Carl Rogers Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Rogers. Carl Rogers Carl Rogers (né en 1902 à Oak Park, Illinois - mort en 1987 à La Jolla, Californie) est un psychologue humaniste nord-américain. Il a surtout œuvré dans le champ de la psychologie clinique, la relation d'aide (counselling) et l'éducation. Sa méthode, l'Approche centrée sur la personne (ACP), met l'accent sur la qualité de la relation entre le thérapeute et le patient (écoute empathique, authenticité et non-jugement). Une étude publiée en 2002 dans la Review of General Psychology a classé Rogers parmi les six plus importants psychologues cliniciens du XXe siècle deuxième derrière Sigmund Freud[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance et études[modifier | modifier le code] Les trois attitudes rogériennes[modifier | modifier le code] Selon Rogers, les trois attitudes fondamentales du psychothérapeute (ou de l'aidant) sont l'empathie, la congruence et le regard positif inconditionnel.
Alexander Sutherland Neill Dans le cadre de ce travail, nous sommes partis à la découverte des principes de la pédagogie de la liberté que Neill défend. Ces principes nous ont entraînés dans un monde où éduquer trouve un sens bien différent de celui généralement retenu. Alors que l’éducation est souvent considérée comme l’apprentissage des bons comportements que l’on doit adopter en société, Neill remet tout en question et refuse toute forme de morale imposée pour reconnaître à l’enfant le droit à la liberté. Une première partie du travail est consacrée à une courte biographie de Neill et aux principes de bases qui étayent sa pensée éducative en faisant ressortir l’influence qu’ont eu sur lui plusieurs de ses contemporains. À la recherche de l’éducateur Biographie Alexander Sutherland Neill, a régulé sa vie en fonction de ses sentiments et de ses inspirations du moment. Le destin le forcera à accepter un poste de directeur d’école à Greta Green, une petite ville perdue d’Écosse. Au cours de sa vie, Alexander-S.
Ivan Illich Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ivan Illich Biographie[modifier | modifier le code] Son père, Piero, vient d'une famille possédant des terres (vignes et oliviers) en Dalmatie, près de la ville de Split en Croatie. Pendant les années 1930, la xénophobie et l'antisémitisme montent en Yougoslavie. Venant d'une famille aristocratique ayant d'anciens liens avec l'Église catholique, il était destiné à devenir un prince de l'Église[2]. Mais en 1951, il part aux États-Unis avec l'idée d'étudier les travaux d'alchimie d'Albertus Magnus à Princeton. En 1956, il est nommé vice-recteur de l'université catholique de Porto Rico. Il quitte Porto Rico en 1960 à la suite d'un différend avec la hiérarchie de l'Église, représentée par deux évêques qui, participant à la vie politique, s'opposent à tout candidat qui voudrait légaliser les préservatifs[3]. Théories[modifier | modifier le code] Institutionnalisation[modifier | modifier le code] Monopole radical[modifier | modifier le code]
Norman Cornett Norman Cornett is a religious studies course lecturer in Montreal, Quebec, Canada, dismissed without explanation from his post at McGill University in the spring of 2007, possibly for his unorthodox teaching methods.[1] Former National Film Board of Canada (NFB) producer Robert Verrall, an invited guest participant in some of Cornett's classes, created a petition demanding that McGill explain its actions, which was signed by 13 Canadian filmmakers and published in the Montreal Gazette on June 15, 2007. Lawyers and academics including Julius Grey and Yakov M. Rabkin published an opinion piece in Le Devoir on July 11, also demanding an explanation from McGill.[2][3] University provost Anthony Masi replied that there had been no irregularities in the decision to let Cornett go.[4] Peter Leuprecht, former Dean of the McGill University Faculty of Law and one of the signatories of the Le Devoir piece, said that “It is not good that there are all kinds of suspicions circulating.
Emmanuel Mounier Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Mounier. Biographie[modifier | modifier le code] Après la guerre, il multiplie les voyages et les contacts. Il participe à la réconciliation franco-allemande, le vrai point de départ de la re-création de l’Europe. Le personnalisme, nommé aussi personnalisme communautaire, de Mounier n’est ni un système ni une doctrine. Emmanuel Mounier est mort, à 44 ans, d’une crise cardiaque mais, grâce à la revue et à ses livres, traduits en plusieurs langues, l’influence du personnalisme se répand dans l’Europe entière. D'après Gian Maria Vian, Mounier aurait été le premier à évoquer le « silence » de Pie XII[réf. souhaitée] (en l'occurrence concernant l'invasion de l'Albanie par l'Italie) et aurait ainsi contribué à créer la « légende noire » sur ce pape. Henri Bergson et Charles Péguy ont eu une profonde influence sur Emmanuel Mounier, voir sur ce point : Le personnalisme et la crise politique et morale du XXe siècle.
Innovation et courants pédagogiques - Summerhill Neil fonde l'école de Summerhill en 1921 en Angleterre à 160 km de Londres. Son inspiration est résolument psychanalytique. En matière d'Education, il prône la liberté totale de l'enfant : ? Laisser épuiser son désir et ses intérêts ?. Il considère que c'est par l'exploration affective que l'enfant se construit et se structure. Son orientation psy lui fait militer pour une conception de l'éducation dans une micro société dans laquelle l'enfant ignore la haine. C'est peut-être un de ceux qui est le plus proche de Rousseau puisque lui aussi postule que l'enfant est naturellement bon, qu'il a le sens de la justice et que c'est le développement dans la société qui va corrompre et apprendre la haine et la cupidité. La pédagogie de Neill est une pédagogie de libertaire. L'idée de la liberté, à ne pas confondre avec l'anarchie, il la fait reposer sur les principes psychanalytiques. Neill né en 1883vient d'une famille protestante calviniste écossaise de 13 enfants. Il est le raté de la famille.
Emmanuel Levinas Pour les articles homonymes, voir Levinas. Biographie[modifier | modifier le code] De l'Empire Russe à la France[modifier | modifier le code] Emmanuel Levinas est né à Kaunas au sein de l'Empire Russe, aujourd'hui Lituanie, le 30 décembre 1905 (12 janvier 1906 dans le calendrier grégorien). Fils de Jehiel Levyne (Levinas) et de Déborah Gurvic, Emmanuel est l'aîné d'une fratrie de trois garçons ; ses frères s'appellent Boris (né en 1909) et Aminadab (né en 1913). Son père est libraire et la famille parle yiddish, lituanien et russe. La guerre de 1914 pousse la famille à fuir toujours dans l'Empire Russe vers Kharkov dans la région qui est aujourd'hui l'Ukraine jusqu'en 1920. En 1923, Levinas se rend en France à Strasbourg pour suivre des études de philosophie (1923-1927). En 1930, il obtient la nationalité française[2]. Levinas est mobilisé en 1939. En 1945-1946, il est Secrétaire de l'Alliance Israélite Universelle[5]. Expérience de la guerre[modifier | modifier le code] Audiovisuel
Claude Lévi-Strauss Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. « Lévi-Strauss » redirige ici. Pour les autres significations, voir Levi Strauss. Claude Lévi-Strauss Claude Lévi-Strauss en 2005. Professeur honoraire au Collège de France, il y a occupé la chaire d'anthropologie sociale de 1959 à 1982. Depuis ses premiers travaux sur les peuples indigènes du Brésil, qu'il avait étudiés sur le terrain entre 1935 et 1939, et la publication de sa thèse Les Structures élémentaires de la parenté en 1949, il a produit une œuvre scientifique dont les apports ont été reconnus au niveau international[7]. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance et formation[modifier | modifier le code] Claude Lévi-Strauss, issu d'une famille d'artistes[8], d'ancêtres juifs alsaciens[9] des environs de Strasbourg, est né à Bruxelles de parents français. Il poursuit ses études à la Faculté de droit de Paris, où il obtient sa licence, avant d'être admis à la Sorbonne. Apogée scientifique[modifier | modifier le code]
Grands pédagoques : Alexander Sutherland Neill Sur son site, le bureau internationale de l'UNESCO propose des fiches de présentation de grands penseurs de l'Education. Nous vous en proposons quelques unes, concernant des pédagogues ayant influencé Célestin Freinet. Un certain nombre sont fréquemment cités dans ses écrits, il en a rencontré d'autres et certains ont quelquefois écrit dans les revues du mouvement. Enfin, il existe des manques : Pistrak par exemple n'est pas présenté. Ces présentations sont bien sûr à lire avec un esprit critique... A lire également sur le site BENP N°21 - Les mouvements d'Education Nouvelle BENP N°23 - Théoriciens et Pionniers de l'Education nouvelle A lire aussi L'Education en questions chez PEMF Le texte suivant est tiré de Perspectives : revue trimestrielle d'éducation comparée (Paris, UNESCO : Bureau international d'éducation), vol. Il n'engage bien sûr que son auteur. ALEXANDER SUTHERLAND NEILL (1883-1973) Jean-François Saffange1 Le 23 septembre 1973 mourait Alexander Sutherland Neill. Summerhill L'intérêt
FAITS ET ARGUMENTS