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Vélotaf : pédaler utile, vivre mieux

Vélotaf : pédaler utile, vivre mieux

Aller au travail en vélo : solutions contre la sueur et autres galères Arriver au travail suant et puant. C’est l’un des risques sociaux que prennent les « vélotaffeurs », comme on les appelle dans la communauté des bicyclettes. Le vélotaf, c’est aller au taf à vélo. Chaque jour, les vélotaffeurs mangent des kilomètres sur leur selle, 10, 20, 30 parfois 40. C’est très courageux, mais ça ne va pas sans quelques petits soucis. S’équiper pour ne pas avoir les fesses et les pieds sales Le problème Vous avez peut-être déjà observé ce problème chez un ou une collègue cycliste. C’est l’effet d’un vélo sans garde-boue. « J’ai niqué deux pantalons clairs à cause de ça. » Les solutions Se procurer un garde-boue et si possible un surpantalon. Mettre des habits qui évitent de transpirer/puer En hiver, quand le cycliste pédale, la température monte progressivement. Mon collègue Clément Guillou, passionné de bicyclette, pédale aussi : 8 km par jour, entre chez lui et la rédaction de Rue89. « Quand tu rentres dans les locaux, ta vie devient un enfer. Le problème La solution

Veloptimal.com • Page d’index Bicycode Sheldon Brown's Home Page Fédération française des Usagers de la Bicyclette Le cyclotourisme à Villepreux Association des Cyclos Randonneurs de Villepreux - FFCT n° 04151 - samedi 19 avril 2014 VILLEPREUX - LES ANDELYS - VILLEPREUX 26 ème édition cliquez sur l'image pour accéder au téléchargement de la fiche d'inscription samedi 3 mai 2014 BREVET (BRM) DE 300 km cliquez sur le lien pour plus d'infrormations Bienvenue sur le site internet des cyclos randonneurs de Villepreux. Paul Arsac, Président de l'ACRV. Collectif Vélos en Ville Lassée des incivilités, la «vélosphère» se rebiffe Désormais armés d'une caméra embarquée sur le casque ou le guidon, les cyclistes documentent chaque jour les incivilités qui émaillent leurs trajets. Voitures stationnées sur les pistes cyclables, queues de poisson, priorités grillées… De quoi récolter des preuves en cas de conflit, interpeller les collectivités sur le manque d’infrastructures, alerter les entreprises dont les véhicules sont #GCUM (pour #GaréCommeUneMerde). Sur les réseaux se développe ainsi depuis plusieurs années une «vélosphère», communauté dynamique d'une à deux centaines de comptes qui partagent, témoignent et dénoncent. Et il y a de quoi faire. Selon «Bilook le cycliste», usager de longue date du forum velotaf.com, le portail francophone le plus actif en la matière, c’est de pire en pire. Depuis 20 ans, ses 26 kilomètres par jour lui ont permis de voir s’instaurer «une violence de plus en plus banalisée, un vélo-bashing généralisé. Des cibles, il y en a aussi de l'autre côté. «La limite, c’est la violence»

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