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Intelligence artificielle: vers une copie du cerveau humain?

Intelligence artificielle: vers une copie du cerveau humain?
Après un peu de sémantique, un tour des techniques de l’IA, l’étude de cas d’IBM Watson, un tour d’horizon des start-up américaines de l’IA, puis de celles qui sont acquises par les grands groupes, et enfin des start-up françaises du secteur, je vais m’intéresser au fonctionnement du cerveau pour en évaluer la complexité et la difficulté à en modéliser le comportement au sein de l’IA. Imiter ou s’inspirer du cerveau humain Le concept même d’IA ne fait pas l’unanimité dans sa définition. Pour les puristes, un simple réseau de neurones ou un système de reconnaissance d’images ne relève pas à proprement parler de l’IA. Tout dépend de la définition que l’on se donne de l’IA, et notamment si la définition est anthropocentrée ou pas. C’est un peu comme la magie. Au gré des découvertes en neurobiologie et en sciences cognitives, cette magie perd petit à petit de son lustre. Doit-on absolument chercher à copier ou imiter le cerveau humain pour créer des solutions numériques ? Quels sont-ils ?

Une intelligence artificielle peut-elle devenir présidente des Etats-Unis ? Une campagne en ligne, Watson 2016, vante les mérites d’une intelligence artificielle à la Maison blanche. Une manière de critiquer le système politique actuel. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Morgane Tual Il ressemble à tous les autres sites des candidats à la présidentielle américaine. « Nous pensons que les capacités uniques de Watson pour analyser l’information, et prendre des décisions éclairées et transparentes, en font un candidat idéal pour le poste à responsabilités que représente celui de président », peut-on lire sur le site de la campagne Watson 2016. « Plus Watson intègre d’informations, plus ses capacités de prise de décision sont efficaces. Selon ce site, Watson pourrait analyser, en prenant en compte de nombreux paramètres, les qualités et défauts de chaque décision, en évaluant « son impact sur l’économie, l’environnement, l’éducation, la santé, la diplomatie et les libertés publiques ». « Frustration et désillusion » D’où vient ce site ? Est-il vraiment sérieux ?

Pour les jeunes, le diable se cache dans les médias La Paillade, quartier populaire dans le nord-ouest de Montpellier. Ici, personne n’est chaud pour débattre «officiellement» sur les théories du complot : ni les institutions, ni les écoles, ni les associations. Chacun y va de son excuse, avance son alibi. C’est donc au hasard des rencontres que l’on va glaner les témoignages. Par exemple celui de Saliha, 18 ans, et de Kadija, 20 ans. Toutes deux voilées et toutes deux inspirées d’emblée par le sujet : «Y a plein de complots, mais on ne sait pas si on doit y croire. «Délire». Montpellier, quartier de la gare. Confiance. Véronique Pinet, professeure de philosophie, écoute ses élèves d’un air consterné : «Les gamins souffrent d’impuissance face au monde difficile qui les entoure. Sarah Finger correspondante à Montpellier

La surpopulation n’est en aucun cas le problème de notre planète, voici pourquoi Surpopulation est un mot qui fait grimacer les politiciens, et est souvent considéré comme un sujet tabou dans les discussions sur l’avenir de la planète. Au quotidien, on entend quelquefois parler de la surpopulation comme d’une des grandes menaces planétaires. Mais peut-on vraiment dire que les habitants de la Terre sont trop nombreux ? Il est clair pour nous tous que notre planète n’est pas extensible. “Ce n’est pas le nombre de personnes sur la planète qui pose problème – mais le nombre de consommateurs, tout comme l’ampleur et la nature de leur consommation”, explique David Satterthwaite, chercheur principal à l’Institut international de l’environnement et du développement de Londres. Le nombre d’« êtres humains modernes » (Homo sapiens) sur Terre a été relativement faible jusqu’à très récemment. À l’heure actuelle, cependant, la population mondiale est de plus de 7,3 milliards.

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