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«La croissance harmonise le bonheur de tous»

«La croissance harmonise le bonheur de tous»
La croissance rend-elle les gens plus heureux ? Question hautement polémique au moment où la France s’enlise dans la récession, où la menace écologique est une urgence et où une partie des citoyens et des chercheurs militent pour un modèle décroissant. En interrogeant les ressorts de la croissance au regard du bien-être dans son nouveau livre l’Economie du bonheur, Claudia Senik, professeure à l’université Paris-Sorbonne et à l’Ecole d’économie de Paris, relance le débat. Cette chercheuse travaille sur un matériau assez nouveau, le bonheur, qui aussi subjectif et insaisissable soit-il, affine la compréhension des comportements humains dans une économie de marché. Ainsi se développe une approche psychologique de la crise, basée sur de grandes enquêtes de satisfaction auprès de la population. A côté du taux de chômage ou du PIB, le bonheur peut-il devenir un nouvel indicateur économique fiable au point de dessiner l’avenir d’un pays ? Comment expliquer ce phénomène ? Dessin Yann Legendre

Bonheur et économie. Le capitalisme est-il soluble dans la recherche du bonheur? Autres articles La psychologie s’intéresse depuis près de 50 ans au bonheur. Aujourd’hui paraissent chaque année près de 2000 études s’y rapportant. Les connaissances accumulées sur le bonheur sont donc considérables. Ces connaissances mettent à mal les façons traditionnelles dont sont conçues l’économie et les politiques publiques en même temps qu’elles ouvrent sur de nouvelles idées et de nouvelles pratiques. Une nouvelle branche de l’économie a ainsi éclos, l’économie du bonheur. Parce que les recherches en psychologie du bonheur et plus généralement en psychologie positive ouvrent sur une meilleure connaissance du meilleur de nous-mêmes, parce que ces recherches commencent à infuser les sciences économiques et les sciences politiques, un avenir meilleur, meilleur pour chacun, s’ouvre à nous. Renaud Gaucher

Vers un monde sans argent ? Découvrez ce site où tout s'échange, gratuitement Connaissez-vous MyTroc ? C’est un site internet qui permet d’économiser de l’argent, qui vous fait faire potentiellement de belles rencontres tout en préservant l’environnement et en proposant un système monétaire alternatif… Et vous n’allez bientôt plus pouvoir vous en passer ! En fait, le concept est simple : la communauté MyTroc est basée sur un système d’échange et de troc. MyTroc.fr Garde d’enfants, séances d’hypnose, babioles diverses, cassage d’une dalle, cours d’anglais, miel artisanal, balade en voilier ou jardinage, on trouve vraiment de tout (et forcément, notre bonheur) sur MyTroc ! Alors que la plate-forme a été lancée en novembre 2015, elle compte déjà plus de 15 000 membres en un an, et quelque 10 000 annonces ont déjà été postées... Un site pratique, convivial et plein de bons plans, qui permet en plus de faire de belles rencontres… mais pas seulement, aux yeux de l’une de ses créatrices, Floriane Addad : Les deux cofondatrices, Célia Dulac et Floriane Addad

Argent : ce que nous apprend l'économie du bonheur Acheter sa maison, s'offrir un voyage... Nos décisions budgétaires impactent nos finances, bien sûr, mais aussi notre bonheur. De quelle manière ? Figurez-vous qu'une discipline économique a justement pour objectif de répondre à cette question et d'analyser les liens entre situations économiques (personnelle et globale) et bien-être. Née aux Etats-Unis, l'économie du bonheur a aujourd'hui son institut en France, inauguré jeudi par son fondateur, l'économiste Mickaël Mangot. L'Express-VotreArgent : L'économie du bonheur, ça fait sourire... Mickaël Mangot : C'est une discipline académique très sérieuse, qui a émergé dans les années 1970 grâce au travail de l'Américain Richard Easterlin. A LIRE >>Combien faut-il gagner pour être heureux ? Les études sur lesquelles s'appuie l'économie du bonheur s'intéressent au bonheur déclaré. Quels comportements sont les plus susceptibles de nous rendre heureux en matière de gestion de notre argent ? A LIRE >>Etre propriétaire rend-il heureux ?

L'économie du bonheur Que l'économie s'occupe de la question du bonheur est caractéristique de notre époque. Notre civilisation actuelle pourrait bien en effet se définir par ces deux termes : "économie" et "bonheur". La foi dans le quantitatif et les chiffres pour rendre compte de la réalité d'une part, et notre volonté affichée d'être heureux d'autre. L'économie du bonheur rassemble ces deux traits en une discipline académique. Son postulat de base de l'économie du bonheur est davantage révélateur encore, puisqu'elle suppose que la croissance économique nous rendrait heureux. L'économie du bonheur fait cependant une découverte qui met à mal sa naïve conviction première : La période des "trentes glorieuses", période de croissance économique par excellence, n'a pas fait d'heureux. En 1974, Richard Easterlin, économiste et démographe américain, montre qu'entre 1947 et 1970, le pourcentage d'américains se déclarant "très heureux" est resté à 30%. 1. 2. 3. 4.

L'économie du bonheur L'économie du bonheur est une discipline académique née aux Etats-Unis, dans les années 70, qui s'est considérablement développée ces dernières années. Il y a même un Institut de l'économie du bonheur à Paris qui a ouvert ses portes en novembre dernier. Evidemment, tout cela est très empirique puisque l'on parle de ressenti. En tout cas, de nombreux chercheurs ont démontré qu'au-delà d'un certain revenu, le niveau de bonheur ne progresse plus vraiment. Acheter, posséder et épargner nous rendent-ils heureux ?

Economie du bonheur : la nouvelle main invisible ?  - Monde Management et emploi, management et travail, management en europe, gouvernance et travail travail emploi europe Etes-vous heureux dans votre travail de manière générale ? Qu'est-ce qui vous rend heureux au travail ? Qu'est-ce qui pourrait améliorer votre bonheur au travail ? Quand vous sentez vous plus heureux au travail, vous sentez vous plus performant ? Toujours ? Ces questions font partie des problématiques qui peuvent se poser en économie du bonheur, une branche de l'économie, empirique, qui fait le lien avec la recherche sur le bonheur. L'économie du bonheur est une branche relativement récente et peu connue de l'économie. L'économie du bonheur s'intéresse à bien d'autres thèmes que le bonheur et l'argent. L'économie du bonheur étudie en effet plusieurs thèmes qui peuvent intéresser l'entreprise, notamment le bonheur au travail, les chômeurs et la relation entre bonheur au travail et performance économique. Il existe différentes enquêtes sur les attentes en matière d'emploi et notamment sur la satisfaction au travail. Ces enquêtes ne sont pas le fait d'économistes du bonheur. Références:

Avec la neige, moins de PIB mais plus de BIB (bonheur intérieur brut) "Aujourd'hui, ça doit être l'anniversaire de l'hiver, tout le monde lui fait sa fête en postant de chouettes photos blanches", par l'artiste Martine Camillieri, 19 janvier 2013 Tout a commencé samedi matin. Dans la fenêtre de mon navigateur web, les photos et commentaires tombent comme les flocons, ils respirent presque tous la joie de vivre et la bonne humeur. Certain(e)s paniquent, certes, mais la poudreuse ne nous ramenait-elle donc pas un peu à l'essentiel ? "C'est l'angoisse du temps qui passe... ... qui nous fait parler du temps qui fait". Et vous savez quoi ? Sur Facebook, mon ami Erick commence par faire peur : "ce matin, la guerre a été déclarée avec les territoires frontaliers : France contre Maroc contre Pologne..." dit le début de son statut..." Mon amie Isa pense tout haut: "on s'y croirait", lance-t-elle en commentant une photo de sa terrasse où plusieurs paires de gants sèchent sur la table, avec derrière la vue sur un Parc des Buttes Chaumont tout blanc.

Et si on parlait de « bonheur national brut » ? - La Croix Les 17es Rencontres économiques d’Aix-en-Provence, dont La Croix est partenaire, portent sur le thème « à la recherche de nouvelles formes de prospérité ». Quels sont les nouveaux visages de la prospérité ? Et si nous décidions que le « produit intérieur brut » n’est qu’une facette parmi d’autres de la richesse d’un pays ? À cette occasion, La Croix apporte sa pierre aux trois jours de débats, du 7 au 9 juillet, en donnant la parole à dix personnalités de tous horizons. Jusqu’à une époque récente, la prospérité était considérée de manière exclusivement économique. Désormais, il paraît clair qu’il faut envisager la prospérité de manière plus approfondie. Plusieurs mutations expliquent cette nouvelle approche. Les instruments de mesures traditionnels Corollairement, cela a conduit à remettre en cause les instruments de mesure traditionnels de prospérité. Autre grande mutation : la mondialisation qui a rendu les différentes régions du monde beaucoup plus dépendantes les unes des autres.

La pyramide de Maslow La pyramide de Maslow est une classification hiérarchique des besoins humains. Maslow distingue cinq grandes catégories de besoins. Il considère que le consommateur passe à un besoin d’ordre supérieur quand le besoin de niveau immédiatement inférieur est satisfait. Nous proposons une nouvelle approche de ce modèle en : reprenant les 5 catégories de Maslow, brisant cette vision hiérarchique (aujourd’hui contestée), introduisant un nouveau besoin, déduit de notre modélisation. Les besoins humains selon Maslow : Les besoins physiologiques sont directement liés à la survie des individus ou de l’espèce. Le besoin de sécurité consiste à se protéger contre les différents dangers qui nous menacent. Le besoin d’appartenance révèle la dimension sociale de l’individu qui a besoin de se sentir accepté par les groupes dans lesquels il vit (famille, travail, association, ...). Le besoin d’estime prolonge le besoin d’appartenance. Notre modélisation révèle un sixième besoin : elle n’a pas encore d’existence

L'auteur et le journal sont connus et crédible malgré la tendance politique de "Libération".
Il se pose la question sur l'égalité du bonheur dans le monde. by momocam Mar 7

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