La filière du nautisme en Bretagne La filière nautique en Bretagne regroupe les entreprises (majoritairement des PME, TPE), les associations et les prestataires d’activités nautiques et les ports de plaisance. La filière régionale représente 700 millions d’euros de chiffres d’affaires et emploient près de 4 000 salariés (équivalents temps plein). Plus de 2500 Km de littoral Ile de Sein /CRTB la Manche au Nord, la mer d’Iroise à la pointe, l’océan Atlantique au Sud Près de 800 kilomètres de voies navigables Près de 800 îles et îlots 96% des bretons habitent à moins de 60 km de la côte. Des entreprises Un territoire constitué essentiellement de plus de 1000 petites entreprises spécialisées (dont 400 chantiers de réparation maintenance) et de quelques grandes entreprises (une trentaine) qui place la Bretagne dans les premiers rangs des régions nautiques françaises. 80% de ces entreprises comptent moins de 10 salariés. *Inscrites sur l’annuaire régional des entreprises www.bretagne-info-nautisme.fr Port
Voiles News - Le Magazine internet de la Voile - VoilesNews Nouveau Livre Bleu : une réflexion, un forum - Nautisme en Finistère Accueil > Nautisme en Finistere > Livre Bleu > Le Conseil général et Nautisme en Finistère ont engagé les travaux d’élaboration du Livre Bleu du Nautisme pour la période 2015-2020. 9 groupes thématiques ont été constitués pour faire l’état des lieux et le bilan du Livre Bleu 2008-2014 : Démocratisation du nautisme Contribution du nautisme à l’éducation et à la culture maritimes des finistériens Développement économique, entreprises Contribution du nautisme au développement touristique dans les territoires Contribution des ports de plaisance et zones de mouillage au développement des territoires Sport de compétition– sport de haut niveau – évènements Sport, qualité de vie, bien-être, santé Nautisme et environnement Emploi, Insertion et Formation Afin d’élargir et enrichir la réflexion nous mettons en place un forum ou chacun d’entre vous peut contribuer sur une ou plusieurs des thématiques.
ECO NAUTISME l'actualité du nautisme au quotidien avec Figaro Nautisme La Fédération française de voile a sondé sa communauté. Voici en exclusivité les résultats de cette étude et les premières solutions envisagées pour répondre à cette formidable envie de mer. Au cours de l'été dernier, 3 500 français de 16 à 79 ans ont été interrogés sur leur appétence pour la voile, des licenciés tirés au sort dans la base de données de la fédération, mais aussi 2 500 anonymes. «Bien sûr, nous savons que toutes ces personnes ne débarqueront pas demain dans nos écoles, réagit Jean-Pierre Champion. «Nous pensons aux propriétaires, qui veulent faire progresser leur pratique sans forcément retourner dans une école de voile, mais aussi aux locataires qui craignent un peu de s'éloigner des côtes», explique le président. Mais ce changement de système ne se fera pas en un jour. L'étude réalisée en partenariat avec Repucom permet également à la Fédération française de voile de proposer des données fiables aux potentiels sponsors. Portrait de la communauté voile avec Repucom
Salon nautique. Comment se porte la filière du nautisme? Comment se porte le secteur nautique français ? Il survit malgré cinq années de crise qui ont vu s'effondrer des marchés comme ceux des États-Unis, de l'Espagne ou encore de l'Italie. Des pays où les industries de la plaisance ont été laminées. Ce n'est pas le cas en France. « Nous progressons grâce à une présence mondiale renforcée », analyse Yves Lyon-Caen, président de la Fédération des industries nautiques (Fin). Le nombre de bateaux fabriqués dégringole Malgré un marché intérieur du bateau neuf en repli depuis trois ans, « les ventes de voiliers et de bateaux à moteurs affichent un chiffre d'affaires global de 727 millions d'euros (+ 1 %), dont 72, 5 % à l'export ». En 2014, 14 000 unités ont été produites, soit un recul de 16 %. « Nous vendons des bateaux plus grands, mieux équipés et donc plus chers », explique Yves Lyon-Caen. Les petites unités à moteur en recul Reflet de l'état économique, les unités à moteurs de 6 à 9 mètres sont en repli. Effectifs en repli
Nautisme (voile) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Nautisme à la voileVoile Catamaran de sport. Le nautisme à la voile est l'art de naviguer avec l'aide du vent comme force propulsive. On peut distinguer plusieurs catégories d'activités : En Europe, les premiers yachts, petits voiliers construits pour la navigation récréative (de l'aristocratie et la bourgeoisie maritime) remontent au moins au XVIIe et XVIIIe en Angleterre, aux Pays-Bas ou en Russie[1]. Mais l'engouement véritable pour le yachting naît au Royaume-Uni et aux États-Unis, au milieu du XIXe siècle, dans la bourgeoisie. En Europe et aux États-Unis, les clubs de voile devinrent populaires à la fin du XIXe siècle, quand de petits voiliers commencèrent à être fabriqués à l'échelle industrielle. Il existe plusieurs catégories de courses nautiques à la voile : Les régates qui se déroulent dans un espace et un temps limité, les bateaux doivent tourner autour de marques de parcours (en général des bouées). Voir les articles détaillés :
Surf Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le surf ( abréviation de l'anglais "surf-riding", "surf" signifiant "ressac" et "to ride", chevaucher) est un sport qui consiste à glisser sur les vagues, ondes de surface, en bord de mer, debout sur une planche. Le surf se pratique sur des sites de surf, des plages qui sont baignées par de hautes vagues ou de petites vagues au profil adapté. Les adeptes de ce sport sont les surfeurs (ou les aquaplanchistes[1]). Historique[modifier | modifier le code] La plupart des experts et sources s'accordent à penser que le surf trouverait ses origines en Polynésie. La plus ancienne planche de surf connue à ce jour a été découverte en 1905 à Ko'Okena, sur la grande île d'Hawaii, à l'intérieur d'un tombeau. Quand Mark Twain visite Hawaii en 1866, il décrit des "indigènes, de tous sexes et ages, s'amusant avec ce passe-temps national qu'est le surf"[6]. La planche de surf[modifier | modifier le code] Shortboard C'est le type de planche le plus répandu. Fish Gun
Les premiers bains de mer en France Au début du 19ème siècle encore, peu de gens s'intéressaient aux plages qui bordaient le littoral français. On peut imaginer que certains aimaient à s'y promener, mais on était très loin du phénomène de masse que l'on connaît de nos jours. Il faut attendre les années 1820 pour que les séjours à la plage suscitent un réel engouement : et c'est à Dieppe que tout commença. De la diligence à la voie ferrée A l'époque, il faut 15 heures en diligence pour relier Paris, la capitale, à la ville de Dieppe, en Normandie. Dès 1824, cette petite commune située en bord de mer accueille un établissement de bains, construit par son sous-préfet, le compte de Brancas. Second Empire : l'arrivée du train et la découverte du littoral Le développement du chemin de fer en France va permettre de rejoindre plus facilement les villes de bord de mer. Le nouveau siècle voit naître de nouvelles plages Les mêmes plages mais pas les mêmes plaisirs
La religion et l’essor du sport en Grande-Bretagne 1En mai 1999, la finale de la Cup écossaise qui opposait le Glasgow Rangers (protestant) au Glasgow Celtic (catholique) fut suivie d’une bagarre au cours de laquelle un fan du Celtic trouva la mort. Le lendemain, un journaliste se rendit au Baird’s Bar, un pub de l’East End de Glasgow fréquenté par les supporters du Celtic. Parmi les gens qui buvaient au bar, quelques-uns étaient totalement vêtus de vert (la couleur du Celtic) et plusieurs se déclaraient opposés au nouveau Parlement écossais, en déplorant que dans un pays protestant comme l’Écosse les catholiques ne soient pas traités équitablement. Le journaliste demanda à un certain M. McPhee s’il assistait à la messe. 2Le Celtic fut fondé en 1887 par le frère mariste Walfrid, avec le soutien d’un comité d’hommes d’affaires catholiques et d’une cotisation de l’archevêque de Glasgow. 5Au début du XIXe siècle, on trouvait encore des sports traditionnels liés aux fêtes et aux structures paroissiales de l’Église.
Les bains de mer | Culture-Histoire Début du XXe siècle, dans ce court moment de notre histoire que l'on appelle "La Belle Époque" (avec de considérables guillemets), la vogue des bains de mer équilibrait son origine médicale lointaine avec sa composante touristique naissante. Pierre-Emmanuel MAIN photographies Alcide L., colllection personnelleh2o – juillet 2012 Pendant des siècles, les bords de mer ne furent que le domaine réservé des pêcheurs, des gabelous, et des pilleurs d'épaves. Si la pratique du bain, individuelle en baignoire ou collective en piscine, remontait à la plus haute antiquité, celle des bains de mer était très récente. L'initiative des bains de mer revenait à l'Angleterre, toujours en avance d'une révolution, d'une technique ou d'une mesure d'hygiène corporelle. De l'autre côté de la Manche, Dieppe, qui bénéficiait d'une excellente exposition aux vents marins, exhibait vers 1820 une pauvre baraque de planches, quelques tentes, et un hangar abritant de vieilles baignoires. Dieppe se lance et… est lancée
Mystery Travel Activité touristique et pédagogique L'observation des cétacés dans leur milieu naturel est une activité à vocation touristique et/ou pédagogique, communément appelée « whale watching ». Apparue dans le courant des années 90 en Méditerranée, elle se pratiquait en Amérique du Nord dès les années 50. Actuellement, ce sont plus de 10 millions de « whale watchers » dans le monde entier qui pratiquent chaque année cette activité, rapportant ainsi des gains directs (montant des sorties en mer) et connexes (déplacements, hôtellerie, restauration, souvenirs) s'élevant à plus d'un milliard de dollars annuels, contre 504 millions de dollars en 1994. La Méditerranée n'échappe pas à cet engouement, d'autant plus que sa biodiversité cétologique est relativement riche (13 espèces constituent le peuplement de Méditerranée nord occidentale, dont 8 cétacés facilement observables). Les intérêts du whale watching sont nombreux. Menaces Perturbation-harcèlements, bruits, émissions de gaz à effet de serre.