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G1000 : Plate-forme d'innovation démocratique

G1000 : Plate-forme d'innovation démocratique
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Tegen Verkiezingen | David Van Reybrouck Onze representatieve democratie raakt steeds meer in het slop. De legitimiteit ervan wordt aangetast: steeds minder mensen gaan stemmen, kiezers worden grilliger in hun keuze, het ledenaantal van politieke partijen loopt dramatisch terug. Daarbij wordt de efficiëntie van de democratie minder: daadkrachtig besturen wordt problematisch, politici moeten hun beleid steeds vaker afstemmen op de volgende verkiezingen. ‘Er is iets vreemds aan de hand met de democratie: iedereen lijkt ernaar te verlangen, maar niemand gelooft er nog in.’

Crowdfunding Note de lecture : « Congo, une histoire  (David Van Reybrouck) | «Charybde 27 xxx Publié en 2010 aux Pays-Bas et en 2012 en France dans une traduction d’Isabelle Rosselin, le gros livre (600 pages de texte et 60 pages de notes et de bibliographie) de David Van Reybrouck m’a beaucoup déçu, et un peu fâché par moments. Le matériau assemblé et présenté est ainsi d’une très grande richesse, et les sources consultées, détaillées dans la bibliographie, approchent sans doute l’exhaustivité. Même le passionné d’histoire africaine y trouvera donc certainement des éléments nouveaux et intéressants (citons au passage, par exemple, le rôle de l’anthropologie coloniale dans le renforcement et l’exacerbation du fait tribal, qui devient dominant uniquement avec les brutales classifications entreprises entre 1890 et 1920). En revanche, le mode d’approche retenu, la position de narration et certains partis pris de nature presque « idéologique » m’ont posé de réels problèmes, et créé in fine cette grosse déception de lecture.

Investig’Action Biography | David Van Reybrouck David Van Reybrouck (Bruges, 1971) read archaeology and philosophy at the universities of Leuven and Cambridge and holds a doctorate from Leiden. Digging and thinking remain his core activities. Research (through interviews, conversations or in archives) feeds his stories and plays a vital role in the shape they take. Furthermore Van Reybrouck is an acclaimed playwright. He is the founder of the Brussels Poetry Collective (2007), a plurilingual, multicultural initiative that brings together Brussels-based poets from different ages, styles and backgrounds. In 2011 Van Reybrouck launched the G1000, a citizens summit and organisation that by now functions as a Platform for democratic innovation in Belgium.

Plan C AGENDA :- 20/2/2011, Six-Fours, avec Culture Libre : "le tirage au sort comme bombe politiquement durable contre l'oligarchie". Vidéo.- 26/2/2011, Paris, Repaire de Là-bas si j'y suis (20e), "Centralité du tirage au sort dans une vraie démocratie". Enregistrement mp3.- 9/4/2011, Paris, Repaire de Là-bas si j'y suis (20e), "L'enjeu de la souveraineté monétaire". - 24/4/2011, Marseille : "1. L'enjeu de la création monétaire" (1 h), puis "2. le tirage au sort comme bombe politiquement durable contre l'oligarchie" (1 h 30).

David Van Reybrouck’s ‘Congo’ Leopold’s dynastic rule could not last. In 1908 Belgium assumed full responsibility. The Belgian Congo was racist, objectionable in its inequity and plunder. Colonial officers and particularly commercial officers were skittish; tiny numbers held the enterprise together. Yet many older Congolese today remain wistful for it. Congo had a good Second World War. As late as 1959, the handover still looked years away: “Of the 4,878 higher-­ranking positions, only three were occupied by Congolese in 1959.” There were four Congolese leaders — Joseph Kasavubu, Moïse Tshombe, Patrice Lumumba and Mobutu — who triumphed. Alas, there is no space here to go into Van Reybrouck’s treatment of the presidency of Kasavubu, the early Mobutu years, the rotting out of the state, the horrors of the first and second Congolese wars, the entry of China into Congo. Simon Kimbangu was born in 1889. Finally, Van Reybrouck offers one of the most extraordinary African stories I have come across in recent years.

Projet pour une presse libre, par Pierre Rimbert (Le Monde diplomatique, décembre 2014) Naguère, les nouveaux riches soucieux de parfaire leur intégration à la bonne société s’offraient un haras, une voiture ancienne ou une villa à Cabourg. Désormais, pour asseoir leur statut, ils s’achètent un journal. MM. Bernard Arnault et François Pinault, deuxième et troisième fortunes françaises, ont depuis longtemps chacun le leur, respectivement Les Echos et Le Point. Les voici rejoints par de nouveaux venus, MM. Xavier Niel et Patrick Drahi, industriels des télécommunications, renfloueurs respectifs du Monde (2010) et de Libération (2014). A s’en tenir aux trois dernières décennies, on repère une séquence presque toujours identique. Libération a été racheté successivement par M. Le modèle mixte expire A en croire les analystes dominants de la presse, deux facteurs favorisent les sinistres à répétition. Ni les dérives de la presse contrôlée par M. La question fouette les imaginations depuis des lustres : nationalisation des infrastructures proposée par Léon Blum en 1928 (lire « M.

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