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Le mythe du paquet de bonbons infini

Le mythe du paquet de bonbons infini
Imaginez. Posé sur votre bureau, juste à côté de vous : un paquet de bonbons infini. Vous pouvez en manger autant que vous voulez, sans même avoir faim… il sera toujours plein. Evidemment, ce fameux paquet de bonbons n'existe pas. Et pourtant, tous les jours, dans notre façon de manger, on se comporte comme si c'était le cas... "Le Mythe du paquet de bonbons infini", c'est notre nouveau Topo. Pour ce Topo, on a voulu prendre du recul sur notre rapport à la nourriture. La ghréline (et non pas Gremlins, donc) est une hormone sécrétée par l’estomac pour déclencher la sensation de faim. Selon l’inventaire de la mine de Pampailly, en 1445, les mineurs recevaient même 7100 calories par jour et par personne ! Il faut dire qu’à l’époque, la vie était plus dure qu’aujourd’hui : pas de chauffage, pas de transports, des métiers beaucoup plus fatigants que nos emplois de bureau… Alors pour tenir la journée, il ne fallait pas lésiner sur les calories. Enorme progrès ? Le résultat de tout ça ? Related:  Ressources B2- B2+

Flexitariens : et si on arrêtait les flexiconneries ? Il est aujourd’hui de bon ton de vanter les mérites du régime semi-végétarien, présenté comme un élégant ajustement entre deux extrémités carnivore et végétarienne. Une notion confuse qui cache une déplorable culture du compromis. « Flexitarien ». Le concept n’est en fait pas nouveau (c’était un des « mots de l’année » de l’American Dialect Society en 2003) mais il a le vent en poupe : récemment revendiqué par la star de Divergente Shailene Woodley, il fait les choux gras des rubriques conso et diététique de la presse de tous bords, au moment où une certaine mode veggie s’affirme comme le train à ne pas louper. Quelle réalité ? Le flexitarisme s’affirme comme un agréable compromis : régler son compte à la surconsommation de viande sans pour autant renoncer à ses petits plaisirs. Là est le problème. Et pour cause : à part les Inuits, personne n’a une alimentation exclusivement carnée. Des effets pervers

Dix choses que j'aurais aimé savoir avant de devenir vegan Comment font les vegans? Même après être devenu végétarien, je ne cessais pas de me poser cette question. Je savais que j'avais voulu arrêter de manger des produits d'origine animale mais je ne pensais pas y parvenir. J'avais même essayé durant un mois le régime vegan, et m'étais ainsi rendu compte que je n'étais pas prêt. L'engagement définitif permettant de dire officiellement "Je suis vegan" était une décision mûrement réfléchie. Au final, cela m'a pris deux ans avant d'arrêter complètement de consommer œufs, lait, beurre et fromage. Deux ans et demi plus tard, maintenant que ce qui m'apparaissait comme un mode de vie extrême est devenu mon quotidien, j'ai assez de recul pour souhaiter revenir à cette époque où je m'apprêtais à devenir vegan afin de me donner (ou à quelqu'un d'autre dans ma position) quelques conseils. 1. Habituez-vous donc, et comprenez qu'elles n'indiquent pas forcément un manque de respect. Il faut vous habituer aux blagues. 2. 3. 4. Voici ce qui s'est passé : 5. 6.

Ni végétarienne ni omnivore, je suis flexitarienne: je mange peu de viande, sans me priver Pour consommer autrement, il faut parfois faire preuve d'imagination. (SIERAKOWSKI/ISOPIX/SIPA) Flexitarisme, c'est un mot un peu barbare, et pourtant ! Inventé il n'y a pas si longtemps que ça, le flexitarisme est un régime alimentaire qui oscille entre omnivore, végétarien et végétalien. Alléger la note des courses Dans un premier temps, c'est avant tout économique car la viande est généralement présente à chaque repas que l'on consomme et c'est également un des ingrédients les plus chers. Autant vous dire que j'ai considérablement allégé la note des courses en diminuant les quantités. Une prise de conscience Dans un second temps, c'est devenu un engagement personnel. J’ai pris conscience - grâce notamment au film "Terriens" de Shaun Monson et aussi parce que je vis au quotidiens avec des animaux - que l'être humain a industrialisé la nature au point que l'animal est davantage considéré comme un objet de consommation que comme un être vivant. Le flexitarisme au quotidien

Manger de la viande, « ça demande trop de reniement de principes » Après les révélations de cas de cruauté animale dans des abattoirs, certains ont décidé de devenir végétariens. Ou, au moins, de continuer à réduire leur consommation de viande. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Perrine Mouterde « Adieu la viande ! Un déclic, un électrochoc. Lire aussi : Un abattoir du Pays basque fermé après la découverte d’actes de cruauté « J’ai chialé comme un môme » Des images qui ont provoqué, chez Nathanel Lacroix, une « prise de conscience » : « J’avais toujours pensé devenir végétarien un jour, mais étant bon vivant, je reportais le moment. A Tournan-en-Brie (Seine-et-Marne), Jennifer Roger-Bellanger, assistante maternelle, a franchi le cap il y a dix-huit mois, elle aussi après avoir vu des vidéos diffusées par L214. Lire aussi : L214, la méthode choc pour dénoncer les abattoirs « Je favorise la qualité à la quantité en m’octroyant une bonne viande de temps à autre. Tous ne vont pas tirer un trait définitif sur la viande après avoir vu ces vidéos.

Les déçues d'Erasmus — Témoignages Les prénoms ont été modifiés. Erasmus est un programme mis en place en 1987 qui permet aux étudiant•e•s d’effectuer une partie de leur scolarité dans un établissement européen. Et depuis le film L’Auberge espagnole en 2002, il est entouré d’une certaine aura, et lié à certaines attentes. À lire aussi : Ce qu’Erasmus a changé en moi En partant, ces deux madmoiZelles avaient la tête pleine d’images du film… mais elles ont très vite déchanté. Une image idéalisée d’Erasmus Alice et Lau sont toutes les deux parties par nécessité et par envie. « L’échange universitaire est obligatoire dans mon cursus. C’était la même idée pour Lau, qui s’attendait aussi à se faire plein d’amis et à vivre des expériences exceptionnelles à Dublin : « Je me suis dit que ce serait une super expérience, et ma dernière occasion de partir vivre à l’étranger à moindre frais (j’étais boursière). À lire aussi : « Erasmus + », le boost du programme Erasmus ! La déconvenue Mais pour Alice, le choc a été rude.

Billet d'Humour de Jean D'Ormesson : Le Français? Une Langue animale... Billet d’humeur de Jean d’Ormesson … Le Français? Une Langue animale… «Myope comme une Taupe», «rusé comme un Renard», «serrés comme des Sardines»… Les termes empruntés au monde animal ne se retrouvent pas seulement dans les Fables de La Fontaine, ils sont partout. La preuve: que vous soyez fier comme un Coq, fort comme un Boeuf, têtu comme un Âne, malin comme un Singe ou simplement un chaud Lapin, vous êtes tous, un jour ou l’autre, devenu Chèvre pour une Caille aux yeux de Biche. Vous arrivez à votre premier rendez-vous fier comme un Paon et frais comme un Gardon et là, … pas un Chat! Vous faites le pied de Grue, vous demandant si cette Bécasse vous a réellement posé un Lapin. Il y a Anguille sous roche et pourtant le Bouc émissaire qui vous a obtenu ce rancard, la tête de Linotte avec qui vous êtes copain comme Cochon, vous l’a certifié: cette Poule a du Chien, une vraie Panthère! Vous êtes prêt à gueuler comme un Putois quand finalement la fine Mouche arrive. Texte de Jean d’Ormesson

Méthodologie des écrits universitaires et professionnels - Exercice : Utiliser les connecteurs logiques Attention, votre navigateur ne supporte pas le javascript ou celui-ci a été désactivé. Certaines fonctionnalités de ce module sont restreintes. Méthodologie des écrits universitaires et professionnels Mode : Cours Menu : défilement haut défilement bas Masquer le plan Afficher le plan Contenu : Utiliser les connecteurs logiques Correction Recommencer Mauvaise réponse Complétez le texte suivant avec les connecteurs appropriés, choisis dans la liste suivante : pourtant, de plus, pour conclure, en d'autres mots, de ce fait, cependant, bref, enfin, en effet, tout d'abord, car, ensuite, en effet Navigation : Précédent | Suivant Accueil | Imprimer | © 2013 Université Lille1 - Projet e-FLE |

Les 10 tendances du green business & du développement durable en 2016 Découvrez les 10 tendances qui ont fait le green business en 2016. Supply chain, économie collaborative ou économie circulaire, voici les tendances qu’il fallait suivre cette année. Avec la COP21, le développement de la RSE dans toutes les entreprises et le boom de l’économie collaborative, une chose est sûre : le green business a le vent en poupe. Dans tous les domaines et dans toutes les entreprises, de nouvelles formes de production, de consommation et de management se développent afin de donner naissance à une économie plus durable. Mais comment ces nouveaux modèles se développent-ils ? L’an dernier, le magazine identifiait parmi les grandes tendances du développement durable les solutions durables en open source, le gaspillage alimentaire ou encore les énergies renouvelables. Voici cette année les 10 grandes tendances du green business identifiées par GreenBiz. Les 10 tendances du green business à surveiller en 2016 L’économie circulaire, ce n’est pas simplement le recyclage 2.0.

L’humain obsolète : le transhumanisme est-il un mythe ? La fin du monde est-elle proche ? Ce n’est pas Philippulus, le prophète tintinesque de L’Etoile mystérieuse qui profère cette menace, mais un aréopage de sommités du monde scientifique et économique, de Stephen Hawking à Elon Musk passant par Bill Gates, qui ont publié plusieurs tribunes pour nous alerter sur cette catastrophe annoncée. Hawking l’affirme : “L’intelligence artificielle pourrait mettre fin à l’humanité.” D’ici quelques décennies, l’humanité telle que nous la connaissons laisserait place à une posthumanité incarnée dans un magma composite de circuits imprimés et de neurones artificiels. Sous le nom de “Singularité technologique”, un terme qui vient des mathématiques et de la physique pour caractériser des brusques changements d’état, cette théorie brumeuse affirme que les progrès de l’IA vont bientôt aboutir à une rupture brutale mais invisible qui signifierait la disparition de ce qui constitue l’humain. Après l’anthropocène, le “robotocène”, le “numéricocène” ?

Au pied de la lettre Les Youtubeurs Mat&Swann se sont amusés à imaginer comment pouvait percevoir un étranger une discussion entre Français truffées d’expressions idiomatiques. La jeune fille délaissé par son rencard se retrouve donc affublé un lapin nain, les gens s’embrassent avec de vraies pelles et les fourmis courent littéralement sur les mollets. Un document authentique et drôle qui permet d’aborder les expressions idiomatiques autrement qu’à coup de listes de vocabulaire à apprendre par cœur ! Pour l’occasion, voici une petite fiche avec CO/PO/PE et transcription. Avec la transcription, on pourra aller plus loin. Par la suite, on peut proposer un sujet d’écriture créative en reprenant le modèle de la vidéo mais avec d’autres expressions. La fiche : FLEtonnante_pied_de_la_lettre D’autres ressources du blog Dans l’activité Bon comme du bon pain, on vous propose, entre autres, de travailler quelques expressions idiomatiques. Image : Mat&Swann WordPress: J'aime chargement…

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