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MOOC côté cours : Les principales étapes du cycle cellulaire

MOOC côté cours : Les principales étapes du cycle cellulaire

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Il y a 60 ans, la découverte de l'ADN ANNIVERSAIRE. Le 25 avril 1953, deux jeunes chercheurs – Francis Crick, 36 ans, et James Watson, 24 ans – publiaient les fruits de leur recherche, dans un article de la revue Nature accompagné de quelques dessins (image ci-contre). Peu de chercheurs allaient alors se rendre compte de l’importance de cette découverte. Et il a fallu presque dix ans pour que la communauté scientifique s’aperçoive de la véritable révolution qu’engendraient les travaux de Watson et Crick. Denisova : notre cousin d’Asie sort de l’ombre À Leipzig, la cafétéria de l’institut Max-Planck d’anthropologie évolutionnaire bruisse souvent des rumeurs annonçant la publication d’une découverte majeure. Il faut dire qu’elles se succèdent à un rythme étourdissant depuis la fondation de cet institut. Pour autant, l’année 2010 reste marquée dans les mémoires par une agitation exceptionnelle autour du buffet des crudités.

CNRS Images - La mitose La mitose est la division cellulaire qui permet une répartition égale de l’information génétique d’une cellule-mère initiale à deux cellules-filles tout en conservant le caryotype au fil des générations cellulaires. La mitose permet la croissance d’un organisme de la cellule-œuf à l’adulte ainsi que le renouvellement tout au long de sa vie de ses cellules comme par exemple les cellules sanguines ou les cellules de la peau chez les animaux. Chez les végétaux, la mitose participe à la croissance des organes comme la racine ou la tige par augmentation du nombre de cellules : ce mécanisme s’appelle la mérèse. La division cellulaire est un phénomène contrôlé. Un défaut de ce contrôle peut aboutir à la prolifération anarchique des cellules et à la formation de tumeurs. Avant l’entrée en mitose, au cours de la phase S de l’interphase, la réplication de l’ADN permet la duplication des chromosomes.

Lettre de Francis Crick à son fils, 1953 Le 19 mars 1953, Francis Crick écrit à son fils Michael, alors âgé de 12 ans, pour lui expliquer la nouvelle structure de la molécule d’ADN à laquelle James Watson et lui-même sont très récemment arrivés suite à leurs travaux menés au sein du laboratoire Cavendish de l’université de Cambridge. Cette lettre est antérieure à la parution, dans la revue Nature, des articles de F. Crick et J. Watson et Crick: la structure de l'ADN Deux découvertes qui vont aider Watson et Crick Au début des années 40, les scientifiques s'interrogent sur un grand mystère: dans quelles molécules se cache l'information génétique ? En 1944, le médecin-chercheur canadien Oswald Avery identifie sur les bactéries la substance qui compose les chromosomes: l'acide désoxyribonucléique, autrement dit l'ADN.

L’épigénétique mène le génome à la baguette Identifiées chez la mouche drosophile il y a plus de 70 ans, les protéines Polycomb et Trithorax apparaissent depuis peu comme des régulateurs essentiels de l’expression de nos gènes. Retour sur les travaux récents mettant en lumière le rôle de ces complexes protéiques et les perspectives médicales que soulèvent ces découvertes. Depuis une petite dizaine d’années, l’épigénétique a le vent en poupe. Cette branche de la biologie s’intéresse aux mécanismes moléculaires capables de réguler l’expression des gènes sans pour autant modifier la séquence nucléotidique dont ils découlent. Parce qu’elle ne modifie pas la partition du code génétique mais la manière dont celle-ci sera lue, l’épigénétique tient en quelque sorte le rôle de chef d’orchestre du génome. Aussi surprenant que cela puisse paraître, l’identification des tout premiers facteurs de régulation épigénétique, les protéines appartenant au groupe Polycomb, a précédé celle de la structure en double hélice de l’ADN.

CRISPR-Cas9 : le couteau suisse qui révolutionne la génétique Six millions de dollars. À lui seul, ce chiffre résume l’engouement actuel pour un nouvel outil de génie génétique aussi puissant qu’imprononçable : « CRISPR-Cas9 ». Cette somme a en effet été décernée à ses deux co-inventrices – la Française Emmanuelle Charpentier et l’Américaine Jennifer Doudna – par le prestigieux Prix « Breakthrough 2015 in Life Sciences » créé par les fondateurs de Google et Facebook. Il faut dire que CRISPR-Cas9 constitue une véritable révolution en mettant le génie génétique à la portée de n’importe quel laboratoire... À la clef, l’espoir de traiter de nombreuses maladies génétiques incurables. Et l’enthousiasme est palpable dans le milieu médical : pour Alain Fischer, grand spécialiste français de thérapie génique, cet outil pourrait même valoir le prix Nobel au duo Charpentier-Doudna !

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