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Journalisme citoyen

Journalisme citoyen
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le journalisme citoyen est un aspect particulier du média citoyen qui est l'utilisation des outils de communication, notamment ceux apportés par Internet (site web, blog, forum, wiki...), par des millions de particuliers dans le monde comme moyens de création, d'expression, de documentation et d'information. Il y a un certain renversement dans ce domaine, le citoyen passant du rôle de simple récepteur à celui d'émetteur, devenant lui-même un média. On appelle les acteurs du journalisme citoyen « Citoyen Reporter ». Il s’agit d’internautes qui souhaitent témoigner sur ce qu’ils voient, sur ce qu’ils entendent ou sur ce qu’ils constatent. Parmi les domaines cités ci-dessus, c'est dans celui de l'information que l'on peut parler de journalisme citoyen. Le rôle d'information[modifier | modifier le code] Le développement[modifier | modifier le code] Débat sur la pertinence et l'influence[modifier | modifier le code]

Observatoire Prospectif Métiers Presse-Réflexions prospectives-Prospective Métiers Samedi 19 avril 2014 - 20:19 Réflexions prospectives Prospective Métiers A la suite des scénarios de prospective sectorielle élaborés en 2010, l'Observatoire a organisé des groupes de travail pour identifier et décrire les métiers et les compétences de demain. Quels résultats ? Ce travail a abouti à un rapport qui synthétise les informations produites par les groupes de travail. Il offre un regard prospectif sur les modes d’organisation et de coopération dans les entreprises de presse et pose également des hypothèses sur les activités et les compétences de demain. Les activités et les compétences nouvelles ou en changement ont été intégrées à la cartographie des métiers de la presse (mi-décembre 2011). Anticiper l'évolution des métiers, c'est croiser des données qualitatives avec des données quantitatives. Quelle méthodologie ? Dix groupes de travail ont été organisés de mai à septembre 2011. Schéma de réflexion des groupes de travail

Les nouveaux métiers du journalisme - Dossiers 28/01/2010 - Avec le développement du bimédia et l’éclosion des réseaux sociaux, de nouveaux métiers apparaissent dans les rédactions. Mais remplaceront-ils les postes laissés vacants ? Tous casés. Pour la promotion 2009 du Centre de formation des journalistes, «il s'est passé une chose intéressante, remarque Christophe Deloire, directeur de l'école, 80 % d'entre eux ont trouvé un premier CDD dans un journal papier.» Trois étudiants se retrouvent au Journal du dimanche, deux à La Croix, un au Figaro, et «seulement deux sur le Web, à Bakchich Info et Bibliobs. L'un de nos étudiants a décroché un CDI à Books.» L'an passé, la moitié des étudiants avaient été recrutés sur le Web. «On demande aux futurs journalistes de presse écrite de savoir tourner avec une caméra numérique, de la même manière que l'on demande de plus en plus aux JRI [journalistes reporters d'image] de savoir faire des plateaux, explique Christophe Deloire. La mutation est en marche Delphine Le Goff

Néo-journalisme en prise directe Aux États-Unis, le néo-journalisme, connecté aux réseaux sociaux, est déjà enseigné dans les écoles. Une mutation nécessaire du métier pas encore évidente de ce côté de l'Atlantique, selon notre maître du genre, Damien Van Achter. Être journaliste professionnel et refuser de se créer un compte sur Facebook, devrait, à mon sens, être considéré comme une faute professionnelle grave. Libre à eux de continuer à croire que les habitants du web ne sont qu’une tribu de sauvages pédophiles qui violent les comptes en banque pour se payer de la coke dans la Vallée du Silicone. Ces journalistes-là ne parlent de toute façon déjà plus à personne. Pour Dave Winer, ancien d’Harvard et pionnier du web, c’est le journalisme lui-même qui est en passe de devenir obsolète. Avant qu’internet n’arrive, cela coûtait très cher de transporter de l’information jusqu’aux consommateurs finaux, il fallait un fameux capital, des rotatives, des tonnes de papiers et une armada de camions et de paperboy. Photos FlickR

Le métier Dans toutes ses activités : une même déontologie. Le journaliste recherche des informations qu’il va diffuser au public. Pour cela, il commence par choisir une méthode d’investigation qu lui permettra des récolter ces informations. Une fois sélectionnées, il les vérifie en croisant différents sources. Il détermine alors « un angle » (une façon d’entrer dans le sujet) et entame la phase de traitement de l’information : il opte pour un style d‘écriture, un format (reportage, dossier, brève, interview…) en fonction du support, du sujet ou de la rubrique Le métier recouvre des réalités professionnelles différentes selon l’employeur différentes selon l’employeur, le support et le statut adopté. Le journaliste d’entreprise exerce au sein d’un service communication d’une grande entreprise, d’une collectivité territoriale ou dans la presse professionnelle. Enfin, le journaliste peut également occuper un poste de concepteur-rédacteur dans une agence de communication.

Coeur Economique Nantes et les emplois Les entreprises et établissements Les secteurs d'activités Crédits Source INSEE Clap 2009 Plus d’infos dans La Lettre API : Immobilier : la phase 2 d'Euronantes s'engage avec deux nouveaux immeubles Source Insee Sirene Établissements marchands non agricoles 2010 Plus d’infos dans La Lettre API : Métallurgie : le centenaire Guillouard se lance dans le e-commerce Meuble : Coupechoux se relance après deux années difficiles Établissements Taux de création Part des transferts Avec salariés Avec plus de 50 salariés Plus d’infos dans La Lettre API : Immobilier : Nantes cinquième en région sur le marché tertiaire * Chantenay Bellevue Ste Anne Nous tenons à remercier la lettre API qui nous a donné l'opportunité de travailler sur ce sujet, et qui nous a épaulé dans sa réalisation. Caroline Pavec Paul Le Padellec Juliette Leroux Julie Le Moal Brice Guillermic Camille Papin Robin Naceur

demain tous journalistes ? Quel modèle pour le journalisme en ligne? Le premier constat était prévisible, on savait depuis des années que ça finirait par arriver : en 2010, pour la première fois, davantage d’Américains ont pris leurs nouvelles du web plutôt que des journaux. Et ça se vérifie aussi dans la pub, dont la croissance en ligne a été de 13,9%, pour atteindre 25,8 milliards$. Le deuxième constat est moins spectaculaire, mais découle en droite ligne du premier. Le plus grand défi pourrait être non pas le manque d’audience ou même le manque de nouveaux revenus. Est-ce une bonne ou une mauvaise nouvelle pour le journalisme? - C’en est une bonne si, parmi ces nouveaux intermédiaires, il y en a qui se soucient d'investir dans la qualité de l’information, et ce, que celle-ci soit ou non profitable. Il y a une allusion en ce sens, dans le State of the News Media 2011, lorsqu’il est question d’embauche. Et les niches? Restent toutefois les médias de niche, ou spécialisés, dont j’avais déjà parlé ici et ici. A suivre : le New York Times payant, un test.

Fact checking Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La vérification par les faits (en anglais fact checking) désigne une méthode consistant à vérifier et valider l’exactitude des chiffres, des informations et des affirmations non factuelles énoncés dans un texte ou un discours. Ce travail de vérification est facilité par la consultation des bases de données officielles, de l'Internet sourcé et de certains réseaux collaboratifs. Il nécessite des connaissances générales et la capacité d'effectuer des recherches rapides et précises, mais ne peut se limiter aux sources d'information en ligne : dans certains domaines, une partie des sources adéquates ne figure pas sur l'Internet. Historique[modifier | modifier le code] Elle relève parfois du journalisme d’investigation (censé permettre la validation de faits cachés, mais qui demande plus de temps et de moyens) voire de l'alerte. Objectif et tendances[modifier | modifier le code] Formes[modifier | modifier le code] Limites[modifier | modifier le code]

"Le fact checking est le travail normal du journaliste" Pour lutter contre l'intox, les journalistes développent de plus en plus dans leurs supports des rubriques de fact checking, pratique qui consiste à vérifier les faits et chiffres cités par les politiques et à mener une contre-expertise en cas d'erreur. Une équipe de journalistes de francetvinfo.fr va suivre l'entretien jeudi soir entre Jean-Marc Ayrault et David Pujadas et "fact checker" la parole du Premier ministre. Johan Hufnagel, rédacteur en chef du site d'information Slate.fr, revient sur un phénomène à la mode, apparu pour la première fois sur le net, aux Etats-Unis, dans les années 2000. Le "fact checking" est né sur le Net. C'est arrivé des Etats-Unis. Cette pratique s'est exportée en France, en Europe... C'est devenu très français, et l'une des fonctions de la presse Web française aujourd'hui est de "fact checker". Dans quel but? Les chiffres des politiques sont rarement faux. Le fact checking est-il une mode? Oui. C'est sûr.

Social TV : Internet, l'avenir de la télévision Les réseaux sociaux ont révolutionné Internet. Ça, on sait. Mais depuis quelques années, on commence à voir qu’ils ont aussi un réel impact sur les autres médias, et plus particulièrement sur la télévision. Aujourd’hui, presque toutes les émissions de télévision disposent d’un “hashtag”, encouragent les gens à discuter de la chute de l’un ou des tétons de l’autre, et les tweets font parfois l’objet de discussions directes sur le plateau. La Social TV – ou “télévision sociale” –, c’est son petit nom. Le compte Twitter créé pendant les Oscars 2013 dédié aux tétons de Anne Hathaway Quand on regarde les chiffres récents, on constate l’ampleur qu’a pris le phénomène. Du côté des téléspectateurs/internautes, cette “télévision sociale” permet d’avoir l’impression de participer au programme. Et ce n’est pas tout, la Social TV va plus loin – car faire parler d’un programme, c’est bien, mais faire de l’argent, c’est mieux.

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