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Deux chercheurs testent virtuellement la loi El Khomri sur le marché du travail

Deux chercheurs testent virtuellement la loi El Khomri sur le marché du travail
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Bienvenue sur la page de Jean-Daniel Kant Last News Nouveau Site WorkSim Simulation du marché du travail New website WorkSim project (in French for the moment) Habilitation Thesis : "Agent-based approaches to the study of human behaviors" (pdf) Welcome to my homepage ! I am currently an associate professor with Habilitation (HDR) at the University Pierre et Marie Curie (UPMC) in Paris, ranked first science University in France. I am interested in modelling and simulation of complex systems, and more particularly to the contributions of Information Technologies in the Humanities and Social Sciences. I am also the co-founder and co-leader of MAGECO, the first French network of research on Agent-Based Computational Economics. I lead currently three research projects: WorkSim, started in September 2006 in collaboration with Professor G. Two recent projects that are still of interest:

Multi-agent system Despite considerable overlap, a multi-agent system is not always the same as an agent-based model (ABM). The goal of an ABM is to search for explanatory insight into the collective behavior of agents (which don't necessarily need to be "intelligent") obeying simple rules, typically in natural systems, rather than in solving specific practical or engineering problems. The terminology of ABM tends to be used more often in the sciences, and MAS in engineering and technology.[1] Applications where multi-agent systems research may deliver an appropriate approach include online trading,[2] disaster response[3][4] and social structure modelling.[5] Concept[edit] Multi-agent systems consist of agents and their environment. Typically multi-agent systems research refers to software agents. Agents can be divided into types spanning simple to complex. Agent environments can be divided into: VirtualDiscreteContinuous Characteristics[edit] Self-organisation and self-direction[edit] System paradigms[edit]

Système multi-agents Origine et aspects techniques[modifier | modifier le code] Origine[modifier | modifier le code] L'une des grandes sources d'inspiration pour les systèmes multi-agents a été l'étude des comportements sociaux de certaines familles d'insectes[1]. Dans ce domaine, on se référera utilement aux articles Intelligence collective et Intelligence distribuée. Les SMA peuvent être vus comme la rencontre de divers domaines[2] : l'intelligence artificielle pour les aspects prise de décision de l'agentl'intelligence artificielle distribuée pour la distribution de l'exécutionles systèmes distribués pour les interactionsle génie logiciel pour l'approche agents et l'évolution vers des composants logiciels de plus en plus autonomesLes objets communicants Un exemple pour comprendre : la métaphore des jeux vidéo[modifier | modifier le code] Les cinq problématiques des SMA[modifier | modifier le code] On peut relever cinq problématiques principales lors de la création de systèmes multi-agents[3]:

Brighterion - Management Team Following his distinguished career of service in Her Majesty’s Royal Air Force and at Scotland Yard, Raymond Kendall joined INTERPOL in 1971. From 1985 until 2001, he served as three-time Secretary General of INTERPOL from its headquarters in Lyon, France. In addition to his leadership fulfilling the traditional mission of INTERPOL, Mr. Kendall initiated joint efforts globally with the private sector to address the growing threat of cybercrime and promoted the need for international cooperation to prevent abuses on the web. An honors degree recipient from Oxford University, Mr. Kendall has received awards from the governments of France, Spain, Finland, United States, Chile, Peru and Russia. Après l’intelligence artificielle, l’intelligence « étendue » Intervenant dans un débat en ligne du New York Times autour des enjeux de l’IA, Joi Ito (@joi), le directeur du Media Lab du MIT, expliquait que même très bien intentionné, l’usage des technologies peut mal tourner. « La majeure partie de la recherche en IA se concentre sur l’apprentissage profond : des ingénieurs « entraînent » des machines pour augmenter l’intelligence collective de nos gouvernements, de nos marchés et de nos sociétés ». Pour lui, plus que d’intelligence artificielle (IA), on devrait parler d’intelligence étendue (IE) pour évoquer cette forme appelée à devenir dominante de l’IA. Les algorithmes qui façonnent l’IE sont entraînés par des humains et peuvent de ce fait propager les mêmes biais qui ruinent la société, les perpétuant sous couvert de « machines intelligentes », à l’image des biais qui affectent les systèmes de police prédictive. Joi Ito dresse un constat d’échec. Devons-nous nous adapter à l’évolution technologique ? Mais pouvons-nous vraiment nous adapter ?

Intelligence Artificielle : Au lieu De Supprimer Des Emplois, L'IA en Crée Robots dance for the audience on the expo. On Jul. 8th, | BEIJING, CHINA - 2017/07/08: Robots dance for the audience on the expo. On Jul. 8th, Beijing International Consumer electronics Expo was held in Beijing China National Convention Center. (Photo by Zhang Peng/LightRocket via Getty Images) L’idée selon laquelle l’intelligence artificielle (IA) va mener à la perte de nos emplois est un classique. Des chercheurs de l’entreprise Capgemini ont réalisé un sondage auprès de 1 000 organisations qui ont mis en place des systèmes basés sur l’IA et découvert que quatre organisations sur cinq avaient créé plus d’emplois. Bien sûr, ce n’est que le début: l’IA que les entreprises, même les plus avancées, utilisent aujourd’hui aura l’air assez ridicule comparée à la technologie qui sera disponible d’ici cinq ans. Le domaine du service client est celui où l’impact semble le plus considérable, 73% des sondés déclarant penser pouvoir utiliser l’IA pour augmenter la satisfaction client.

AlphaGo Zero : la nouvelle version de l’IA de Go se suffit à elle même AlphaGo continue sur sa lancée : l’intelligence artificielle développée par Deepmind, la branche intelligence artificielle de Google, est parvenue à se surpasser elle-même grâce au développement d’une nouvelle version baptisée AlphaGo Zero. Dans un post de blog, l’équipe chargée du développement du programme présente les résultats de sa nouvelle version et ceux-ci sont éloquents : AlphaGo Zero est parvenu à dominer la version précédente de l’IA, qui avait pourtant damé le pion aux plus grands champions humains de Go en 2016. Cette nouvelle version d’AlphaGo est décrite avec plus de détails dans un article publié par la revue scientifique Science. Pour ses concepteurs, la nouvelle version d’AlphaGo pourrait bien être « le meilleur joueur de Go de l’histoire. » AlphaGo Zero a choisi une approche différente de celle retenue par son prédécesseur. ZDNet vous accompagne 6 grands mythes autour de l'Intelligence Artificielle

Dans quelques années, vos livres préférés auront peut-être été écrits par des robots Les robots pourront-ils bientôt remplacer les écrivains ? C’est sur cette question que se sont penchés plusieurs chercheurs depuis quelques années. DGS vous propose de découvrir quelques projets fascinants, qui pourraient bientôt révolutionner la littérature traditionnelle. L’intelligence artificielle est un thème qui passionne depuis longtemps les auteurs de science-fiction. Les romanciers doivent-ils s’inquiéter de la montée en puissance des intelligences artificielles et prendront-elles un jour leur place ? Selon le futurologue (spécialiste de l’observation des changements qui s’amorcent et de la prédiction des évènements à venir) Kevin Warwick, un robot pourrait écrire aussi bien qu’un homme dans un futur proche. Des programmes informatiques permettent déjà de nous aider dans la rédaction de textes grâce à des outils de correction orthographique ou stylistique.

IA, des robots pour mettre de l’ordre dans le chaos de l’info Vous avez une formation de journaliste. Pouvez-vous nous retracer votre parcours et ce qui vous amené à développer cette appétence pour l’innovation digitale et les médias ? Benoît Raphaël : J’ai commencé mon parcours dans les radios locales et la presse quotidienne régionale, Le Dauphiné Libéré... Ensuite, j’ai créé un certain nombre de médias participatifs en ligne innovants, comme Le Post.fr, pour Le Monde. Puis, de façon indépendante, j’ai aussi co-créé et participé au lancement de Le Plus du Nouvel Observateur ou Le Lab d’Europe 1. J’ai aussi dirigé le numérique à Nice-Matin entre 2015 et 2016, en tant que consultant, pour développer leur modèle d’affaires autour d’une offre abonnés communautaire et du journalisme d’impact. Ce qui a guidé la pratique de mon métier consiste à horizontaliser davantage l’information : avant Internet, l’information était très verticale, le pouvoir en haut, les gens en bas, les médias au milieu qui tentaient d’éclairer le citoyen.

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