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BUZZ... littéraire : La littérature nouvelle génération, de bouc

BUZZ... littéraire : La littérature nouvelle génération, de bouc
Alors que le débat sur la légalisation mariage gay enflamme la place publique, donnant lieu à une triste manifestation d'opposants hier, il est temps de se remémorer l'oeuvre de Guillaume Dustan qui doit se retourner dans sa tombe... : Inconstant, insolent, indécent, trash, anticonformiste, provocateur... autant de qualificatifs employés pour désigner cet enfant terrible des lettres parisiennes : Guillaume Dustan. Tout en s’autoproclamant « l’écrivain l’plus doué d’sa générosité », il déplorait amèrement son manque de visibilité dans les médias. Du moins dans « ceux qui comptent », répétait-il. Mais Guillaume Dustan, décédé à l’âge de 40 ans en 2004 d’une intoxication médicamenteuse, a-t-il été réellement un "oublié des médias" ? Beaucoup d’auteurs contemporains auraient sans doute aimé bénéficié de l’attention qu’il a reçue... Et du bouche à oreille entre lecteurs qui continue de faire connaître son oeuvre.

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Metablog Journal de l'Hypertexte: narration La supposée « logique » naturelle de la lecture dans un livre-papier prétend désigner par sa forme un rapport direct à l’objet dont elle traite. Elle informe un certain « suivi » du propos qui tient lieu de cohérence. L’argumentation, l’inférence et le principe de contradiction (ou bien encore le principe de non-contradiction) paraissent ici légitimes du seul fait de la progression « rationnelle » de ce qui se donne à lire. Or remarquons que cette lecture, pour se réaliser, se courbe bien évidemment sur ses propres déterminations, ses propres présupposés ; elle obéit dans l’acte à des contraintes de déchiffrage bien spécifiques : elle ébauche non seulement ce que Gadamer appelle « un cercle brisé » dans l’interprétation que nous nous faisons du texte mais elle semble encore dessiner une figure comportant comme une torsion sans cesse auto-référentielle par rapport au texte déjà lu. Le rapport à l’objet dans la lecture « courante » n’est donc pas si direct et « logique » qu’on le prétend.

le tiers livre _ le journal & carnets privés le défi de la vidéo jour après jour comme école pour soi-même _ tout simple, en direct, tout le catalogue ! France métropolitaine ; paiement chèque ou PayPal, frais de port réduits, dédicaces, commandes bibliothèque, on simplifie, on innove ! Dominique Autié 8 mai 1945 dans l'Est algérien : un entretien avec Roger Vétillard • Sétif, mai 1945, massacres en Algérie, de Roger Vétillard,Éditions de Paris, 590 pages, janvier 2008, 39 €. ISBN : 978-2-85162-213-6. Roger Vétillard est médecin spécialiste à Toulouse.

Jean-Bertrand Pontalis Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jean-Bertrand Pontalis Jean-Bertrand Pontalis en 2011 Jean-Bertrand Lefèvre-Pontalis, né le et mort le , est un philosophe, psychanalyste et écrivain français[1],[2]. Biographie[modifier | modifier le code] Journal LittéRéticulaire De la chaîne hi-fi achetée en 1993 ou 1994, j'aurai intégralement suivi la dégénérescence jusqu'à ce matin. Depuis plusieurs années, le lecteur de cinq CD ne fonctionne plus. J'ai retiré le module. Puis ce fut le tour du double lecteur de cassettes qui s'était mis à systématiquement extraire les bandes.

ZONES Vous avez ici gratuitement accès au contenu des livres publiés par Zones. Nous espérons que ces lybers vous donneront envie d’acheter nos livres, disponibles dans toutes les bonnes librairies. Car c’est la vente de livres qui permet de rémunérer l’auteur, l’éditeur et le libraire, et… de vous proposer de nouveaux lybers… et de nouveaux livres. MichelPinçon MoniquePinçon-Charlot Poezibao Volonté de chance (1) « un coup dé / coupé », Marie-louise Chapelle n’a pas écrit un coup de dés et pourtant le goût du jeu dans Tu (maniériste) est manifeste. Un coup de la longueur d’une phrase, les dés se séparent en roulant, traçant une voie à la fois précise et discontinue dépourvue de point final. L’image ne convient pas bien – « ni imparfaite ni fidèle » – dans la mesure où le coup n’est pas unique, renouvelé pour chaque segment, le vers qui se forme n’étant d’un seul tenant, suivant un modèle à saccades, passant par des relais souvent inattendus que le jeu impose de rejoindre. Car le jeu consiste ici à suivre la piste de Gesualdo (2) tracée par Lyn Hejinian dans la traduction de Martin Richet. Marie-louise Chapelle nous a déjà initiés dans mettre. et Prononcé second à une écriture « seconde » mais ici, elle prolonge la lecture, pousse plus loin le partage avec l’autre et sa langue qu’elle laisse proposer. « Qui autorise le préférable ?

La vie n’est pas la littérature (rappel) Galen Strawson Traduit de l’anglais par Ludovic Bichler « Nos vies vont bien au-delà des histoires que nous sommes amenés à incarner » 1. Les individus constituent les objets principaux de la littérature, mais ils ne sont pas des objets littéraires, et leurs vies ne sont pas non plus des récits. La plupart d’entre vous, sans doute, seront immédiatement d’accord—bien que Marcel Proust aie écrit que « la vraie vie, la vie enfin découverte et éclaircie, la seule vie par conséquent réellement vécue, c’est la littérature » (1922: 4.474).

L'Alamblog Nous inaugurons ici une série qui sera consacrée aux vieilles lunes, c'est-à-dire aux bonnes idées qu'on nous ressert de temps en temps, plus ou moins renouvelées ou à peu près. Ce matin : la cité des poètes. (La prochaine Vieille Lune sera consacrée aux festivaux). (Peut-être). Chefs-d'oeuvre, faux chefs-d'oeuvre: les réponses de 13 écrivains - Le Nouvel Observateur @import " @import " Actualité > Bibliobs > Romans > Galeries Photos > Chefs-d'oeuvre, faux chefs-d'oeuvre: les réponses de 13 écrivains Chefs-d'oeuvre, faux chefs-d'oeuvre: les réponses de 13 écrivains

Pourquoi ce blog ?! « Brèves littéraires J’ai commencé à rédiger des critiques littéraires sur mon premier blog, où je parlais également de la culture numérique au travers d’articles hebdomadaires nommés Digital Friday. Plus les semaines ont passées, plus je me suis aperçue que ce blog manquait de cohérence. J’ai donc décidé de diviser mon premier blog, Brèves culturelles, en deux : Brèves numériques et Brèves littéraires. Et voici les raisons pour lesquelles j’ai décidé de partager mes lectures, mes coups de coeur, une de mes grandes passions ! Être dans une bibliothèque, regarder les milliers de livres qui nous entourent et ne pas savoir vers où se tourner. Ne pas savoir lequel déloger de son emplacement sur l’étagère pour en lire le résumé.

Chemins de lecture (17) - Black Dahlia, Black USA, Black Ellroy Du sang de l’Amérique aussi. Avec ses livres, plus noirs que l’encre, on oscille en permanence entre le fait divers épouvantable et l’Histoire récente, non moins épouvantable (les années soixante essentiellement), des USA. Les personnages sont des « serial killers » (« Un Tueur sur la Route »), des psychotiques, des flics désabusés, désespérés ou pourris, mais aussi John Kennedy, Richard Nixon, Bob Kennedy, Edgar Hoover, ceux qui ont fait les USA de ces années Vietnam, de ces années Cuba, de ses années Chili, entre autres. De complot en manipulation d’état, de crimes sordides en exactions maffieuses, le dédale des romans d’Ellroy n’a rien de reposant. Jamais le « roman noir » n’a mieux mérité son nom. Mais ce n’est pas vraiment nouveau : les polars américains n’ont jamais rien eu de reposant.

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