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Les sciences et les méthodes de l’archéologie - L'archéologie, qu'est-ce que c'est ? - Inrap - Magazine

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Le miroir et la plume, Registres, notaires-secrétaires et chancellerie royale au cœur du XIVe siècle | Circé. Histoires, Cultures & Sociétés RésuméL’article propose de partir à la découverte des registres de chancellerie produits sous le règne des trois premiers souverains de la branche Valois (1328-1380). Ces documents, pourtant beaucoup exploités par les historiens pour leur contenu, n’ont fait l’objet que d’études ponctuelles au cours des cinquante dernières années. Miroir pluriel donnant accès à une société, à des pratiques de l’écrit ainsi qu’au groupe de scripteurs leur donnant vie, les registres de chancellerie posent de nombreux problèmes, à commencer par leur définition, qui seront mis en évidence et pour lesquels quelques éléments de réponse seront apportés. Emmanuelle Portugal. Laboratoire ESR (UVSQ) – Labex PATRIMA. « La diplomatique est la science de la diversité et non de l’uniformité pour débusquer le faux » [2] À peu près au même moment, la discipline historique prit elle aussi un tournant décisif [8]. A. B. Arch. nat. Arch. nat. Arch. nat. Arch. nat. Arch. nat. C. 1. Arch. nat. Arch. nat. 2. Arch. nat. A. B.

Tombes et nécropoles comme sources - Ariane Huteau - Université Paris 1 Ariane Huteau - Au-delà de la gestuelle, l'analyse sociologique funéraire Trois variables scandent l'analyse funéraire : le temps, le lieu et le groupe humain. Si l'identification des deux premières fait appel à des méthodes reconnues de tous, en revanche, celles déployées pour appréhender le groupe humain divergent, reposant à la fois sur des horizons théoriques et des questionnements différents. Que cherche-t-on à comprendre en étudiant tombes et nécropoles ? C'est cette interrogation qui va, en déclenchant le passage à l'étape des interprétations archéologiques, orienter, par là-même, les résultats. On se propose, ici, de dépasser les problématiques du "fait" et du "geste" afin de s'interroger plutôt sur le discours social véhiculé par les pratiques funéraires.

theconversation Une découverte récente pourrait bien transformer radicalement notre perception de l’un des sites archéologiques les plus célèbres au monde, le tombeau de Toutankhamon. En avril dernier, des scans du complexe funéraire de la vallée des Rois ont révélé la présence potentielle d’autres chambres encore intactes à l’intérieur du tombeau – avec peut-être, parmi ces pièces, le tombeau de la reine Néfertiti, ce qui serait une découverte majeure, alors que la tombe de Toutankhamon est étudiée sous toutes les coutures depuis presque 100 ans. Pour certains spécialistes, la reine – morte vers 1330 av. J.-C. – a été enterrée dans une chambre secrète du tombeau de son beau-fils, Toutankhamon (tombeau connu des experts sous le nom de KV62) tandis que d’autres restent dubitatifs quant à cette hypothèse. Néfertiti est une figure centrale pour les égyptologues. Archéologie souterraine Depuis les années 1970, le tombeau de Toutankhamon est sondé grâce une batterie de techniques d’investigation géophysique.

La fouille de puits. Contraintes, protocoles et perspectives de recherche 1En archéologie, la fouille des puits a pendant longtemps été soit incomplète et hâtive, soit mécanisée et imprécise, et parfois réalisée selon des procédures risquées. En raison de la complexité de leur exploration, et malgré certaines découvertes exceptionnelles, les résultats ainsi obtenus sont restés fragmentaires, hétérogènes, et ont relégué ce type de structures au rang de faits archéologiques anecdotiques, voire secondaires. Ces dernières années, de nouvelles approches méthodologiques des puits se sont élaborées à partir d’une convergence de savoir-faire technique, de volonté scientifique et de prise en compte des mesures de sécurité obligatoires. Les puits, s’ils sont fouillés dans de bonnes conditions, représentent une formidable aubaine du fait de la diversité des matériels qui y sont piégés et des possibilités qui sont offertes de saisir des informations chrono-culturelles, paysagères et environnementales inattendues. 1. F. 2. F.

Archives numériques de la Révolution française Les Archives numériques de la Révolution française (ANRF) sont issues d’une collaboration de plusieurs années entre les bibliothèques de l’Université de Stanford et la Bibliothèque nationale de France (BnF), visant à créer une version numérisée des principales sources d’étude de la Révolution française et à les mettre à disposition de la communauté académique internationale. Les Archives s’appuient sur deux sources principales, les Archives parlementaires et un vaste corpus d’images réuni pour la première fois en 1989 et intitulé Images de la Révolution française. Archives parlementaires / Parliamentary archives Les Archives parlementaires sont une collection de sources relatives à la Révolution française, organisées de façon chronologique. Images de la Révolution française / Images of the French Revolution

Sciences auxiliaires de l'histoire Consultez cet article sur le nouveau site web du DHS (version bȇta) L'expression de sciences auxiliaires ou fondamentales de l'histoire englobe les disciplines indispensables à la recherche historique (Histoire), surtout pour les périodes précédant 1800. Seuls en effet, leurs méthodes et leurs résultats permettent d'examiner les sources de manière critique et de les comprendre. 1 - Origine Le concept de sciences auxiliaires naquit vers la fin du XVIIIe s., lorsque l'histoire commença à s'établir comme science autonome, dans la foulée de l'étude critique des sources. Auteur(e): Anne-Marie Dubler / LH 2 - Place dans les universités suisses Les méthodes des sciences auxiliaires furent appliquées en Suisse après 1850, au moment où l'on se mit à éditer les sources. Chaires de sciences auxiliaires de l'histoire dans les universités suisses a Les sciences auxiliaires de l'histoire s'ajoutent en 1917. Sources:Auteur Auteur(e): Anne-Marie Dubler Références bibliographiques

» La connaissance historique et ses difficultés. Il suffit de lire les historiens pour découvrir les difficultés qu’il y a à définir la nature de cette connaissance qu’on appelle l’histoire. Elle n’est pas comme la physique, un discours formalisé, dont les résultats s’énoncent dans des formules mathématiques, le double avantage d’une telle science étant d’exiger la formation intellectuelle nécessaire à sa compréhension et de faire l’accord des esprits. La recherche historique explicite ses conclusions sous forme de récits de telle sorte que d’aucuns pourraient être tentés de croire qu’elle appartient au champ de la littérature et non à celui des sciences. Or l’histoire ne veut pas raconter « des histoires », elle se veut un discours obéissant à une norme d’objectivité. H.I. Marrou demande de la définir comme : « la connaissance scientifiquement élaborée du passé » mais, à peine a-t-il donné cette définition qu’il anticipe les objections que ne peut manquer de susciter la notion de science appliquée à l’histoire. H.I. Conclusion :

Cours de paléographie - Paleography course - Archive du cours d'Arisitum Cours de paléographie - Archive du cours d'ArisitumBonjour, la navigation sur l'ensemble de ce site se fait par le menu latéral de gauche. Ce cours en ligne a été réalisé du 1er novembre 1996 au 28 juin 1997 sur le site Arisitum par : Jean-Claude TOUREILLE, en 1997, Président de L'A.D.I.H.A.F et webmaster du serveur ARISITUM. (Association pour la Diffusion de l'Information Historique et Archéologique en France)Stéphane POUYLLAU, en 1997, étudiant en licence à l'institut d'histoire de l'université Michel de Montaigne - Bordeaux 3Eric VOIRIN, ma modeste contribution a été de mettre en page la version à télécharger et à imprimer du cours.Je ne suis pas un spécialiste en paléographie. Il est donc inutile de m'envoyer des documents d'archives numérisés. Bonne lecture, mon adresse courriel : eric point voirin at free point fr Vous pouvez consulter aussi : Le site miroir de Stéphane Pouyllau, co-auteur de ce cours de paléographie.L’archive du site Arisitum

La place des documents dans l'enseignement de l'histoire et de la géographie Gérard Granier, inspecteur d'académie-inspecteur pédagogique régionalFrançoise Picot, inspectrice de l'Éducation nationale Les documents sont au centre de l'enseignement de l'histoire et de la géographie. Aux examens, l'étude de documents est devenue l'exercice roi, détrônant la rédaction ou la composition. Les documents sont également très présents dans les épreuves des concours de recrutement d'enseignants (CRPE, CAPES, agrégation). En classe, les professeurs utilisent abondamment de nombreux documents. La nature, le statut, l'intérêt de ces documents sont d'une extrême diversité. Définition et typologie des documents La définition même du mot "document" ne va pas de soi. Si l'on veut mieux décider de formes d'utilisation du document avec des élèves, il convient par conséquent de dresser une typologie. Le second type de document est le document "produit de la recherche". Le troisième type de document est le document sélectionné dans l'actualité par le pédagogue.

Les sources primaires et les sources secondaires - Boîte à outils - Centre d'apprentissage Contenu archivé Cette page Web archivée demeure en ligne à des fins de consultation, de recherche ou de tenue de documents. Elle ne sera pas modifiée ni mise à jour. Les pages Web qui sont archivées sur Internet ne sont pas assujetties aux normes applicables au Web du gouvernement du Canada. Boîte à outils Les sources primaires et les sources secondaires De Michael Eamon, historien et archiviste, Bibliothèque et Archives Canada * On appelle aussi les sources primaires des sources de première main et les sources secondaires, des sources de seconde main. Les sources primairesLes sources secondairesUne source primaire peut-elle être aussi une source secondaire? Les bibliothèques et les archives conservent des objets, comme des documents et des livres, qui nous aident à découvrir les événements qui se sont déroulés dans le passé. Les sources primaires et les sources secondaires, quand nous les utilisons ensemble, nous aident à comprendre les personnes, les idées et les événements du passé. C.W.

Sources historiques de première et de seconde main Organisation des sources historiques Lorsque l’on parle de source historique, il s'agit d'un document ou artefact que l’on utilise pour étudier l’histoire. On retrouve divers types de documents historiques : Les documents archéologiques (armes, outils, bijoux, ossements, vaisselle, etc.)Les documents écrits (journaux, livres, inscription, édit, etc.)Les documents iconographiques (gravures, statuts, portraits, dessins, caricatures, etc.)Les documents audiovisuels (enregistrement d'une entrevue sur cassette, reportage, documentaire, etc.) Bien qu'il existe plusieurs types de documents, on considère les sources écrites comme étant les plus révélatrices du passé. Source de première main De ces nombreux documents, on distingue deux classes : ceux qui sont qualifiés de source de première main (aussi appelée source primaire) et ceux appelés source de seconde main (aussi appelée source secondaire). Carte originale de l’Afrique de l’Ouest, tracée par le Père le Roy en 1888 (cliquer pour agrandir)

Littérature éphémère et sources de l'histoire La feuille souvent isolée connue aujourd’hui sous le nom de « tract » est une forme qui s’est appauvrie à l’issue d’une évolution historique particulière. Sémantiquement, ce terme prend la relève des libelles, pamphlets, placards, canards et affiches de l’Ancien Régime. Mais bien qu’il se présente encore sous forme d’affiche, il dépasse rarement deux ou trois pages, alors que les brochures, livrets ou opuscules étaient autrefois fréquents à côté des feuilles isolées. Si le pamphlet relève d’une tradition antique – Aristophane, Sénèque, Lucien, Cicéron ont pratiqué ce genre littéraire –, il revient en force à la Renaissance, sous des aspects plus variés qui consacrent non seulement le rôle grandissant de l’imprimerie dans la société française, mais aussi celui de l’écrivain dans les luttes politiques. Une littérature indissociable de l’histoire de France Des sources historiques sujettes à caution Le travail de l’historien Un acteur de l’histoire Conservation, traitement et collecte

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