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Cahier de Tendances Printemps-Eté : Et si les médias redevenaient intelligents ? | Meta-media | La révolution de l'information
Difficile aujourd’hui d’imaginer une technologie qui changera davantage notre monde dans les prochaines années que l’intelligence artificielle (IA). Notre défi – et sans doute, notre chance – c’est que -- comme durant ces 25 dernières années, pour Internet, le numérique, le mobile ou les réseaux sociaux -- les médias sont, une nouvelle fois, en première ligne. De fait, l’IA est déjà mobilisée en arrière-plan de nombreux services qui modifient et améliorent en ce moment notre manière de nous informer, de nous cultiver et de nous divertir. Mais aussi de nous enrichir et d’être davantage en prise avec la société. Dans cette nouvelle édition de notre Cahier semestriel de Tendances sur l’évolution des médias et du journalisme, nous avons donc tenté d’entrevoir comment créateurs, producteurs, rédactions, annonceurs, techniciens, citoyens pouvaient d’ores-et-déjà s’emparer des premiers outils pour apprendre à vivre et à travailler avec cet outil révolutionnaire.
La précarité s'installe chez les journalistes
"Contrairement à une idée reçue, les journalistes sont majoritairement issus des régions ou de l’étranger, et non pas de région parisienne. Toutefois, la part des néo-journalistes nés à Paris et en Ile-de-France oscille autour de 29 %, aussi bien pour les diplômés d’écoles de journalisme que les diplômés d’autres filières, alors que la région Île-de-France représente 20 % de la population" fait remarquer cet article. L'INA Global, s'appuyant sur ce rapport souligne que "Trois ans après l’obtention de la carte de presse, le CDI est loin d’être acquis. La part des CDI chez les diplômés en journalisme est ainsi tombée de 40 % en 1998 à 23 % en 2013, alors que la part des CDD et des contrats de professionnalisation a grimpé et que le chômage a doublé. Ceux qui ne sont pas diplômés en journalisme s’en sortent mieux : près de 48 % de CDI après trois ans en 2013 (contre 56 % pour la cohorte 1998)". Vous aimerez aussi
Les digital natives bousculent les codes du journalisme
C’est l’un des constats que l’on peut faire de l’étude réalisée par Cision et l’Université anglaise Canterbury Christ Church auprès de journalistes français en 2017 : les digital natives bousculent les codes du journalisme en France. Ce n’est pas la première fois qu’une telle étude est réalisée pour comprendre l’impact des réseaux sociaux sur le métier de journalisme. Au fil des ans, l’utilisation des plateformes sociales a progressivement augmenté auprès des journalistes, avec tout de même certains paradoxes… Paradoxes entre les objectifs et les usages Comment les journalistes utilisent les réseaux sociaux au quotidien ? Les journalistes ont bien saisi l’intérêt de « viraliser » leurs articles afin d’être lus dans cette ère d’infobésité. Un autre paradoxe peut être noté : la diminution de l’estime accordée aux réseaux sociaux pour engager leur audience. Les digital natives font bouger les codes du métier Inquiétude sur les fake news NestorLivraison de plats préparés par des Chefs
"Le journalisme de solution ne se limite pas à l'écologie ou à l'alimentation"
Réfléchir à la ville sans voiture, prôner et développer une agriculture sans pesticide, favoriser les circuits courts, économiser de l’énergie tout en produisant de la lumière, impliquer les citoyens dans la chose politique grâce au Web… Les solutions existent pour construire un monde meilleur, et certains s’y mettent. Mettre en lumière celles et ceux qui font leur part du colibri est le défi relevé par les journalistes William Buzy et Baptiste Gapenne, dans leur ouvrage Impact(s) – douze initiatives pour construire le monde de demain… dès aujourd’hui (Casa Press Editions). Nous avons rencontré l’un des deux auteurs. UP LE MAG : Pourquoi avoir voulu écrire ce livre ? Impact(s): douze initiatives pour construire le monde de demain… dés aujourd’hui William Buzy : Impact(s) a été le prolongement, sous une forme plus approfondie, du travail que l’on fait au quotidien pour notre média, La part du colibri. Comment avez-vous choisi ces douze solutions ? À mon sens, il y a deux raisons à cela.
Le CLUB. Y a-t-il vraiment besoin de nouveaux médias d’opinion ?
Le Média, AOC, L'incorrect : pourquoi de nouveaux médias d’opinion apparaissent actuellement ? Certaines opinions ne trouvent-elles pas encore leur place dans la presse politique classique ou bien est-ce lié à une suspicion à l’égard de la presse d’aujourd’hui ? On la disait moribonde. Elle ne cesse de se réinventer. Dans cette effervescence, les médias d’opinion occupent une place de choix. On ne peut que se réjouir de voir de nouveaux titres apparaitre. ‘’Y a-t-il vraiment besoin de nouveaux médias d’opinion ?’’
Médias : « il est dangereux de dépendre d'une seule plateforme »
Mike McCue est le créateur et P-dg de Flipboard. Pourriez-vous décrire en quelques mots ce qu'est Flipboard? Mike McCue : Flipboard est un espace où vous allez pour suivre les sujets qui vous intéressent, consulter les meilleurs articles et les meilleurs produits sur les choses qui vous tiennent à cœur dans votre travail, vos loisirs, votre vie. Vous considérez-vous comme le Pinterest des médias ? Mike McCue : Certaines personnes ont parlé de Flipboard comme d’une sorte de Pinterest smart. Quel est votre business model ? Chaque année, environ 600 milliards de dollars sont dépensés dans le monde en publicité Mike McCue : Notre business model est axé sur la publicité, en particulier la publicité de marques de haute qualité. Avez-vous encore des partenariats avec des éditeurs comme vous l'avez fait avec Vogue il y a quelques années ? Mike McCue : Oui absolument, nous continuons de travailler en étroite collaboration avec les éditeurs de contenu.
Entre journalisme et recherche: l'émergence de médias intermédiaires
L'Atelier des médias, c’est, à la fois, une émission de radio et un réseau social à l’écoute de l’innovation, de la société numérique et des révolutions dans le monde des médias. Vous aussi venez découvrir nos histoires, reportages et entretiens et, si vous le souhaitez, vous inscrire : Le travail de Ziad Maalouf, Simon Decreuze et de leur équipe est, chaque semaine, enrichi, stimulé, orienté, aiguillé par vos contributions, vos réactions, vos commentaires, vos suggestions, via la communauté de l'Atelier des médias. Présentation : Ziad Maalouf. Avec la collaboration de Marie-Stéphanie Servos, Constance Léon et Camille Deloche. Le site de L'Atelier des médias :
4 types de contenus appréciés des fans Facebook
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