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Travailler de manière collaborative, oui ! Mais comment s’organiser

Travailler de manière collaborative, oui ! Mais comment s’organiser
Plusieurs des présentations et tables rondes auxquelles j’ai assisté lors du Ouishare Fest s’intéressaient au travail et à comment la collaboration le transforme en profondeur. Les modes collaboratifs peuvent-ils fonctionner dans des entreprises qui demeurent hiérarchiques, pyramidales ? Et si ce n’est pas cas, comment mieux distribuer la gouvernance, l’organiser ? Epouser une culture de la collaboration nécessite-t-il de la pousser jusqu’au bout, jusqu’aux modes d’organisation et de partage du pouvoir qu’est l’organisation du travail elle-même ? Réinventer nos modes d’organisation avec les outils du XXIe siècle Nous travaillons avec et appartenons à de plus en plus de réseaux, d’organisations, de communautés… Si les réseaux et organisations en réseaux ont toujours existé, comment se reconfigurent-ils à l’heure de la société connectée ? Maro Horta est venue présenter FairCoop, une coopérative organisée via internet qui vise à réduire les inégalités. Même son de cloche chez FairCoop. Related:  QG1 ORGA DU TRAVAIL

Le travail collaboratif, nouveau Graal des entreprises Il y a chauffeur routier et chauffeur routier. Chez GT Location, une entreprise de 1.500 collaborateurs spécialisée dans la location de véhicules industriels avec conducteurs, ces derniers ne sont pas considérés comme de simples exécutants chargés de conduire les marchandises à bon port. Au contraire : eux, qui sont en contact direct avec le client et connaissent le terrain, ont leur mot à dire sur leur travail et la marche de l'entreprise. Depuis février 2013, ils peuvent se connecter à SeeMy, le réseau social interne, pour échanger entre eux et avec leurs responsables. Concrètement, « tous les conducteurs peuvent se connecter au réseau social via leur smartphone ou leur ordinateur personnel pour faire part de conseils aux plus jeunes, débattre de la stratégie métier, du camion le mieux adapté pour tel type de marchandise, organiser leurs congés ou même se plaindre des notes de frais », explique Patrice Bonte, directeur de l'école de management du groupe. Pourquoi cet élan ?

Quelle est la meilleure réponse à l’ubérisation ? Les collectifs ! Les algorithmes sont devenus nos nouveaux patrons, nos nouveaux collègues de travail, non sans créer de nouvelles tensions dans les rapports de travail… On peut s’en prendre aux algorithmes ou aux limites de l’économie collaborative (voire notre dossier). Mais sont-ils les seuls en cause ? Aux récents Etats généraux de la révolution numérique, Noémie de Grenier, de la coopérative d’activité Coopaname, rappelait que pour répondre à l’individualisation de la société que nous proposent les entreprises algorithmiques – les entreprises du travail à la demande comme Uber ou Take eat easy, ces entreprises de la Gig Economy, cette économie des petits boulots -, il existe déjà des réponses basées sur la solidarité. L’économie sociale a donné naissance aux syndicats, aux associations et aux formes coopératives. En fait, rappellait Noémie de Grenier, pour se prémunir des risques d’auto-exploitation, l’organisation collective reste la meilleure réponse. Hubert Guillaud

Surcharge de travail : le tabou commence à tomber, Efficacité - Productivité personnelle La décision est rare. Il y a quelques jours, le groupe bancaire BPCE a été condamné pour avoir enfreint la loi sur le temps de repos minimal quotidien et sur le travail de nuit. Alertée par les organisations syndicales, l’inspection du travail avait constaté, en 2014, les horaires à rallonge et l’état de surmenage des équipes. Longtemps tabou, le sujet s’invite au menu des comités d’entreprise et alimente les contentieux d’ordre social, individuel ou collectif. « La première difficulté, c’est que la loi ne livre aucune définition de la notion de surcharge. Des entreprises en alerte Pour l’heure, les entreprises tâtonnent et testent des dispositifs susceptibles d’imposer le repos aux guerriers et d’exonérer leur responsabilité.

Communication non-violente La Communication NonViolente (CNV) est une méthode de communication formalisée par Marshall B. Rosenberg. Selon son auteur, ce sont « le langage et les interactions qui renforcent notre aptitude à donner avec bienveillance et à inspirer aux autres le désir d'en faire autant »[1]. L'empathie est au cœur de la CNV, entamée dans les années 1970, ce qui constitue un point commun avec l'approche centrée sur la personne du psychologue Carl Rogers dont Marshall Rosenberg fut un des élèves. L'expression « non violente » est une référence au mouvement de Gandhi[2] et signifie ici le fait de communiquer avec l'autre sans lui nuire (voir ahimsa). Le Centre pour la Communication NonViolente (The Center for Nonviolent Communication, CNVC)[5] parle également d'une « communication consciente » dont les caractéristiques principales sont l'empathie, l'authenticité et la responsabilité. Terminologie et définition[modifier | modifier le code] Définition de Marshall Rosenberg[modifier | modifier le code] M.

Comment favoriser le travail en équipe dans l'entreprise Quand tout va bien, assister ses collègues est un geste naturel. Mais dès que l'activité baisse et que l'ambiance se détériore, les gens se replient sur eux. Exit les coups de pouce, les renvois d'ascenseur, c'est chacun pour soi. La solidarité est rarement spontanée. Or c'est bien le rôle du manager d'instaurer un esprit de coopération véritable et durable dans l'équipe. 1. Les non-aidants tracent leur route. 1/ Parlez à tous en réunion pour délivrer un message fort : "Les résultats ne sont pas merveilleux, voilà le plan d'action que j'ai élaboré, j'aimerais que tout le monde s'entraide, c'est vital pour le service". 2/ Voyez en face à face les forte têtes : "Paul, j'ai besoin que tu passes un coup de main à Loïc, parce que tu as une vraie expérience du sujet avec un bel esprit de synthèse". 3/ Faire comprendre à chacun que rien ne sert de "jouer perso" : dès que le collectif s'en sort bien l'individu s'en tire bien aussi alors que l'inverse n'est pas vrai. 2. 3. 4. 5.

Les 4 clés de la communication non violente (CNV) Selon son instigateur et créateur, Marshall Rosenberg, « La Communication Non Violente, c’est la combinaison d’un langage, d’une façon de penser, d’un savoir-faire en communication et de moyens d’influence qui servent mon désir de faire trois choses : me libérer du conditionnement culturel qui est en discordance avec la manière dont je veux vivre ma vie ;acquérir le pouvoir de me mettre en lien avec moi-même et autrui d’une façon qui me permette de donner naturellement à partir de mon cœur ;acquérir le pouvoir de créer des structures qui soutiennent cette façon de donner. » (via) Retrouvez la suite de cette vidéo ici (merci à Cedric Eulliot pour son excellent travail de traduction). Marshall Rosenberg a construit la communication non violente (CNV) sur 4 bases : O comme Observation Observez mais ne faites pas de jugement de valeur et ne généralisez pas. A éviter : » Tu es tout le temps en retard/désagréable/triste ». Préférez plutôt : « Nous avions rendez-vous à 18H. S comme Sentiment

Les 5 bonnes pratiques de la collaboration Réseau social d’entreprise, agenda partagé, chat, partage de fichiers, visioconférence... Les outils collaboratifs deviennent indispensables en entreprise. Ils permettent d’améliorer le travail d’équipe, augmenter les performances et doper l’innovation. Le point sur quelques bonnes pratiques. 1. Le but d’un outil collaboratif est de connecter ensemble les salariés de l’entreprise, pour leur permettre de réaliser leurs tâches quotidiennes plus facilement, de partager leurs compétences, et d’améliorer le travail d’équipe. 2. Mettre en place une solution collaborative dans une entreprise où la hiérarchie reste trop prononcée serait totalement contre-productif. 3. Installer un nouvel outil collaboratif n’est pas une simple affaire. 4. Si les collaborateurs doivent disposer d’une large palette de fonctionnalités et être autonomes autant que faire se peut, il n’empêche que la traçabilité des actions réalisées via l’outil constitue un critère de choix important lors de la prise de décision.

Enquête Makery: les nouveaux métiers des fablabs Souvenez-vous. En novembre 2014, Makery s’était transformé en mini-institut de sondage pour enquêter sur le métier de fabmanager, une profession alors en pleine émergence. Deux ans et demi plus tard, nous avons décidé de récidiver, cette fois-ci en élargissant notre sondage aux nouveaux métiers des fablabs. Pourquoi ? Nous avons donc réalisé un questionnaire anonyme portant sur l’âge, le genre, le niveau d’études, les compétences professionnelles, l’intitulé du poste occupé, l’ancienneté dans la fonction, la rémunération, mais aussi sur le temps de travail consacré aux tâches de gestion et de médiation, et bien sûr au making. Notre portrait-robot du fabtravailleur 2017 En France, il s’agit plutôt d’un homme, âgé de 29 ans, diplômé d’un bac +4 / bac +5 dans le domaine des technologies de l’information et de la communication, occupant un poste de fabmanager depuis plus de deux ans pour lequel il est rémunéré entre 1000€ et 2000€ par mois. La parité en progression, mais pas partout

Adoptez les bonnes pratiques pour résoudre un problème Par Laurent GRANGER - Date maj : 28/04/2017 Tout le monde n'a pas la même approche pour résoudre un problème. Or il existe des principes de base à respecter pour se donner le maximum de chance de traiter le sujet avec succès. Principes généraux Ne bâclez pas la phase d'investigation au profit de la recherche d'une solution L'analyse d'un problème est un préalable indispensable avant de chercher à le solutionner. Même si la solution semble évidente, vous ne devez pas vous passer d'une phase d'exploration Attention aux raccourcis. Compréhension du problème et recherche de causes En cas de problèmes multiples, attachez-vous à résoudre en premier lieu les plus simples avant de vous attaquer aux plus complexes Il est mentalement plus confortable et motivant de commencer par le plus facile. N'éliminez pas d'emblée les causes apparaissant comme fantaisistes au premier abord Il s'agit d'une règle d'or : pas d'apriori ! Ne travaillez pas simultanément sur tous les aspects d'un problème.

Les métiers des fablabs Compétences et besoins de l'économie Apparus aux Etats-Unis, les fablabs sont des lieux où l’on met en pratique le concept « fais le toi-même » : on y fabrique toute sorte d’objets, souvent numériques ou connectés (imprimantes 3D, fraiseuses numériques…) dans un esprit de partage collaboratif des connaissances, des outils et des espaces. Makery « le média de tous les labs » a enquêté sur les nouveaux métiers des fablabs via un sondage portant sur l’âge, le genre, le niveau d’études, les compétences professionnelles, l’intitulé du poste occupé, l’ancienneté dans la fonction, la rémunération .... On dénombre en 2017, plus de 100 fablabs en France. En France, le portrait-robot du fabtravailleur en 2017 est plutôt d’un homme, âgé de 29 ans, diplômé d’un bac +4 / bac +5 dans le domaine des technologies de l’information et de la communication, occupant un poste de fabmanager depuis plus de deux ans pour lequel il est rémunéré entre 1000€ et 2000€ par mois. Voir les résultats de l'enquête

Travail collaboratif : le succès de l'intelligence collectve Entreprendre.fr Publié le 14 sep 2015 Ces dernières années, de nombreux travaux de recherche portent sur le thème de l’intelligence collective ou du moins se réfèrent à cette notion. La plupart des auteurs soulignent le fait qu’elle représente un enjeu important pour le bon fonctionnement des organisations. à lire aussi De plus, certains travaux (Lévy, 1997) indiquent qu’elle serait déjà présente de façon opérationnelle au sein des organisations. L'intelligence collective, c’est quoi en fait ? L'intelligence collective désigne les capacités cognitives d'une communauté résultant des interactions multiples entre ses membres. Collective ou collaborative ? L'intelligence collective se distingue de l'intelligence collaborative (efficacité des échanges centrés sur une tache) et de l'intelligence projective (synergie des motivations individuelles et collectives, porteuse de sens individuel et collectif). Différentes formes d'intelligence collective Les fondements de l’intelligence collective

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