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Comment le design thinking redonne du souffle à la conduite du changement ?

Comment le design thinking redonne du souffle à la conduite du changement ?
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Comment introduire le design thinking en bibliothèque ? Si vous avez lu mon billet sur le design thinking, vous vous sentez peut-être l’âme d’un designer ? Vous avez peut-être envie de créer des expériences utilisateur inédites ou de prototyper des services innovants ? En bref, vous avez envie d’avoir un ornithorynque dans votre établissement (je parle de la structure dédiée à l’innovation chez Mattel, pas de l’animal !) En même temps, vous vous demandez comment impliquer votre syndicaliste bougon dans une démarche constructive, comment mettre en place une unité dédiée à l’innovation en étant noyé sous le travail quotidien ou comment convaincre une tutelle frileuse d’investir dans une démarche expérimentale… Je reconnais qu’il s’agit d’obstacles de taille. En dehors de certains cas exceptionnels (comme la création d’un nouvel équipement par exemple), il est difficile d’intégrer à 100% la philosophie du design thinking dans le fonctionnement d’un établissement public comme une bibliothèque. Le clip de présentation de Museomix 2014

[leçon] Qu'est-ce-que le design thinking ? - Les cahiers de l'innovation Qu’est-ce-que le design thinking ? Le Design Thinking est tout simplement le terme utilisé pour désigner l’ensemble des méthodes et des outils qui aident, face à un problème ou un projet d’innovation, à appliquer la même démarche que celle qu’aurait un designer. C’est une approche de l’innovation et de son management qui se veut une synthèse entre la pensée analytique et la pensée intuitive. Il s’appuie beaucoup sur un processus de co-créativité impliquant des retours de l’utilisateur final. Ces méthodes ont été élaborées dans les années 80 par Rolf Faste sur la base des travaux de Robert McKim. Le design thinking, des années 50 à aujourd’hui Années 1950: Le publicitaire américain Alex Osborn, en mettant au point la technique du brainstorming, sensibilise le monde de l’entreprise à la pensée créative. La technologie est morte, vive l’expérience ! La valeur économique a commencé avec les ressources (céréales, minéraux). Pourquoi le design thinking ? Le design thinking, les principes

Communautés juives en pays d'Islam : identité et communication à Djerba on était mal préparé à voir certains de ces groupes résister dans la différence ou s'évanouir dans l'émigration, et on a peu analysé les laissés-pour-compte de la libération nationale. Privés de légitimité politique, Arméniens, Coptes, Kurdes ou juifs sont donc privés de légitimité scientifique. Ni l'histoire sociale ni l'ethnographie de ces groupes, ni, encore moins, celles des relations intercommunautaires, n'ont été écrites, ce qui rend l'histoire récente ou actuelle de ces régions à peu près inintelligible. Or, jusqu'au xixe siècle au moins, les États musulmans n'ont jamais défendu une idéologie du melting-pot. Ces communautés juives des pays d'Islam sont aujourd'hui en voie de disparition ou disparues. Ils résistent cependant, et l'on se propose précisément de rechercher ici comment ces communautés se génèrent et se maintiennent.

Du design thinking au design éthique : redonner du sens à l’innovation Le design thinking est une méthode d’innovation qui tire ses racines de pratiques exercées sur la côte ouest des Etats-Unis depuis les années 50. Ces pratiques connaissent un regain de vitalité, notamment pour faire face à des marchés devenus liquides et dans lesquels la fidélité des consommateurs reste sans cesse à reconquérir. Le crédo : mieux répondre aux besoins réels et non supposés des consommateurs en remettant « l’humain au centre ». En rédigeant ce billet, je me fixe pour objectif de mettre en doute les caractères novateur et « humain » de cette méthodologie dans un contexte socio-écologique qui demande à ce que les organisations s’attachent à la dimension éthique de leurs activités. Pour remplir cet objectif, des initiatives émergent, il sera question ici de l’une d’entre elles : le « design éthique ». Warning : cet article va vous demander quelques minutes de lecture, vous feriez bien d’aller vous chercher une tasse de café ! Que doit-on en conclure ? Le leitmotiv de McCahill

Comment dessiner un storyboard? Comme je sais que pas mal d’entre vous, tout comme moi, s’intéressent à la bande dessinée, je voulais en faire une petite introduction sur le blog, même si ma priorité reste d’écrire sur les différentes techniques de dessin. Et qui dit « Bande dessinée », dit avant tout « Storyboard ». Le storyboard est un moyen puissant et rapide utilisé par l’auteur avant de réellement dessiner son histoire, qui consiste à l’esquisser dans un premier temps, sous forme d’une séquence d’images sobres agencées de façon à exprimer l’action dans le temps et dans l’espace. Pour l’auteur, cela permet d’aller à l’essentiel en se concentrant sur seulement quelques images de même taille, afin de dégrossir le travail visuel de mise en scène. Pour le public, le storyboard constitue à ce stade une représentation simple de la scène, et suffit déjà à présenter l’histoire de manière intéressante et parfois même amusante. CASE 1Lieu : dans le salon. Créez vos propres storyboards en quelques minutes sur storyboardthat

9 Conseils Pour Diffuser L'Esprit Design Thinking Dans Les Grands Groupes alice-achterhof-85968 | Diffuser Le Design Dans Votre Entreprise Tim Brown, CEO d’IDEO et précurseur du Design Thinking a absolument raison : « Penser comme un Designer peut transformer la façon avec laquelle vous développez vos produits, services, processus et même votre stratégie. » En effet, le Design est devenu une source de différenciation et un avantage compétitif pour beaucoup d’entreprises. En France, de plus en plus de grands groupes se rendent désormais compte du rôle et de l’importance du Design comme vecteur d’innovation. Cette prise de conscience se traduit aussi par la mise en place de la méthodologie du Design Thinking qui s’inspire du monde du Design pour résoudre les problèmes internes de ces grands groupes, et surtout ceux rencontrés par leurs clients. Mais au-delà de la méthodologie même, comment changer la culture d’un grand groupe pour la rendre plus collaborative, créative et in fine, plus innovante ? L’état d’esprit du Design Thinking repose sur : L’itération.

Conseils pour faire éditer(publier) une BD - présenter un projet de bandes dessinées aux éditeurs : démarches et méthodes - l'expérience spoogue. 1. Composition d'un dossier pour présenter un projet de BD, destiné aux éditeurs de bandes dessinées : Le dossier devra être clair et concis, il comprendra les éléments suivants : - Illustration de couverture- Synopsis de la BD - Galerie des portraits - 3-4 planches racontant le début de l'histoire. - Le story board de la BD. - (en option) Des photocopies de dessins & travaux déjà publiés. - Illustration de couvertureSouvent le dernier élément du dossier (dans l'ordre des tâches), l'illustration de couverture, (ou logo, ou titre enluminé, à votre fantaisie) est la touche finale, mais aussi la première impression que l'on va avoir de votre dossier de BD. Une illustration efficace et représentative est toujours un plus. Le synopsis de la BDRésumé de l'histoire racontée dans l'album, le synopsis de la bande dessinée doit-être clair et concis. suite : la galerie des protraits>>> - 3 ou 4 planches racontant le début de la BD. - Le story board de l'album de BD. haut de page >>>

Le vocabulaire du design thinking Début 2017, j’ai eu le plaisir de diriger le numéro de la revue I2D consacré au design thinking. Le billet qui suit est une version légèrement remaniée d’un texte que j’ai rédigé pour clarifier certains termes récurrents dans le dossier. C’est une démarche un peu scolaire mais qui me semble importante. En effet, certaines personnes peuvent être sceptiques face à un jargon nouveau qui devient subitement à la mode. Pourtant, il n’y a aucune entourloupe cachée derrière des mots obscurs au premier abord, comme « idéation », « itération », « prototypage »… C’est juste que des idées nouvelles nécessitent parfois des mots nouveaux ou inhabituels. Le reste du dossier, qui contient une vingtaine de contributions de bibliothécaires, de designers ou d’experts UX, est accessible en ligne sur Cairn. Pour en savoir plus : Un billet de blog assez dense que j’ai rédigé au sujet du co-design dans les bibliothèques d’Helsinki. L’empathie est la capacité à se mettre à la place d’autrui.

Construire autrement avec Patrick Bouchain Dossier : Les nouvelles politiques du logement 1) S’il fallait choisir un mot pour définir votre travail, ce ne serait pas ceux de conception, projet ou figure mais le mot construire : d’abord, parce que c’est le nom de votre agence et aussi parce que c’est le titre d’un de vos livre : Construire autrement. Pourriez-vous nous dire ce que ce mot signifie pour vous ? 2) Vous critiquez le fonctionnement pyramidal de la production architecturale. 3) « Construire ensemble pour habiter ensemble », c’est selon vous se mettre à l’écoute de la demande des habitants. 4) Vos réalisations sont souvent des lieux de rencontres et d’échanges, où les autres ont leur place.

Qu’est-ce que le design thinking ? Dans mon billet précédent, je soulignais l’importance de l’innovation en bibliothèque. Mais comment s’y prendre pour innover ? Doit-on se fier uniquement à l’intuition ou bien y a t-il des outils sur lesquels s’appuyer ? Dans ce billet, je vais parler du design thinking, une méthode née dans les ateliers des designers mais qui s’étend désormais à toutes les sphères où l’on cherche à innover : industrie, technologie, services… et même la culture. Une méthode pour la conduite de projets innovants Le design thinking a aujourd’hui de nombreux promoteurs mais les définitions varient beaucoup en fonction des cas. Brown est président d’IDEO, une société de conseil dont les membres fondateurs ont notamment créé la première souris pour Apple en 1980. En termes de management, on se situe dans un cadre bien précis : la conduite de projet. Trois éléments importants de la méthode Concrètement, la méthode se divise, de façon variable en fonction des présentations, en 3, 4, 5 ou 7 étapes.

Claire Soussen, « Judei nostri ». Juifs et chrétiens dans la Couronne d’Aragon à la fin du Moyen Âge 1L’ouvrage est issu de la thèse de doctorat de Claire Soussen, consacrée aux rapports entre le pouvoir royal, les communautés juives et la société chrétienne majoritaire dans la Couronne d’Aragon, du concile de Latran IV (1215) à la Peste noire (1348). Le contexte est celui d’un double parachèvement : avec la Reconquista, celui, politique, de l’État ; avec l’apostolat des Ordres mendiants, celui, religieux, de la société chrétienne. 2Le croisement systématique des sources normatives et de la pratique – latines et hébraïques –, et des œuvres des théologiens, commentateurs et prédicateurs de l’espace aragonais, permet de confronter les constructions du discours sur la présence des juifs en monde chrétien, ainsi que l’élaboration de la norme juridique relative aux juifs, appliquée ou non. Parmi le fonds riche et cohérent rassemblé par l’auteur, les documents de nature économique ont été volontairement laissés de côté. 4Quant aux sources juives, elles sont nettement moins étoffées.

Pourquoi le design thinking permet-il de capter plus de valeur ? – weave Alors que le design thinking est désormais pratiqué dans de nombreuses entreprises, on pourrait se dire que la « pensée design » ne procure plus nécessairement un avantage compétitif discriminant. L’idée est très réductrice, car c’est dans la qualité de l’exécution de la méthode que se trouve la clé de l’avantage compétitif qu’elle procure. Elle propose en effet des outils tant pour détecter des besoins latents non satisfaits chez les clients, que pour aider à résoudre des problèmes complexes. Dans les deux cas, c’est dans une première phase d’empathie faisant appel à des méthodologies « ethnographiques » que se situe une part importante de la démarche. « c’est de la qualité de la phase d’inspiration que dépend la qualité de l’expiration (1)». Une phase d’inspiration qui est le lieu où naissent ces fameux « insights » qui vont permettre de déployer des concepts innovants. Revue de détail de quelques applications. Résolution de problèmes flous et création d’expérience Sources :

Chrétiens, Juifs et Musulmans en Espagne : le mythe de la tolérance religieuse (VIIIe-XVe siècle) Au milieu du Xe siècle, le calife de Cordoue célèbre avec éclat la fête chrétienne de la Saint-Jean en organisant des courses de chevaux ; Tolède conserve, sous la domination musulmane, des archevêques catholiques. Au XIIe siècle, Maïmonide, rabbin, philosophe et médecin (1135-1204), a toute liberté pour exercer son art et publier ses œuvres à Cordoue, en terre d'Islam. De l'autre coté de la frontière, autour de l'année 875, le roi de Léon (cf. carte, p. 11) envoie son fils, le futur Ordono II, compléter son éducation auprès de l'émir musulman de Saragosse. Les envahisseurs du VIIIe siècle étaient, dans leur grande majorité, des Berbères à peine islamisés. On s'abuserait en outre si I'on imaginait que les chrétiens ont eu, dès le début, une conscience nette des objectifs à atteindre. Les trois minorités religieuses - chrétienne, juive, musulmane - ont toujours eu une existence légale, quel que fût le régime politique dominant dans les États de la péninsule. Eglises avec minarets

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