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Cours sur Platon

Cours sur Platon
Platon 1. La théorie platonicienne des Idées 1.1. 1.1.1. Platon a tenté de concilier deux enseignements : celui d'Héraclite et celui de Socrate 1.1.1.1. 1.1.1.2. 1.1.2. Le problème est de savoir comment on peut parvenir au savoir immuable dans un monde sensible et mouvant. 1.1.2.1. 1.1.2.2. 1.1.2.3 Apprendre c’est se souvenir. 1.2. 1.2.1 Les trois formes de la dialectique La dialectique pour Platon est la méthode pour parvenir au monde des Idées. 1.2.1.1. 1.2.1.2. 1.2.1.3. 1.2.2. La philosophie consiste essentiellement en l'effort, pour délivrer l'âme du corps. 2. 2.1. 2.1.1. 1er partie (livre 4) L'épithymia : appétit ou désir sensible Elle a son siège dans le ventre et c'est le principe concupiscible de l'âme. 2.1.2. 2éme partie : le noûs : la tête Il a son siège dans la tête. 2.1.3. 3éme partie : le tymos : le cœur Il a son siège dans la poitrine, c'est le principe colérique ou irascible. 2.2. 2.3. 2.3.1 Les trois vies 2.3.2. 3. 3.1. 3.1.1. 3.1.2. 3.2.

Allégorie de la caverne Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'allégorie de la caverne est une allégorie exposée par Platon dans le Livre VII de La République. Elle met en scène des hommes enchaînés et immobilisés dans une demeure souterraine qui tournent le dos à l'entrée et ne voient que leurs ombres et celles projetées d'objets au loin derrière eux. L'allégorie de la caverne[modifier | modifier le code] Dans une demeure souterraine, en forme de caverne, des hommes sont enchaînés. Que l'un d'entre eux soit libéré de ses chaînes et accompagné de force vers la sortie, il sera d'abord cruellement ébloui par une lumière qu'il n'a pas l'habitude de supporter. Un premier décryptage[modifier | modifier le code] La caverne symbolise le monde sensible où les hommes vivent et pensent accéder à la vérité par leurs sens. Contexte et rôle de cette allégorie dans La République[modifier | modifier le code] L'allégorie de la caverne expose sa théorie de l'acquisition des connaissances. Allégorie ou mythe ?

Apulée, de la doctrine de Platon (les trois livres) Livre I Platon fut ainsi nommé à cause de son extérieur ; car il s'appelait d'abord Aristoclès. On dit qu'il eut pour père Ariston ; et de l'autre côté Périclione, fille de Glaucus, fut sa mère. Ces deux auteurs rendent sa noblesse assez éclatante : car son père, Ariston, tirait par Codrus son origine de Neptune lui-même ; et le sage Solon, qui fonda les lois d'Athènes, était son ancêtre en ligne maternelle. Il en est qui donnent à Platon une généalogie plus auguste encore, prétendant qu'Apollon sous la figure d'un homme avait eu commerce avec Périctione. Né de tels auteurs et sous de tels auspices, Platon ne s'éleva pas seulement au-dessus de la vertu des demi-dieux ; il atteignit encore à la puissance des dieux eux-mêmes. Mais lorsque Socrate eut quitté les hommes, Platon chercha où il pourrait profiter, et il s'appliqua à la doctrine de Pythagore. Un grand nombre de ses auditeurs de l'un et de l'autre sexe se firent un nom célèbre en philosophie. La matière est-elle corporelle ?

Socrate, la maïeutique et nous Deuxième Partie : Socrate et la maieutique L'objet de la maïeutique a été défini. Quels sont donc maintenant les moyens ou les conditions de réalisation de cette recherche de la vérité ? J'en distinguerai approximativement 6 . 1° Le non savoir En interrogeant ses interlocuteurs, Socrate feint de ne pas savoir. Il apparaît donc à son interlocuteur comme inculte, grossier, posant des questions idiotes. Ce qu'il gagne avec cette ironie, c'est de mettre l'autre dans la nécessité d'expliquer des propos qui semblait aller de soi. Michel Foucault, en 1978 se souvient plus que jamais de la leçon socratique, dans cette lecture phénoménologique qu'il en donne : "il y a longtemps qu'on sait que le rôle de la philosophie n'est pas de découvrir ce qui est caché, mais de rendre lisible ce qui précisément est visible, c'est-à-dire de faire apparaître ce qui est si proche, ce qui est si immédiat, ce qui est si intimement lié à nous-mêmes que nous ne le percevons pas". 2° Le parler bref 3° Juger par Soi-même

Platon et ses dialogues : page d'accueil Ci-dessus : portrait de Platon d'après un original sculpté par Silanion vers 370 avant J. C. pour l'Academie d'Athènes, Musée Archéologique, Ile de Thasos ; ci-dessous, fragment d'une mosaïque provenant du couvent de Saint-Grégoire à Rome avec l'inscription en grec « gnôthi sauton », c'est-à-dire « Connais-toi toi-même », Rome, musée national des Thermes. Platon est probablement l'un des plus grands philosophes de tous les temps, sinon le plus grand. Et pourtant, il était l'un des premiers philosophes, du moins dans la tradition philosophique occidentale qui naquit en Grèce quelques centaines d'années avant J. C., et en tout cas, il est le premier dont les œuvres complètes nous aient été conservées. Mais si nous avons plus que notre compte d'ouvrages attribués à Platon, puisque plusieurs des dialogues et lettres qui nous ont été transmis sous son nom ne sont très probablement pas de lui, nous n'avons en revanche que très peu d'informations sur sa vie et son activité littéraire.

Platon Platon était le disciple de Socrate. Il fut très marqué par la condamnation à mort de son maître par la démocratie athénienne (on verra qu’il n’est pas démocrate). Pour Platon, l’essentiel est la réalisation du Bien : il veut faire advenir la cité idéale, où règnerait la Justice. Commençons par expliquer cette ontologie. L’idéalisme platonicien Platon est idéaliste. Par exemple, le chat que vous voyez assis sur le bord de la fenêtre, et qui se lèche les moustaches, va bientôt mourir. Mais les Idées, pour Platon, désignent aussi, et même surtout, les Idéaux : le Vrai, le Bien, le Beau. L'allégorie de la caverne SOCRATE : Maintenant, représente-toi de la façon que voici l’état de notre nature relativement à l’instruction et à l’ignorance. Platon, République, VII, 514a-517c Ceci suggère une deuxième manière de comprendre l’idéalisme de Platon : non seulement les idées sont plus « durables » que les êtres matériels, mais en plus les êtres matériels sont mus par les idées. Cela va très loin.

Théétète (Platon) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Théétète. Le Théétète est un dialogue de Platon sur la sagesse en tant que science (en grec ancien σοφία) et le savoir (en grec ancien ἐπιστήμη). Ce dialogue est le premier d'une série de trois (avec Le Sophiste et Le Politique), ou de quatre, si l'on compte Le Philosophe. Platon veut démontrer l’importance des Formes : sans elle, on ne définit pas, et la science est rendue impossible ; sans elles, la dialectique est négative, elle est réfutative[1],[2]et la philosophie, qui en découle, ne produit rien qui puisse être dit science. Dans le Théétète, Socrate et Théétète recherchent une définition de la science et examinent en premier lieu la question de savoir si la connaissance trouve sa source dans ce contact de l'âme au sensible. Socrate discute avec le jeune Théétète d'Athènes, mathématicien contemporain de Platon et disciple de Théodore de Cyrène, de la définition de la science.

L'Allégorie de la caverne | Platon | Grece Antique >> Accueil >> Grèce antique >> Philosophes grecs L'allégorie de la caverne est une des plus fameuse allégorie exposée par Platon, dans le Livre VII de La République. Elle met en scène, au fond d'un caverne, des hommes enchaînés qui tournent le dos à l'entrée, et ne voient donc que leurs ombres et l'ombre des objets présents derrière eux dans la caverne. Ces hommes croient connaître la vérité du monde (ils croient que les ombres sont des objets), quand ils vivent dans l'erreur -ils n'ont jamais vu la lumière du jour. Ceci représente l'humanité, qui n'a pas connaissance de la lumière divine et de la Vérité. Si l'un d'entre eux venait à se libérer de ses chaînes et à accéder au grand jour, il sera ébloui par le contraste entre le monde d'avant et le monde réel.

Platon Philosophe grec (Athènes vers 427-Athènes vers 348 ou 347 avant J.-C.). Platon est un des philosophes majeurs de la pensée occidentale, et de l’Antiquité grecque en particulier. Son œuvre, essentiellement sous forme de dialogues, se présente comme une recherche rigoureuse de la vérité, sans limitation de domaine. Sa réflexion porte aussi bien sur la politique que sur la morale, l’esthétique ou la science. La confiance dans la capacité humaine de connaître la réalité est ce qui constitue l’unité de l’œuvre de Platon. Famille Platon est né vers 427 av. Formation Il passe huit ans auprès de Socrate mais ne peut être témoin de la mort inique de son maître. Enseignement philosophique et mise en pratique Sa vie de maître de philosophie, à l’école (Académie) qu’il a créée, est entrecoupée d'épisodes dramatiques. L’œuvre La postérité Voir l'article scolastique. 1. Issu d'une famille noble, Platon est né vers 427 avant J. 1.1. Platon a vingt ans lorsque, vers 407 avant J. 1.2. 1.3. 1.4. 1.5. 2. 2.1. 3.

Pédagogie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La pédagogie (du grec παιδαγωγία, direction ou éducation des enfants[1]) désigne l'art de l'éducation. Le terme rassemble les méthodes et pratiques d'enseignement et d'éducation ainsi que toutes les qualités requises pour transmettre une connaissance, un savoir ou un savoir-faire. Plus généralement, l'expression « Faire preuve de pédagogie » signifie l'aptitude à enseigner et à transmettre à un individu ou un groupe d'individus — de tous âges et de toutes conditions — un savoir ou une expérience par l'usage des méthodes les plus adaptées à l'audience concernée. Définitions[modifier | modifier le code] Le mot « pédagogie » dérive du grec παιδαγωγία, de παιδός (/'paɪdɔr/), « l'enfant », et ἄγω (/'a.gɔ/), « conduire, mener, accompagner, élever ». Émile Durkheim : la pédagogie est une "réflexion appliquée aussi méthodiquement que possible aux choses de l'éducation" (L'évolution pédagogique en France, Paris, PUF, 1938, p. 10).

Platonisme (doctrine philosophique) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le platonisme est une théorie philosophique selon laquelle il existe des entités intelligibles en soi, dont le contenu est indépendant de la contingence de l'expérience sensible. Ces entités, suivant la version du platonisme dont on parle, peuvent être les concepts (les Idées en général, comme chez Plotin ou Augustin), les nombres (platonisme mathématique, comme chez Jamblique ou Lautman), ou encore les valeurs logiques (logicisme de Frege par exemple). Cette théorie est une des réponses possibles, avec le nominalisme (Guillaume d'Ockham) et le conceptualisme (Pierre Abélard), à la question du statut ontologique des concepts cognitifs (idées, nombres ou contenus propositionnels). Le Moyen Âge fut sans doute la période durant laquelle le platonisme fut le plus discuté mais aussi défendu avec les arguments les plus vigoureux contre le nominalisme. La thèse du platonisme fut vigoureusement remise en cause par Quine.

Platoniciens. On donne le nom de Platoniciens aux philosophes qui ont suivi les doctrines de Platon. L'école philosophique, fondée dans Athènes par Platon vers 388 av. J. C. et représentée par ses continuateurs directs a pris plus spécialement le nom d'Académie. Elle tirait son nom d'un jardin qui avait appartenu primitivement à un certain Académus, et dans lequel Platon donnait ses leçons. Ceux, dit Cicéron (Académiques, I 4), qui, suivant l'usage institué, par Platon, continuèrent à s'assembler et à s'entretenir dans l'Académie, empruntèrent leur nom à ce lieu. C'est ainsi qu'il se transmit successivement, 1° à l'école de Speusippe, neveu et disciple immédiat de Platon, dite Ancienne Académie (Academia vetus); 2° à celle d'Arcésilas, ou Moyenne Académie (Academia media); 3° à celle de Carnéade ou Nouvelle Académie (Academia nova). L'Académie d'Athènes, imaginée par J. , son condisciple sous Polémon. La Nouvelle Académie. "L'advis des Pyrrhoniens est plus hardy, et quant et quant plus vraysemblable."

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