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Joseph Schumpeter

Joseph Schumpeter
Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et études[modifier | modifier le code] Schumpeter se rend en Angleterre où il se marie en 1907 avec Gladys Ricards Seaver. Son mariage se disloque rapidement[6]. Il quitte alors l'Angleterre et s'installe au Caire où il travaille en tant qu'avocat pour le tribunal mixte international. Parcours professionnel[modifier | modifier le code] En 1908, il publie son premier ouvrage, devenu très vite un classique de la statistique économique, Nature et essence de l'économie théorique, ce qui lui permet d'obtenir en 1909 un poste de professeur associé en économie politique à l'université de Czernowitz. Il publie la première édition de sa Théorie de l'évolution économique en 1911, ouvrage qui s’affranchit du cadre néoclassique et témoigne de son intérêt pour la dynamique et les lois du changement économique. Entre 1911 et 1919, il enseigne en tant que professeur à l'université de Graz (en Autriche). Apports[modifier | modifier le code] Related:  MDE

Destruction créatrice L'expression est associée à l'économiste Joseph Schumpeter (1883-1950) qui en assure une large diffusion avec la parution de son livre Capitalisme, Socialisme et Démocratie publié aux États-Unis en 1942 puis traduit en français en 1951. Concept[modifier | modifier le code] Joseph Schumpeter conçoit le capitalisme comme un système économique dont la dynamique principale, lorsque la liberté de commerce est assurée, est la stimulation de la croissance par l'innovation. Les entrepreneurs sont la force motrice de la croissance économique sur le long terme dans la mesure où leur quête de profits les incite à innover et à chercher à dégager une rente de situation liée au monopole qu'ils détiendront quelque temps sur leur innovation[1]. La destruction créatrice a lieu de manière récurrente, dès lors que l'irruption d'une innovation réduit considérablement les avantages compétitifs des concurrents et leur cause des pertes ou une faillite. Historique[modifier | modifier le code]

Friedrich Hayek Pour les articles homonymes, voir Hayek. signature Vue de la sépulture. Il est considéré comme un théoricien social ainsi qu'un penseur politique majeur du XXe siècle[3],[4], et son compte rendu sur la manière dont le changement des prix communique des informations aux individus les aidant à coordonner leurs plans est largement considéré comme une réalisation importante en économie[5], conduisant à son prix Nobel[6],[7]. En 1984, il fut le premier récipiendaire du Prix Hanns Martin Schlayer (en) et a été nommé membre de l'Ordre des compagnons d'honneur par la reine Élisabeth II pour « ses services à l'étude des sciences économiques »[8],[9]. Biographie[modifier | modifier le code] De 1923 à 1924, Hayek est l'assistant du professeur Jeremiah W. Il jouit alors d'une certaine notoriété, qui lui permet d'être invité en 1931 par l'économiste Lionel Robbins pour une série de quatre conférences à la London School of Economics (LSE), dont il est ensuite nommé professeur.

Entrepreneur Le terme « entrepreneur » recouvre des acceptions connexes mais distinctes : Le présent article traite de la première acception. Personnalité de l'entrepreneur[modifier | modifier le code] Pourtant, les exemples abondent (voir le destin d'André Citroën en particulier) qui montrent que les qualités indéniables chez un « entrepreneur » ne coïncident pas toujours avec celles du « gestionnaire » : La forte personnalité de l'entrepreneur, souvent inséparable de l'entreprise qu'il a fondée ou relancée et pratiquant un leadership souvent sans partage, fait que sa disparition - lorsque la prise de relais n'est pas suffisamment préparée - entraîne fréquemment une crise de succession dont les effets à terme peuvent être dévastateurs, surtout au moment où l'entreprise se sent « orpheline ». Il est donc utile de prendre en compte l'influence que la personnalité de l'entrepreneur exerce sur son entreprise[1],[2],[3]. Selon une étude d'Ernst & Young, « on ne naît pas entrepreneur, on le devient »[4].

La stratégie d'entreprise, diagnostic et management stratégique La stratégie d'entreprise a pour vocation de créer ou re-créer du potentiel pour vos activités. Elle engage l'entreprise sur le moyen et le long terme. A travers de nombreux dossiers, cette section présente les principales connaissances à posséder pour une définition et une mise en oeuvre stratégique réussie. La stratégie est la feuille de route d'une entreprise. Il s'agit de comprendre où elle veut aller, ce qu'elle veut être et comment elle va y parvenir, étape par étape. La première activité qui nous vient à l'esprit est la démarche stratégique. Il existe quelques grandes options possibles, ce sont les stratégies de différenciation, de domination par les coûts ou bien de focalisation sur des niches. Pour accélérer le mouvement et atteindre une taille critique, des opérations de croissance externe peuvent être menées (fusion..). Des décisions en terme d'organisation sont également prises. Téléchargez notre fiche pratique en pdf

Salaire d'efficience Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Selon la notion de salaire d'efficience, la productivité dépend du salaire. Le salaire d'efficience, en économie du travail, est une théorie expliquant la fixation d'un niveau de salaire supérieur à ce qu'expliquerait la seule loi de l'offre et la demande sur un marché du travail en concurrence pure et parfaite, expliquant ainsi une partie du chômage. L'idée de salaire d'efficience avance que la productivité d'un travailleur dépend du salaire qui lui est versé. Cette notion apparait en 1957 dans les travaux d'économie du développement de Harvey Leibenstein, et elle se diffuse dans les années 1980, notamment à partir de l'article de Janet Yellen : Efficiency Wage Models of Unemployment[1]. Remise en cause de la microéconomie classique[modifier | modifier le code] Avec la notion de salaire d'efficience, la relation est inversée. Explications[modifier | modifier le code] Liées aux asymétries d'informations[modifier | modifier le code]

Peter Drucker Peter Ferdinand Drucker (/ˈdrʌkər/; German: [ˈdʀʊkɐ]; November 19, 1909 – November 11, 2005) was an Austrian-born American management consultant, educator, and author, whose writings contributed to the philosophical and practical foundations of the modern business corporation. He was also a leader in the development of management education, he invented the concept known as management by objectives and self-control,[1] and he has been described as "the founder of modern management".[2] Drucker's books and scholarly and popular articles explored how humans are organized across the business, government, and nonprofit sectors of society.[3] He is one of the best-known and most widely influential thinkers and writers on the subject of management theory and practice. Biography[edit] In 1943, Drucker became a naturalized citizen of the United States. Work and philosophy[edit] Early influences[edit] The 'business thinker'[edit] Drucker's writings[edit] Key ideas[edit] Criticism[edit] Miscellaneous

chapitre 4 : la dynamique structurelle I- La nature et les raisons du changement structurel A/ Comment caractériser le changement de structure ? Le changement structurel correspond à une modification significative de la structure de l’entreprise qui affecte les différents acteurs de l’entreprise. Ce changement peut être : – global, s’il concerne l’ensemble de la structure de l’entreprise, ou partiel, s’il ne concerne qu’une partie de la structure de l’entreprise ; – majeur, s’il est important et s’inscrit dans une logique de rupture, ou marginal ou mineur, s’il nécessite seulement des adaptations peu importantes ; – progressif, s’il se réalise de manière incrémentale, par étapes successives, ou rapide, s’il se met en place sans transition du jour au lendemain. B/ Pourquoi faire évoluer la structure ? Le changement structurel s’explique par plusieurs facteurs : – l’augmentation de la taille de l’entreprise ; II- La conduite et les difficultés du changement de structure A/ Comment conduire un changement structurel ?

Harvey Leibenstein Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Harvey Leibenstein, né en 1922 à Yanishpol en Ukraine et mort le à l'âge de 71 ans, est un économiste américain. Il est notamment le créateur du principe économique d'Inefficience-X qu'il introduit pour la première fois en 1966 dans l’American Economic Review. Biographie[modifier | modifier le code] Harvey Leibenstein est né en 1922 à Yanishpol en Ukraine, faisant alors partie de l'URSS. En 1957, il publie Economic Backwardness and Economic Growth. Il enseigne également à Harvard de 1967 à 1989[3]. 22 ans durant lesquels il publie un de ses travaux le plus connu : Beyond Economic Man (1976), un essai économique qui élargit les facteurs de productivité traditionnels aux talents du manageur et aux relations entre ouvriers[4]. Publications (non exhaustif)[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]

Henry Mintzberg Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Henry Mintzberg Henry Mintzberg, né le 2 septembre 1939 à Montréal, est un universitaire canadien en sciences de gestion, auteur prolifique d'ouvrages de management sur l'emploi du temps des cadres dirigeants, l'efficacité managériale, la structure des organisations, le pouvoir, la planification stratégique, etc. Il est titulaire de la chaire Cleghorn à la Faculté d'administration de l'Université McGill de Montréal, où il enseigne depuis 1968. Il fut également professeur d'organisation à l'INSEAD, Institut européen d'administration des affaires de Fontainebleau, en France. Biographie[modifier | modifier le code] Après avoir obtenu le diplôme de gestion de l'Université McGill ainsi qu'un doctorat à la Sloan School of Management (Massachusetts Institute of Technology) en 1964, Henry Mintzberg, ingénieur de formation, a marqué la recherche en gestion, en management, en organisation et en stratégie. Stratégie d'entreprise[modifier | modifier le code]

Dépôt de marque en ligne | INPI.fr Le service de dépôt électronique de marque permet de déposer, en toute sécurité et sans avoir recours au document papier, toutes les demandes de marque ainsi que toutes les pièces complémentaires nécessaires à votre procédure. Les avantages de ce service : disponibilité : 24heures/24, 7jours/7 ; simplicité : une aide en ligne vous guide à chaque étape avec la possibilité d'être rappelé par notre équipe ; rapidité : transmission de documents simplifiée, calcul automatique des redevances, paiement en ligne ou par prélèvement sur un compte client INPI, transmission immédiate des éléments constituant le dépôt tels que la date, le numéro national, l'accusé de réception ; transparence : la demande d'enregistrement et ses pièces jointes telles que reçues à l'INPI sont immédiatement accessibles dans l'espace marque ; vous avez la possibilité de sauvegarder vos projets de dépôt pendant 30 jours.

William Baumol Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. William Baumol, né le à New York et mort le dans la même ville, est un économiste américain. Il est professeur à l'université de New York à partir de 1971 et conserve jusqu'à sa mort une affiliation d'économiste-chercheur avec l'université de Princeton où il a été professeur entre 1949 et 1992. signature Ses outils d'analyse sont néoclassiques. Biographie[modifier | modifier le code] William Baumol obtient son doctorat à l'université de Londres en 1949. Il a publié plus de 35 livres, et plus de 500 articles dans des revues spécialisées. William Baumol est mort le 4 mai 2017[1]. Travaux[modifier | modifier le code] Precursors in mathematical economics (1968). Dans les années 1970, il s'intéresse au rôle des entrepreneurs dans l'activité et la croissance économique, et il modélise ce rôle dans le cadre de l'analyse néoclassique. Œuvre[modifier | modifier le code] The Free-Market Innovation Machine, Princeton University Press, 2002

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