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Usage des réseaux sociaux chez les 8-17 ans (étude CNIL) et 9 conseils aux parents

Usage des réseaux sociaux chez les 8-17 ans (étude CNIL) et 9 conseils aux parents
Que font les enfants sur les réseaux sociaux ? Qu’échangent-ils ? Avec qui ? Principaux constats de l’étude Près de 20% des moins de 13 ans ont un compte sur un réseau social 48% des enfants de 8-17 ans sont connectés à un réseau social (Facebook). 18% des moins de 13 ans sont déjà connectés, et leurs parents sont au courant à 97%. Seule la moitié (55%) des 8-17 ans discutent avec leurs parents des réseaux sociaux, principalement du temps d’utilisation plus que des usages… Une moitié (49%) d’entre eux sont « amis » avec leurs parents. Les enfants et les adolescents livrent leurs identités et beaucoup d’informations personnelles Pour les enfants et les adolescents, la relation sur le réseau n’est pas virtuelle. Un tiers des enfants ont été choqués ou gênés par des contenus Le réseau social est un espace plutôt civilisé mais les risques y sont démultipliés par la résonnance d’internet. 18% des 8-17 ans y ont déjà été insultés. 9 Conseils aux parents Dialogue et partage Licence : Related:  Les pratiques numériques des jeunes

Forum de Brest : Serge Tisseron : Les quatre grands bouleversements du numérique Invité à s'exprimer sur les mutations profondes qu'engendre le développement de l'univers numérique, en particulier auprès des enfants, le psychiatre et psychanalyste spécialiste de la relation à 'écran a rappelé les grands bouleversements de nos modes de représentation induits par les nouvelles technologies. Et il a souligné, inlassablement, les responsabilités des adultes à l'égard des enfants pour que ce changement s'opère comme un développement profitable et épanouissant. Premier bouleversement : d'ordre cognitif, il consiste dans l'estompe des structures spatio-temporelles et discursives des représentations. Second bouleversement : de nature psychologique, il réside dans la disparition de l'identité unique (ou de son illusion) au profit des identités multiples, changeantes, des avatars et des personnalités d'emprunt. Troisième bouleversement : d'ordre symbolique, il passe par l'usage d'autres modalités de symbolisation que le langage conceptuel classique.

Les médias sociaux à l’école : interdire ou éduquer? | Chez Nadia Quand on parle des médias sociaux en éducation, c’est souvent par le biais du portrait sensationnaliste qui se dessine par les dossiers criminels diffusés dans les médias. Pourtant, dans l’ombre, des enseignants, des chercheurs et des passionnés voient des avenues pédagogiques aux médias sociaux et travaillent sur des projets qui montreront bien que ces outils recèlent de possibilités éducatives… Quand la cyberintimidation, les comportements inappropriés et le sexe font la nouvelle Au Nevada, six étudiantes de l’école secondaire de Carson City ont été arrêtées pour avoir inviter une centaine d’amis à joindre un groupe Facebook intitulé « Attack a Teacher ». Un autre étudiant, de Mesa Verde au Colorado, a été poursuivi pour cyberintimidation pour avoir traiter sa prof de « fat ass » ou « gros cul » sur Facebook. Les options : interdire les médias sociaux ou éduquer la jeunesse Fabien Deglise présentait cette semaine, le cas la commission scolaire Lester-B. Pour suivre ces questions :

Enquête sur les pratiques numériques des étudiants de 18 – 25 ans en 2019 – PLATEFORM Enquête sur le niveau de culture numérique des étudiants à l’Université A chaque rentrée universitaire à ‘lUCO de Nantes, je propose aux étudiants de 1ere année en Information-Communication un questionnaire sur leurs pratiques numériques et leurs connaissances en culture numérique, que je compare aux récentes enquêtes et statistiques sur les usages du numérique par les jeunes de 18 à 25 ans. Il existe encore malheureusement assez peu d’études sur les pratiques et les usages du numérique par les étudiants, alors que paradoxalement, ils sont censés l’utiliser au quotidien dans leurs études, pour la recherche d’information, suivre l’actualité, rédiger des dossiers, collaborer entre eux, communiquer avec l’université et avec les enseignants, rechercher des ressources, un stage, une formation, etc. Dans cette enquête, nous avons ciblé des étudiants, entre 17 et 25 ans de l’UCO de Nantes, pour qui j’enseigne la culture numérique et la préparation à la certification PIX. La mobilité en priorité

Teachers Easy Guide on How to Evaluate Web content for Classroom Inclusion As our students grow dependant on Internet being a primary source for their information, it becomes of urgent necessity that we, as teachers and educators, should know how to evaluate web content and decipher credible resources from spam and irrelevant ones. Regrettably enough, some of the teachers who are using technology in their instruction still don't come to grips with the mechanisms used to sift through internet content. There is a crude analogy to this situation . Update : This article is available for download in a Slideshare presentation below Being able to evaluate online content is a skill detrimental to the 21st century education. Techniques of Web Evaluation Below is a list of some of the best and most important techniques we can use to teach our students about how to evaluate a web page. 1- Scan the URL The URL is the web address of the page you are reading. it has this format :www.name of the website.name of article you are reading.com. Is there an author ? Webliography :

Class Of 2011: If Social Media Were a High School This post was written by Jenny Urbano, our Social Media Manager. Here at Demandforce, we love seeing and celebrating your ideas! And more than that, we love to hear from YOU. 6 winners, and a guest of their choice will be flown out to San Francisco, California on March 12-14th, 2014, where they will stay in Union Square, spend a day at Demandforce, have dinner with the team, and explore the lovely City by the Bay! For contest rules, and how to enter, please visit our post in the Generation Demandforce Community here. Good luck!

Les jeux vidéo ont des bienfaits chez les enfants qui jouent jusqu'à une heure par jour JEUX VIDÉO - Ceci est une étude que vos enfants n'hésiteront pas à vous mettre sous les yeux la prochaine fois que vous débrancherez leur console de jeu. Publiée ce lundi 4 août dans la revue Pediatrics, elle montre que les enfants qui jouent jusqu'à une heure par jour sont plus sociables, plus heureux et moins hyperactifs que ceux qui ne jouent pas du tout. Des chercheurs de l'Université d'Oxford se sont intéressés aux comportements de 5000 jeunes qui avaient entre 10 et 15 ans. Sans surprise, 75% d'entre eux jouaient quotidiennement à des jeux vidéo. Moins d'une heure par jour Les chercheurs ont constaté que ces jeunes étaient plus sociables, avaient moins de problèmes relationnels ou émotionnels, et étaient moins hyperactifs que les jeunes qui jouaient beaucoup, ou, plus surprenant, que ceux qui ne jouaient pas du tout. Entre une et trois heures par jour Pour ces jeunes qui jouent de façon "modérée", aucun effet négatif ou positif n'a pu être repéré. Plus de trois heures par jour

Pourquoi il faut apprendre à coder à tous nos élèves {*style:<i>Surtout, je renvoie au dossier tiré du séminaire PRECIP : Enseigner l’écriture numérique ? certainement bien meilleure argumentation que la mienne. Màj n°6 : on m’a signalé cet article “ Coding – The new latin ” de Rory Cellan-Jones, à lire ! </i>*} …et pas seulement à cliquer, …et pas seulement aux élèves de la série scientifique qui en plus est la voie royale. Je suis de plus en plus convaincue de l’importance et de l’utilité d’apprendre à coder à nos élèves, et particulièrement à ceux de la filière Littéraire. <p>Contrôler les écrans</p> Je parle en tant qu’ancienne élève de la filière A2, vous savez celle où il y avait le moins de maths possible…J’emploie donc le mot « coder » dans son sens le plus large, c’est-à-dire pouvoir toucher un peu ou tout entier aux fonctionnalités pour les maîtriser, ou au moins les comprendre. Enfin, c’est un langage universel, et c’est la maîtrise parfaite de celui-ci qui fait que l’on peut le lire. Imprimer ce billet

La cour de récré, fournisseuse officielle d’URL Un père de famille me confiait récemment, à propos de ses enfants : « J’ai parfois l’impression d’avoir à faire à des surdoués des écrans ». Brisons là tout net un mythe : la génération Z, celle de nos enfants, n’est pas une génération spontanée d’enfants numériques. Elle n’est pas née avec des compétences supplémentaires par rapport aux nôtres. Elle les a acquises, à force de pratique et d’affinités. Nuance. Cette génération est certes le fruit de la version 2.0 du mariage pour tous, union du smartphone et de la connexion, mais elle s’inscrit avant tout dans la continuité : elle s’empare du monde qui l’entoure pour mieux l’explorer, quitte à s’y cogner. Les écrans, quels qu’ils soient, s’inscrivent dans le prolongement de nos vies, et nos enfants ne font que revendiquer leur place dans leur époque. Dans le même ordre d’idée, dire non à un enfant qui abuse de temps écran est du même niveau que dire non à un enfant qui abuse des bonbons ou de la télé.

Jeux vidéo : 9 bienfaits étonnants sur le corps et la santé - 2017 JEUX-VIDEO - Votre mère avait tort. Les jeux vidéo ne sont pas mauvais pour vous. En réalité, ils améliorent votre vie. En dépit des idées reçues sur le lien supposé entre violence et jeux vidéo (indice: il n'y en a aucun), de nombreuses études universitaires indiquent que jouer aux jeux vidéo a beaucoup d'avantages psychologiques, et même physiques. Considérés dans leur ensemble, il semblerait qu'en fait, les jeux vidéo font de vous un meilleur être humain. 1. Pour mieux comprendre la façon dont les jeux vidéo affectent le cerveau, des chercheurs allemands ont conduit une étude, publiée cette semaine. Des scans IRM de leurs cerveaux ont montré que le groupe de joueurs avaient vu leurs cellules grises augmenter dans l'hippocampe droit, le cortex préfrontal droit et le cervelet – les zones du cerveau responsables de la navigation spatiale, de la mémoire, de l'organisation et de la motricité des mains. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. Les résultats pour le groupe SPARX furent très encourageants. 9.

Trop de livres : quelles distinctions de valeurs faisons-nous entre les pratiques et les technologies La lecture de la semaine, il s’agit d’un passage dans un magnifique article du dernier numéro de la Hedgehog Review. L’article s’intitule “Pourquoi Google ne nous rend pas stupides… ni intelligents”. On le doit à Chad Wellmon. Il s’agit d’une critique du fameux livre de Nicholas Carr, Internet rend-il bête ? (issu de son fameux article, “Est-ce que Google nous rend idiot ?”). Je n’ai traduit qu’une seule partie de l’article, intitulé “Trop de livres”. “Comme l’historienne Ann Blair l’a montré récemment, notre inquiétude contemporaine quant à l’overdose d’informations résonne avec une complainte historique pouvant se résumer à “il y a trop de livres”. Image : Une cascade de livres réalisée par l’artiste espagnole Alicia Martin et photographiée en CC. par Delphine Gimbert. Les complaintes autour de la surabondance de livres ont gagné en intensité au cours du 18e siècle quand le marché du livre a explosé, particulièrement en Angleterre, en France et en Allemagne. Xavier de la Porte

Étude 2017 : Comment communiquent les jeunes de la génération Z ? Comment communiquent les jeunes de la génération Z sur leur smartphone ? Quelles applications préfèrent-ils ? Pour parler avec qui ? Diplomeo répond à ces questions grâce à une enquête inédite menée auprès de 3708 jeunes. Crédit Diplomeo Le moins que l’on puisse dire est que cette génération fait beaucoup parler d’elle. Snapchat, le bourreau des cœurs ! Le mignon fantôme jaune a visiblement un petit quelque chose que les autres n’ont pas. 51 % des interrogés préfèrent Snapchat pour partager des photos.56 % favorisent cette même appli pour les vidéos.76 % y publient leurs stories en priorité. L’image délaissée au profit de l’écriture Les lycéens et jeunes étudiants d’aujourd’hui accordent peut-être à l’image une plus grande importance que leurs prédécesseurs, mais le texte semble tout de même largement préféré au visuel : Les parents, copains 2.0 des Z Côté réseaux sociaux pour les correspondances parents-enfants : Les jeunes, tous futurs influenceurs ? Alice Meyer

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