur des souches ou des troncs d'arbres ou sur des bottes de paille. Produire ses propres champignons est moins compliqué qu'on ne l'imagine et demande peu d'investissements. Pourquoi cultiver des champignons comestibles chez soi ? Voir aussi :

Un "verger-épicerie" en permaculture | Le Jardin ComestibleLe Jardin Comestible Si on fait un pas vers la nature, la nature va en faire 10 vers nous.Stefan Sobkowiak Au Québec, Stefan Sobkowiak, pomiculteur bio qui trouvait que le fonctionnement de son verger ressemblait un peu trop à celui d’un verger traditionnel : il utilisait les mêmes méthodes de culture (monoculture) et seuls les produits utilisés changeaient. Constatant de nombreuses maladies, il a décidé de se rapprocher de l’état naturel d’une forêt comestible, en mélangeant les espèces et cultivars de fruitiers, et en y associant d’autres plantes, comestibles comme des arbustes à fruits, légumes vivaces, ou fleurs comestibles, ou d’un intérêt agronomique comme des plantes fixatrices d’azote. Ce système basé sur la diversité rétablit l’équilibre de la faune et de la chaîne alimentaire. En acceptant de « partager » 5 à 10 % de sa production à la faune qui « travaille » dans le verger, Stefan bénéficie d’un système équilibré, demandant peu d’entretien.

Le niveau égyptien: courbes de niveaux Dimensionnement d’une baissière (swale) Pré­am­bule aqueux Le monde oc­ci­den­tal n’aime pas l’eau stag­nante. Ne dit-on pas qu’il faut se mé­fier de l’eau qui dort ? La per­ma­cul­ture ré­con­ci­lie le pay­san avec l’eau, même les pluies in­ces­santes de no­vembre ou les orages di­lu­viens d’août, en in­ven­tant toutes sortes de moyens de gar­der l’eau dans le pay­sage ou sous le pay­sage, qu’elle s’y sente suf­fi­sam­ment bien pour y res­ter le plus long­temps pos­sible et ne le quit­ter qu’à re­cu­lons, à la vi­tesse d’un es­car­got co­ma­teux, ja­mais as­sez vite pour em­por­ter la moindre par­ti­cule de sol ou mo­lé­cule de nutriments. La noue (tra­duc­tion de swale) est l’un de ces moyens. Je vous re­par­le­rai de celle que j’ai réa­lisé dans le tiers bas du jar­din, et je vais aujourd’hui vous inon­der d’équations. Exi­gence de dimensionnement Le but est que la noue ne dé­borde ja­mais. In­dice : vous pou­vez pas­ser les cal­culs et pas­ser di­rec­te­ment au résultat. Dé­but des calculs soit donc Ré­sul­tat Pluies conti­nues

Swales, Berms & Mycelium - Edgewood Gardens' Permaculture Paradise! Edgewood Gardens in Jacksonville, USA, have had a makeover - becoming a permaculture paradise. Through a variety of methods, this project shows how well permaculture design works to create an abundant, balanced and natural system. The land was originally pasture, with water running across the field off onto a nearby road and then down a drain. By building swales, water is captured, remaining on site to irrigate the berms, where the fruit trees, shrubs and vegetables grow. Using mycelium in a wood chip mulch also helps retain moisture, whilst working in a symbiotic relationship with plants, swapping nutrients for plant sugars. The three-sisters growing method of corn, beans and squash, utilises space, and again works as a symbiotic relationship between each plant. Planting herbs and flowers attracts pollinators for the plants and fruit trees plus creates a pest control system so that pesticides are not needed. A great example of design and mulit-stacking functions. Further resources

La spirale d'herbes aromatiques Les anglais, dont le climat humide ne favorise pas la culture des plantes aromatiques, ont inventé un parterre surélevé en spirale pour les cultiver dans n’importe quel jardin. La structure accumule la chaleur et tempère les variations de température. La pente crée un microclimat plus chaud que les alentours. Matériel nécessaire bêche pelle transplantoir truelle de maçon pierres ou briques résistants au gel petit bassin ou film plastique étanche gravats grossiers compost sable ciment (seulement si maçonnerie) Réalisation de la forme Choisissez pour votre spirale un emplacement ensoleillé. Etalez une couche de sable circulaire (diamètre env. 3m) qui constituera le fond. Dessinez la forme de votre spirale à l'aide d'une traînée de sable. Montage de la spirale Commencez le montage au centre de la spirale avec un mur sec ou maçonné. Remplissez le centre de la spirale d'une couche drainante faite de gravats et de pierres. Ajoutez une couche de sable et de terre de 20-30 cm.

20 Ways to control slugs in the permaculture garden or on the allotment There are many tips about how to fight these invertebrates circulating around allotments and gardens – some are fables, some are more effective than others. The reality is that no single thing does the trick. In short, the solution is to create an ecosystem in your garden that will help to create a balance. A plague is caused by an imbalance, a lack of predators that keep the population of slugs under control. A number of years ago I started a forest garden in the middle of a very wet woodland, in the midst of a slug stronghold. Here is what I learned: Step 1: know your enemy There are a lot of different kinds of slugs and some are more harmful than others. The most harmful slugs: Some slug characteristics: Slugs don’t have teeth, so rasp vegetables rather than chew them. Step 2: correct the imbalance Introduce and encourage predators Nematodes: This is the quickest, most effective, least labor intensive biological method to secure a slug free area for up to 6 weeks. Frogs: Toads Slow worms:

Documentary aims to make permaculture more accessible For those of us with garden beds full of annual vegetables that require replanting each year, and careful attention throughout the growing season to keep them alive and thriving, the thought of having an ecosystem in place that can take a lot of the work out of growing food, while also providing multiple functions (soil building, creating shade and wind barriers, serving as wildlife and pollinator habitats, harvesting and retaining water, etc.) is quite appealing. And there is such a system that can offer a variety of benefits to not just the grower, their local neighborhood, and their community, but can also address some of the larger challenges that we as a species are facing, such as water and food scarcity, decreasing soil health, and resource depletion. Two young filmmakers are trying to change that, by introducing people to permaculture in a way that’s accessible, understandable, and compelling, with their forthcoming documentary, titled « Inhabit: A Permaculture Perspective. »

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