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http://charraudlepin.pagesperso-orange.fr/GDA/GazetteDesArdennes_Prisonniers1.html

Déportation de prisonniers civils pendant la première guerre mondiale : le camp de Holzminden Contexte historique A Holzminden, déportation de civils des territoires occupés A leur arrivée en Alsace en 1914, les troupes françaises ont emmené les fonctionnaires impériaux en poste dans les villes sous contrôle de l’armée française ainsi que leur famille. Ceux-ci ont été internés dans des camps en France et en Algérie. De longues tractations ont commencé entre la France et l’Allemagne pour régler leur sort. Afin de faire céder le gouvernement français, les Allemands décident en novembre 1916 de déporter 300 civils du Nord.

Le camp de prisonniers de Friedrichsfeld (Allemagne) pendant la Première Guerre Mondiale - Le site de généalogie d'Alexis Le camp de Freidrichsfeld était situé en Rhénanie du Nord, à proximité des villes de Duisburg et Köln, à proximité de la frontière germano-hollandaise. Le camp disposait d'un Lazarett (hôpital militaire) et d'une chapelle. Druon Joseph CARLIER (1876-1961) et Noël Jules JOLY (1873-1946), 2 de mes arrières-arrières-grands-pères ont été prisonniers dans ce camp à la suite de leur capture par les Allemands lors de la prise de Maubeuge en septembre 1914. Carte des camps de prisonniers pendantla Première Guerre Mondiale

La revue mensuelle "Les chemins de la mémoire" Avec 6 numéros publiés chaque année, tirés chacun à 23 000 exemplaires, la revue Les chemins de la mémoire est disponible dans les bibliothèques et les centres de documentation et d’information (CDI) des établissements scolaires. Ses derniers numéros sont consultables dans la rubrique Mémoire du site Internet du ministère de la Défense. Depuis 2007, des témoins ou historiens reconnus écrivent gracieusement dans les colonnes des Chemins de la mémoire. Les pages sont ensuite composées par l’équipe du Bureau des actions pédagogiques et de l’information de la DMPA. Tous les deux mois, le lecteur retrouvera désormais, dans la rubrique Dossier, un article de cinq pages dont le thème fait la Une. Dans les colonnes de L’évènement, un historien éclaire un fait ou une date historique.

Découverte - A la loupe - Le temps de la Grande Guerre à la lecture de journaux de Besançon - Le temps de la Grande Guerre à la lecture de journaux de Besançon Pour célébrer le centenaire de la victoire de 1918, Memoirevive invite le blog "il y a cent ans, hier et aujourd'hui..."​​ Retour sur Cinq ans de lecture d’éditions bisontines. Commencée en novembre 2013, cette immersion dans la presse locale d’il y a cent ans trouve son aboutissement avec la fin de la Grande Guerre. La presse allemande : la Gazette des Ardennes, le Lillerkriegszeitung Dans tous les pays belligérants, la presse a été, tout au long de la Grande Guerre, un enjeu considérable pour le contrôle de l’opinion publique. Les journaux ont fait l’objet d’une étroite censure et ont dû se résoudre à informer le public par les seuls communiqués officiels. Dans les territoires français occupés par les Allemands, les populations se sont trouvées privées de nouvelles des leurs et du sort des armées françaises. Les Allemands sont les seuls à pouvoir fournir des informations. Ils créent pour cela La Gazette des Ardennes, en novembre 1914 (elle est imprimée à Charleville-Mézières).

Les journaux de tranchées de la Première Guerre mondiale En cette année du centenaire du début de la Grande Guerre, Gallica vous propose de découvrir près de 130 journaux de tranchées publiés pendant la Première Guerre mondiale. Dès l’automne 1914, au moment où les opérations militaires se stabilisent dans les tranchées, des feuilles se créent au hasard des affectations et des offensives, sur le front occidental comme sur le front d’Orient. Ce sont des gazettes d’unités combattantes, de sections spéciales (ambulance, ravitaillement etc), des bulletins de liaison entre poilus de même origine, mais affectés dans des secteurs ou des régiments différents. Beaucoup de ces titres ne dépassèrent pas quelques numéros ; d’autres survécurent à la guerre.

1914-18 : Ce qu'on lisait dans les tranchées - 11 novembre 2013 - Bibliobs - Le Nouvel Observateur L'automne 1914 fut moins littéraire que mortifère. Avec une moyenne de 800 morts par jour pendant quatre ans et demi, il y aurait presque de l'indécence à se demander ce que lisaient les poilus. Un jeune historien s'y est risqué. Fièvre éditoriale autour du centenaire de 14-18 « Dans la bande dessinée, écrivait l’historien Sylvain Venayre en 2009, la Grande Guerre est le majorat de Jacques Tardi. » L’auteur de C’était la guerre des tranchées (Casterman, 1993) avait marqué la première guerre mondiale d’une telle griffe de lion que personne n’osait trop y toucher. A voir l’avalanche d’albums de bandes dessinées qui s’abat sur les présentoirs des librairies à l’occasion du centenaire de la Grande Guerre, force est de constater que ce n’est plus le cas. Plus de trente albums ont été édités ou réédités à l’approche des commémorations. Les auteurs sont principalement français et belges. « La production est telle qu’on parle de sujet à la mode, explique l’historien Vincent Marie, auteur de La Grande Guerre dans la bande dessinée de 1914 à nos jours (Ed. 5 Continents, 2009). Le lien très fort des Français avec l’histoire de leur pays, le poids du traumatisme de cette guerre dans les familles, mais aussi la perspective des commémorations expliquent cet engouement. »

1914-1918 : l'image livrée par l'occupant allemand à l'occupé français par Hubert François Cet article est la transcription d'un exposé donné par M. François Hubert à l'occasion du colloque Images de la guerre et guerre des images au XXe siècle dans le cadre du 132ème Congrès National des Sociétés Historiques et Scientifiques (CTHS - Arles su 16 au 21 avril 2007)

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