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Mails et recherches Internet ont un impact sur l’environnement

Mails et recherches Internet ont un impact sur l’environnement
Spammer, googler, c’est aussi du CO2 émis et des ressources consommées: l’Ademe publie une étude sur l’impact des TIC, loin d’être anecdotique, et égrène plusieurs recommandations. L’Ademe (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) publie ce jeudi une étude sur l’impact environnemental des TIC, mesuré pour le courrier électronique, les requêtes Web et les clés USB. Elle a été réalisée par Bio Intelligence Service (BIOIS). BIOIS avait réalisé en 2008 un rapport pour la Commission européenne (« Impacts of Information and Communication Technologies on Energy Efficiency »), qui estimait que les TIC contribuaient, en 2005, à 2% des émissions européennes de gaz à effet de serre, et pourraient atteindre d’ici 2020 près de 4% des émissions en poursuivant sur les mêmes tendances. L’étude menée pour l’Ademe amène l’agence à faire plusieurs recommandations – souvent de bon sens – pour limiter cet impact environnemental des technologies de l’information. Clés USB Et l’ordinateur alors? Related:  Veille informative sur Internet

Internet est-il bon pour l'environnement et la planète? Faire ses courses assis devant son ordinateur, lire son magazine préféré sur une tablette, son polar sur une liseuse, se mettre à la visioconférence... La cause semble entendue : toutes ces activités seraient bonnes pour l'environnement, permettant d'économiser les transports, donc d'épargner les forêts et de réduire les émissions de CO2. Comme toujours, les choses ne sont pas si simples. On s'en doute un peu : nos joujoux high-tech consomment de l'électricité, les octets transitent par des data centers très énergivores, et les trajets des camionnettes des supermarchés en ligne ne sont pas toujours optimisés. Mais ce n'est pas tout. Dans un ouvrage(1) très détaillé, des chercheurs du CNRS passent en revue l'impact environnemental de nos ordinateurs, iPad, écrans plats et smartphones, mais aussi des réseaux nécessaires pour les faire communiquer. Tout commence avec les puces électroniques. Miniformat mais maxidégâts: l'impact écologique d'une puce électronique

L'Ademe se penche sur l'impact environnemental des TIC A travers des analyses de cycle de vie de courriers électroniques, de requêtes web et de clés USB, l'Ademe a cherché à mesurer ce que représentent ces activités pour l'environnement, et comment améliorer les pratiques. "L'évolution de nos activités vers le numérique s'est opérée de manière transparente", note Alain Anglade, ingénieur en technologies de l'information et de la consommation (TIC) et en efficacité énergétique à l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe). En effet, rares sont ceux qui ont conscience, aujourd'hui, de l'impact environnemental que représentent quelques clics sur Internet. Pourtant, ces activités ne sont pas anodines : selon un rapport de l'agence d'études et de conseil en environnement Bio intelligence services datant de 2008, les TIC représentaient, en 2005, 2% des émissions de gaz à effet de serre (GES) en Europe. Un chiffre voué à augmenter, jusqu'à doubler d'ici 2020. Alors, facture électronique ou papier ?

Ecologie : Internet est-il respectueux de l’environnement ? Nombreux sont les internautes à ne pas avoir conscience de l’impact d’internet sur l’environnement, ou plus exactement ceux des serveurs web et de l’infrastructure en place pour faire fonctionner ces derniers. Cet état des choses étant selon toute vraisemblance et de façon compréhensible lié à la méconnaissance du fonctionnement du web. Dans un souhait de sensibiliser les non-professionnels à l’architecture du web et à l’important rejet de CO2 engendré par cette activité, la vidéo How Green Is Your Internet? a été réalisée pour HungryBeast : Comme dévoilé, chaque seconde de vidéo regardée en ligne correspond à l’émission de 0.2 gramme de dioxyde de carbone dans l’atmosphère terrestre. Sachant que YouTube affiche pas moins de 2 milliards de vidéos quotidiennement, d’une moyenne de 10 secondes chacune, cela représente 4 000 tonnes de CO2 par jour. Source : Blog du Modérateur Baptiste Simon aka TiChou

Cadre juridique des administrateurs réseaux Les administrateurs réseaux assurent le fonctionnement normal et la sécurité du système informatique de leur employeur. Ils sont susceptibles d’avoir accès, dans l’exercice de cette mission, à des informations personnelles relatives aux utilisateurs (messageries, logs de connexion, etc.). L’accès par les administrateurs aux données enregistrées par les salariés dans le système d’information est justifié par le bon fonctionnement dudit système, dès lors qu’aucun autre moyen moins intrusif ne peut être mis en place. Ils doivent dès lors s’abstenir de toute divulgation d’informations qu’ils auraient été amenés à connaître dans le cadre de l’exercice de leur mission, et en particulier les informations relevant de la vie privée des employés ou couvertes par le secret des correspondances, dès lors qu’elles ne remettent pas en cause le fonctionnement technique ou la sécurité des applications, ou encore l’intérêt de l’employeur.

Serge Tisseron Posté par Serge TISSERON le 7 juin 2012. La première révolution engagée par la culture numérique est culturelle La culture du livre est une culture de l’un, dominée par une conception verticale du savoir : celui qui sait écrit un livre pour ceux qui ignorent. La seconde révolution engagée par la culture numérique est cognitive. Si la culture du livre était capable de relayer toutes nos possibilités psychiques, la culture numérique n’aurait jamais été inventée ! La troisième révolution engagée par la culture numérique est psychique. Les technologies numériques modifient enfin le fonctionnement psychique de plusieurs façons. 1. Ces trois révolutions ne font pas de la culture des écrans une « sous culture » inférieure celle du livre, mais une culture différente, chacune avec ses points forts et ses faiblesses, ses excès et ses impasses.

Ce qu'il faut retenir de la victoire de Google sur Oracle Jeudi, Google a gagné une nouvelle manche dans le cadre de son procès contre Oracle, qui l'accusait de violation de brevets et de copyright. Google a utilisé la technologie Java, détenue par Oracle, pour développer son système d'exploitation Android. Les enjeux étaient énormes. Déjà en termes de dommages et intérêts, puisque Oracle réclamait un milliard de dollars. Thomas Beaugrand, avocat du cabinet Staub & Associés, spécialiste du droit de l'informatique, décrypte la portée de ce jugement. Que retenir et comprendre de ce procès, qui a duré plusieurs mois? Ce procès est lié à la technologie Java, qui est constituée d'un ensemble de programmes et d'API (application programming interface), sachant que Google a développé son système d'exploitation Android à partir des API Java. Quels sont les grands enseignements de cette décision? Cela casse un peu la dynamique actuelle de renforcement de la propriété intellectuelle. Cela ne devrait ni booster Java, ni l'handicaper. Pas grand chose.

Comment Facebook gagne-t-il de l’argent  Alors qu’on apprenait en fin d'année dernière que le patron le mieux payé des Etats Unis en 2012 était Mark Zuckerberg, l’agence Bloomberg annonce que Sheryl Sandberg (directrice d’exploitation de Facebook, la n°2 de la firme) est entrée dans le club jalousé des milliardaires. Un évènement rendu possible par la bonne santé de l’action Facebook, qui reflète celle des revenus du réseau social. 85 % de ses revenus proviennent de la publicité, et notamment de la pub sur mobiles, qui est en très forte croissance. Miser sur cette nouvelle source de revenus, c’était le pari de Mark Zuckerberg lors de l’introduction en bourse de Facebook au printemps 2012. La stratégie gagnante de la mobilité L’histoire semble donner raison au patron de Facebook. Enfin, 15 % des revenus proviennent des éditeurs de jeux et d’applications intégrés, ou associés, à Facebook.

Cyberattaques : Un nombre record de 24 millions enregistré au second trimestre 2013 Le nombre de cyberattaques a atteint des sommets au deuxième trimestre de l’année en cours. Selon un rapport de l’entreprise FireHost, cette hausse s’explique par la combinaison des techniques d’intrusions. Les cyberattaques ont atteint 24 millions au cours du deuxième trimestre 2013. Cette information est révélée par une étude réalisée par une firme en sécurité. Le rapport indique que les pirates combinent plusieurs techniques pour dérober rapidement et furtivement les données comme installer des programmes malveillants sur les serveurs, assimiler de nouveaux zombies ou botnets ou tout simplement s’attaquer à site web. Une fois installé sur la machine de la victime, le malware se connecte à une URL malveillante et télécharge un fichier de configuration. La particularité de ce malware réside dans sa signature numérique qui ressemble à celle de Mozilla Firefox ou Google chrome, ce qui le rend plus dangereux.

Trop d'écrans : les risques pour les enfants Ils sont nés avec Internet et manipulent, dès le plus jeune âge, ordinateurs, smartphones, et autres tablettes. Le risque d'une trop grande consommation d'écrans par nos enfants ? Un appauvrissement de leur mémoire. Laurence Folléa Anne Pichon Sommaire Quelques conseils Comment apprennent nos enfants ? Ce qui est avéré, c’est que les enfants « pratiquent des actions répétitives qui développent leurs savoir- faire visuo-spatiaux, leurs réflexes, leurs capacités de détection, mais ont du mal à exécuter une tâche s’il n’y a pas un stimulus qui relance l’attention sur une courte durée ». Quelques conseils Les protéger Montrons l’exemple et sachons doser notre propre consommation d’écrans. Se protéger Participer à des groupes d’échanges entre parents permet de mieux comprendre les comportements des enfants et des adolescents dans leur vie numérique. Modifié en décembre 2016

Culture de l’écrit/Culture de l’écran : connexions établies ! La question des contenus est au cœur des travaux et des actions de la commission Contenus de la Fédération Française des Télécoms. Cette semaine nous nous penchons plus précisément sur le champ d’innovation que représente la rencontre du livre et du numérique. En effet, alors que l’on débat encore sur l’idée d’un grand partage entre culture de l’écrit et culture de l’écran, comme c’est le cas de cette émission de radio du samedi 8 décembre 2012, au cours de laquelle s’opposent le philosophe Michel Serres, auteur d’un hommage aux pratiques numériques des jeunes et Alain Finkielkraut, philosophe défenseur de la culture livresque, de récentes réalisations couplant livres et terminaux connectés démontrent que cette scission intellectuellement maintenue ne résiste pas à la réalité des usages innovants.. BBC / Des livres sur mobile en Afrique. Cliquez ici pour consulter l’article mLearning Mobile UNESCO Apprentissage Littérature Cliquez ici pour consulter l’article FFT Contenus Lescure

Nouvelles technologies : Comment éviter la cyberdépendance chez les enfants ? De nos jours, les enfants, dès leur plus jeune âge, sont très attirés par les nouvelles technologies, ce qui est tout à fait normal. Ils sont nés avec, ou presque, et trouvent dans tous ces outils bien des réponses à leur quête de liberté et de soi. Les parents, souvent débordés, sont tentés de laisser leurs jeunes enfants «en compagnie» de ces outils. Croyant que cela ne peut être que bénéfique pour le développement de leurs bambins, les parents n’imposent en général aucune limite ni règle quand leurs enfants commencent à jouer avec ces appareils. Il arrive souvent que ces enfants fassent un usage excessif de ces technologies, ce qui n’est pas toujours bénéfique. Ordinateurs, tablettes, smartphones… peuvent être de simples divertissements, mais quand ils deviennent addictifs, des déséquilibres se produisent chez l'enfant. Et enfin, les conséquences de la cyberdépendance sont physiques. Le monde virtuel coupe l’enfant du monde réel. Explications : Bernard Corbel psychologue

Chiffres réseaux sociaux - 2014 - Blog du Modérateur Facebook, YouTube, Instagram… En 2024, les réseaux sociaux les plus utilisés au monde sont connus depuis plus d’une dizaine d’années. Mais le paysage social media est en constante évolution, et de nouveaux acteurs émergent pour grignoter des parts de marché aux plateformes traditionnelles, à l’image de TikTok dont la popularité a explosé. D’autres réseaux semblent en perte de vitesse, comme Twitter, devenu X, qui peine à trouver son nouveau modèle et à se réinventer. Pour y voir un peu plus clair dans ce riche environnement des réseaux sociaux, nous avons mis en place des pages recensant les statistiques les plus marquantes de chaque plateforme, ainsi qu’une page rassemblant les principaux chiffres, comme la fréquentation, le nombre d’utilisateurs actifs, les usages favoris, etc., en France et dans le monde. Les chiffres des réseaux sociaux dans le monde en 2024 Plus de 35,8 % du temps total passé sur Internet l’est sur les réseaux sociaux. Source : étude We Are Social/Meltwater

L’ère numérique : vers une démocratisation de l’art La résidence de Banksy en octobre 2013 à New York a consacré la renommée de l’artiste et a été baptisée « Better Out than In ». Il s’agit d’un paradoxe intéressant, car si les pièces de la résidence étaient réalisées dans la rue, il n’en demeure pas moins que c’est bien sur Internet que sa visibilité a été primordiale et que l’événement s’est vu acquérir une dimension internationale. Tous les jours, Banksy mettait en ligne ses œuvres et ses performances, et l’information était immédiatement relayée par maints médias et réseaux sociaux #banksyny est ainsi devenu l’un des mots-clés les plus populaires sur Twitter en octobre 2013. C’est un fait connu depuis Exit through the gift shop, le film dédié à Banksy : l’artiste sait parfaitement gérer son image, l’alimenter de rumeurs et de mythes et la faire fructifier. Banksy est parvenu à démocratiser son art, à le faire connaître dans les cercles non attenants au monde de l’art. L’ère numérique : vers une démocratisation de l’art plus aisée ?

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