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Empreinte écologique

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'empreinte écologique est un indicateur et un mode d'évaluation environnementale qui comptabilise la pression exercée par les hommes envers les ressources naturelles et les « services écologiques » fournis par la nature. Plus précisément, elle mesure les surfaces alimentaires productives de terres et d'eau nécessaires pour produire les ressources qu´un individu, une population ou une activité consomme et pour absorber les déchets générés, compte tenu des techniques et de la gestion des ressources en vigueur. Cette surface est exprimée en hectares globaux (hag), c´est-à-dire en hectares ayant une productivité égale à la productivité moyenne[1]. L'économie de subsistance, outre le fait qu'elle rend direct le calcul portant sur les surfaces agricoles employées, pèse peu en termes d'empreinte écologique. On célèbre la Journée Internationale de l'empreinte écologique le 3 mai. Utilité[modifier | modifier le code] avec et

Global hectare The global hectare (gha) is a common unit that quantifies the biocapacity of the earth. One global hectare measures the average productivity of all biologically productive areas (measured in hectares) on earth in a given year. Examples of biologically productive areas include cropland, forests, and fishing grounds; they do not include deserts, glaciers, and the open ocean.[1] "Global hectare per person" refers to the amount of biologically productive land and water available per person on the planet. e.g., in 2005 there were 13.4 billion hectares of biologically productive land and water available and 6.5 billion people on the planet.[2] This is an average of 2.1 global hectares per person. Applications[edit] The global hectare is a useful measure of biocapacity as it can convert things like human dietary requirements into a physical area, which can show how many people a certain region on earth can sustain, assuming current technologies and agricultural methods. [edit]

Nous vivons à crédit écologique - une vidéo environnement Doctissimo : "Vivre à crédit écologique". Qu'est-ce que cela signifie ? Jean-Marc Jancovici, conseiller énergétique de Nicolas Hulot et précurseur du bilan carbone : Vivre à crédit écologique signifie que vous consommez aujourd'hui quelque chose pour lequel vous allez payer les conséquences demain. Je vis donc au crédit de la vie de mes enfants puisque je prélève quelque chose dont ils vont supporter les conséquences. Doctissimo : Mais au-delà des enjeux politiques, les citoyens paraissent peu concernés... Jean-Marc Jancovici : L'essentiel des pays qui vont venir négocier à Copenhague sont des démocraties, ce qui veut dire que le choix du pouvoir en place n'est jamais déconnecté des citoyens. La manière dont nos gouvernants vont se comporter à Copenhague n'est pas déconnectée du signal que nous citoyens, consommateurs, électeurs, parents d'élève, automobilistes, leur envoyons. Peut-on faire abstraction de la décision politique pour gérer le problème ?

Jour du dépassement Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le jour du dépassement ou jour du dépassement global, est une date dans l'année où, théoriquement, les ressources renouvelables de la planète pour cette année auraient été consommées. Au-delà de cette date, l'humanité puiserait dans les réserves naturelles de la terre d'une façon non réversible, si bien qu'à terme la raréfaction des ressources condamnera l'humanité à rationner les ressources et donc à entrer en décroissance. Ramener la consommation et la production naturelle de ressources sur une année est plus médiatisable qu'un pourcentage. Cette date est calculée par l'ONG américaine Global Footprint Network (en), créatrice du concept d'empreinte écologique et publiée sous le nom de Earth Overshoot Day (« jour du dépassement de la Terre »). En 2014, la date calculée est le 18 août 2014. Historique[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code]

Earth Overshoot Day is coming! In 8 Months, Humanity Exhausts Earth's Budget for the Year August 20 is Earth Overshoot Day 2013, marking the date when humanity exhausted nature’s budget for the year. We are now operating in overdraft. For the rest of the year, we will maintain our ecological deficit by drawing down local resource stocks and accumulating carbon dioxide in the atmosphere. Just as a bank statement tracks income against expenditures, Global Footprint Network measures humanity’s demand for and supply of natural resources and ecological services. And the data is sobering. In 1993, Earth Overshoot Day—the approximate date our resource consumption for a given year exceeds the planet’s ability to replenish—fell on October 21. Earth Overshoot Day, a concept originally developed by Global Footprint Network partner and U.K. think tank new economics foundation, is the annual marker of when we begin living beyond our means in a given year. The Cost of Ecological Overspending Methodology and Projections

Biocapacité Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La biocapacité d’une zone biologiquement productive (appelée aussi zone bioproductive) donnée désigne sa capacité à produire une offre continue en ressources renouvelables et à absorber les déchets découlant de leur consommation, notamment la séquestration du dioxyde de carbone[1]. Résultats[modifier | modifier le code] Si l'empreinte écologique (demande) d'une zone dépasse sa biocapacité (offre), cette zone est en dépassement écologique et n'est pas utilisée de manière durable. En 2007, l'empreinte écologique de l'humanité atteignait 18 milliards d'hag, soit 2,7 hag (hectares globaux[3]) par personne, alors que la biocapacité de la Terre n'était que de 11,9 milliards d'hag, ou 1,8 hag par personne, soit une surexploitation écologique de 50 %. C'est dans les années 1980 que l'empreinte écologique de l'humanité a dépassé la biocapacité de la Terre. Références[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code]

Pour une éthique de la dette écologique 1La réflexion qui suit se donne pour objectif de légitimer les fondements métaphysiques et éthiques de la notion de « dette écologique » sur la base d’un double constat : sur le plan pratique, l’existence d’un mouvement politique homonyme appelant à la reconnaissance et à l’indemnisation par les pays du Nord de l’exploitation historique des ressources environnementales des pays du Sud, et plus largement, la surexploitation par l’espèce humaine de l’ensemble des ressources naturelles ; sur le plan théorique, une insatisfaction relative à la faiblesse normative de l’éthique environnementale, laquelle dissimule mal ses lacunes en termes d’efficacité sociale par des arguties prophétiques relatives aux éthiques du futur. Nous faisons le pari que l’urgence environnementale nous commande de fonder en droit ce qui marche en pratique plutôt que d’espérer mettre en pratique un idéal fondé en théorie. Définitions 1 Calcul de la dette écologique

Tracking the ecological overshoot of the human economy Author Affiliations Edited by Edward O. Wilson, Harvard University, Cambridge, MA, and approved May 16, 2002 (received for review January 17, 2002) Abstract Sustainability requires living within the regenerative capacity of the biosphere. Accounting for Humanity's Use of the Global Biosphere The human economy depends on the planet's natural capital, which provides all ecological services and natural resources. The purpose of this study is to develop such an accounting framework, and to measure the extent of humanity's current demand on the planet's bioproductive capacity. This preliminary and exploratory study demonstrates an aggregated approach to natural capital accounting in biophysical units. The calculation results and annotated spreadsheet for 1999 are published as supporting information on the PNAS web site, www.pnas.org. Our global accounts build on assessments of the “ecological footprint” of humanity (12, 13). The Impact Components Aggregating the Impacts Table 1 Results Figure 1

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