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L’histoire « aberrante » d’un jeune Québécois qui assure avoir découvert une cité maya

L’histoire « aberrante » d’un jeune Québécois qui assure avoir découvert une cité maya
Depuis quelques jours, l’histoire de William Gadoury tourne sur beaucoup de sites d’information (ici, ici, ici ou ici au hasard) et de journaux télévisés français, mais aussi dans la presse anglo-saxonne. William, un jeune homme de 15 ans passionné par les étoiles, aurait découvert une cité maya jusqu’ici inconnue grâce aux constellations. En étudiant « l’astronomie des Mayas », mais aussi l’emplacement des grandes cités de cette civilisation, lui vient l’idée de comparer les positions des étoiles avec la géographie des villes, dont les vestiges sont pour la plupart situés au Mexique, au Guatemala et au Belize. Le Journal de Montréal, tabloïd québécois, qui a été repris comme seule source de cette merveilleuse découverte, assure que le garçon est devenu « une petite vedette à la NASA, à l’Agence spatiale canadienne et à l’Agence spatiale japonaise », en découvrant, grâce à une carte des constellations, qu’il « manquait » une cité. « Une aberration » Violaine Morin Related:  désinformation, théories du complot1 c google nous veut du bien (ou pas)

Journée d'étude "Réagir face aux théories du complot" Édito Selon un sondage(1), plusieurs millions de citoyens américains penseraient que leur Gouvernement est composé de reptiliens. Le chiffre pourrait faire sourire, s'il ne dévoilait la puissance et le pouvoir des théories du complot dans le monde d'aujourd'hui. Si une théorie aussi absurde rencontre une telle adhésion, des théories en apparence plus crédibles rencontrent un succès beaucoup plus conséquent, et beaucoup plus dangereux. Si la théorie du complot n'est pas une nouveauté, elle a pris, au fur et à mesure que se développait Internet, une ampleur nouvelle. Face à ces discours dont la force réside dans la volonté d'opposer, à la complexité du monde, l'évidence d'un sens caché, les enseignants doivent être accompagnés et soutenus. Najat Vallaud-Belkacem,ministre de l'Éducation nationale,de l'Enseignement supérieuret de la Recherche [EN VIDÉO] La journée d'étude "Réagir face aux théories du complot" Programme Journée d'étude "Réagir face aux théories du complot" 9h30-10h00 10h00-10h15

Le système de reconnaissance faciale de Facebook est illégal Un juge américain a estimé recevables les plaintes civiles de trois utilisateurs de Facebook accusant le réseau social de collecte illégale de données privées d'utilisateurs. Celle-ci est liée à un outil servant à identifier les personnes figurant sur les clichés publiés sur Facebook. Un juge de San Francisco a rejeté jeudi un recours du réseau social américain. Le litige concerne une fonctionnalité lancée par Facebook en 2010, et suggérant des noms d'utilisateurs à identifier sur les photographies qui ont été publiées sur le réseau. Elle repose sur un programme de reconnaissance faciale qui scanne les clichés du réseau où des personnes sont déjà identifiées, afin de constituer des sortes de profils répertoriant des caractères géométriques du visage, propres à chaque individu. Ces profils sont ensuite comparés aux nouveaux clichés mis en ligne pour proposer des identifications.

Des théories du complot à la désinformation (PAF) by Karen Prévost-Sorbe on Prezi Les données médicales d‘1,6 million d'Anglais analysées par Google Un programme développé par DeepMind, une entreprise propriété de Google qui se spécialise dans l'intelligence artificielle, doit aider les médecins à améliorer leur diagnostic et les soins. Pour bien fonctionner, une intelligence artificielle a besoin d'énormément d'informations, d'un caractère plus ou moins sensible. Les données de plus d'1,6 million de patients anglais vont ainsi être analysées par un programme d'intelligence artificielle développé par Google, d'après les informations du site spécialisé New Scientist. Des limites En février, DeepMind avait annoncé le développement d'une application dédiée au traitement des maladies du foie, en partenariat avec le NHS. L'accord prévoit quelques limites à cette exploitation. Médecine intelligente L'utilisation d'intelligences artificielles dans le cadre médical n'est pas une nouveauté.

Réagir face au complotisme | Stage intégration #CLEMI | Mai 2016 by Karen Prévost-Sorbe on Prezi Pourquoi Google a conçu un « bouton rouge » pour désactiver des intelligences artificielles Des chercheurs de Google DeepMind Oxford ont prévu une manière de désactiver un programme d’IA, sans que celui-ci ne réussisse à la contourner. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Morgane Tual Une intelligence artificielle (IA) est-elle capable d’empêcher un humain de la désactiver ? C’est de ce postulat que sont partis deux chercheurs pour réfléchir à une façon d’éviter que cela n’arrive. Laurent Orseau travaille pour DeepMind, l’entreprise de Google spécialisée dans l’intelligence artificielle qui est notamment à l’origine d’AlphaGo, le programme ayant réalisé l’exploit, en mars, de battre l’humain au jeu de go. Les deux chercheurs s’intéressent au cas de ces « agents » capables d’apprendre, qui fonctionnent avec un système de « récompenses », qui les pousse à atteindre un but. Lire le décryptage : L’intelligence artificielle, une élève de plus en plus douée « Réfléchir à un certain futur » Mais quels sont réellement les besoins concernant ce type de dispositif ? Ethique et communication

Eduquer à l'esprit critique | Déconstruire la désinformation | Espé - Bourges by Karen Prévost-Sorbe on Prezi Google a recruté près de 70 fonctionnaires européens en dix ans pour son lobbying Engagé dans un bras de fer juridique avec la Commission européenne depuis 2010, qui le soupçonne d’abus de position dominante, Google recrute depuis plusieurs années de nombreux lobbyistes en Europe pour construire sa défense, montre la dernière étude publiée par le site Google Transparency Project. Le groupe de recherche américain, qui entend dénoncer le manque de transparence de la firme, révèle en effet qu’elle a recruté 65 fonctionnaires de l’administration dans toute l’Europe depuis 2005. Majoritairement au Royaume-Uni, avec 26 recrues en onze ans. La France n’est pas en reste avec 8 fonctionnaires débauchés dans des domaines variés : de la télécommunication aux médias en passant par le ministère de l’industrie et le Parlement, Google ratisse large. 3,5 millions d’euros par an dépensés en lobbying à Bruxelles « Les ministres sont fascinés par Google » Lire aussi : Bruxelles accuse Google d’abus de position dominante avec Android

Ressources - Déconstruire la désinformation et les théories conspirationnistes L'apport de l'Education aux médias et à l'information (EMI) et de l'esprit critique L’éducation aux médias et à l’information met l’accent sur la capacité des élèves à analyser l’information et la source dont elle émane. Le programme pour le cycle 4 cite comme première compétence de l’EMI « Une connaissance critique de l’environnement informationnel et documentaire du XXIème siècle. » Outils pour l'école, le collège et le lycée Dans le premier degré Pour le premier degré, la vidéo Vinz et Lou « La vérité ne sort pas toujours de la bouche d'internet » permet, sans traiter directement de la rumeur, de lancer le débat avec les élèves sur la manière dont ils vérifient les faits et croisent les informations. Toujours dans le premier degré, le site de l'IEN de Cluses (académie de Grenoble) met en ligne le travail de Rose-Marie Farinella qui fait passer à ses élèves un diplôme d'apprenti hoaxbuster à travers une séquence du 8 séances. Pour le collège et le lycée Réagir face aux théories du complot

Le très bref retour de Tay, l’intelligence artificielle controversée de Microsoft Après ses propos racistes, ce programme avait été mis hors ligne par Microsoft. Il est réapparu mercredi quelques minutes, et a de nouveau publié des messages problématiques. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Morgane Tual « Yay, Tay est de retour ! Lancé mercredi 23 mars, ce programme baptisé Tay, se présentant comme une adolescente, avait été mis hors ligne à la hâte après quelques heures d’existence à la suite de multiples dérapages. Lire : Derrière les dérapages racistes de l’intelligence artificielle de Microsoft, une opération organisée « Je fume de la weed devant la police » Mais moins d’une semaine plus tard, à la surprise générale, Tay est réapparue sur Twitter… Et ce ne fut toujours pas une réussite. Les internautes se sont naturellement mis à l’affût de nouveaux dérapages, et avec succès. Lire aussi : Intelligence artificielle : une machine est-elle capable de philosopher ?

Radicalisation, complotisme et réseaux sociaux : comment en parler sans danger ? Pour en parler dans et hors la classe, l’EMI crée un environnement dédié et protégé où la parole des élèves doit se construire dans un rapport et un sentiment de confiance. Pour les élèves, il s’agit d’acquérir des compétences pour développer l’esprit critique, vérifier les informations et analyser les divers supports numériques ainsi que leurs capacités et finalités (blog personnel, vidéo Youtube, site de journal…). Il s’agit aussi de les inciter à exercer leur liberté d’expression et à respecter celle des autres (écoute, argumentation contradictoire, modification des points de vue, correction des erreurs et révision des stéréotypes…). Les enseignants peuvent s’appuyer sur le Socle de connaissances, de compétences et de culture, notamment le domaine 1 (les langages pour penser et communiquer) et le domaine 3 (la formation de la personne et du citoyen). Dans le cas de Charlie Hebdo, une mise en œuvre pour chaque tranche d’âge peut se faire à partir d’un dessin du kit.

Google vous montre qu'il sait tout de vous (et ça fait peur) - ZDNet Que Google et ses filiales soient aujourd'hui incontournables dans la vie numérique de chacun n'est pas un scoop. Rien que le moteur de recherche a une part de marché supérieure à 90% dans notre pays. Et le géant américain est aujourd'hui un passage (presque) obligé pour le streaming vidéo (YouTube), la cartographie (Maps), les emails (Gmail) etc... Reste que peu d'entre-nous a conscience du volume de recherches diverses et variées fait à travers ces services et des traces qu'elles laissent. Avec le nouveau service "Mon activité", cette prise de conscience est pour le moins brutale. Une fois logué (mais on l'est toujours avec Google désormais...), il est possible de visualiser chronologiquement absolument toutes les recherches effectuées à travers le moteur, quelque soit le service. Ainsi exposé, cette historique numérique montre à quel point nous sommes dépendants du géant de la recherche et surtout qu'absolument rien ne lui échappe. ZDNet vous accompagne

Sur YouTube, expérience anti-fake news avec des CM2 Pour soutenir le travail de toute une rédaction, abonnez-vous Pourquoi voyez-vous ce message ? Vous avez choisi de ne pas accepter le dépôt de "cookies" sur votre navigateur, qui permettent notamment d'afficher de la publicité personnalisée. Nous respectons votre choix, et nous y veillerons. Chaque jour, la rédaction et l'ensemble des métiers de Télérama se mobilisent pour vous proposer sur notre site une offre critique complète, un suivi de l'actualité culturelle, des enquêtes, des entretiens, des reportages, des vidéos, des services, des évènements... Pour ce faire, le soutien et la fidélité de nos abonnés est essentiel. Merci, et à bientôt. S’abonner

La Palestine rayée de Google Maps ? Pas vraiment LE MONDE | • Mis à jour le | Par Adrien Sénécat « Selon Google Maps, la Palestine n’existe plus ! » De nombreux internautes ont relayé ces derniers jours une rumeur affirmant que la mention « Palestine » aurait récemment été rayée des cartes de Google Maps, laissant seulement celle d’Israël. Des utilisateurs de Twitter s’en sont émus, accusant la firme américaine de manipulation. Sauf que les informations qui ont circulé à ce sujet sont erronées. Explications. Tout est parti d’un message sur le site du Forum des journalistes palestiniens, un collectif de journalisme basé à Gaza, le 3 août. De nombreux sites internet lui ont ensuite emboîté le pas, comme le site de propagande russe Sputniknews. Un simple coup d’œil à Google Maps permet de confirmer l’absence du mot « Palestine » de la carte. En revanche, cette situation n’est pas nouvelle, comme l’a rappelé le Washington Post.

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