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Informations Japon

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Mercredi 5 novembre 2014 : • TEPCo annonce avoir retiré tous les 1 331 assemblages de combustibles usés de la piscine du réacteur n°4. Une belle prouesse. Ces assemblages, de 22 crayons chacun, sont provisoirement mis dans une piscine au niveau du sol, qui est plus stable. En revanche, la compagnie reste discrète sur les 180 assemblages neufs qui restent car trois sont endommagés, depuis bien avant la catastrophe. Ces derniers seront transportés dans la piscine du réacteur n°6. Pour les autres réacteurs, ce sera plus complexe car les être humains ne peuvent pas pénétrer à cause des débits de dose trop élevés. • L’assemblée régionale de Kagoshima, réunie en cession extraordinaire, a débattu du redémarrage de la centrale de Sendaï. • Le risque volcanique continue de faire débat à propos de la centrale de Sendaï. Mardi 4 novembre 2014 • La chambre basse du parlement japonais a adopté la loi sur le stockage des déchets radioactifs issus de la décontamination à Fukushima.

http://www.acro.eu.org/chronoFukushima.html

Une toile pour vous Le cycliste de Tchernobyl: un roman à boycotter. Un roman d'usurpation de la mémoire d'un grand homme, Vassily Nesterenko... le livre de Javier Sebastian à boycotter. La fiction a ses limites que l'auteur en question a transgressées de manière particulièrement perverse. Voici un texte écrit à plusieurs mains à diffuser le plus possible. « Vous avez peut-être entendu parler du « roman » pseudo historique qui vient de sortir, "Le cycliste de Tchernobyl", qui est fort louangé par la critique du Monde (article de Chevillard dans Le Monde des livres du 13 sept, de Libération (le supplément Livres du jeudi 19 sept.) et l'objet d'un battage médiatique sur le net.

Fukushima, le tonneau des Danaïdes Qui peut encore croire raisonnablement qu’il y a aura un jour une issue favorable au Japon, après la catastrophe nucléaire du 11 mars 2011 ? Plus le temps passe et plus la situation s’aggrave, dans un silence médiatique discret. En tout cas, l’annonce récente de fuites à répétitions n’est pas de nature à rassurer qui que ce soit, et si on essaye en haut lieu de calmer les populations, assurant que la pollution qui a lieu depuis bientôt 30 mois, avec cette intense radioactivité qui se jette dans le pacifique, n’aurait que de faibles conséquences, vu la dilution, sur l’environnement. carte Ce qui demande a être prouvé. Une bonne nouvelle, l’une des fuites d’eau radioactive a été enfin repérée (lien) et à ce jour Tepco avoue ne pas savoir quelle quantité d’eau polluée à rejoint la mer. lien

LA SITUATION À FUKUSHIMA (XIX) Mise à jour n° 284 (jeudi 30 juin 15h24) Clé de voûte de la reprise en main de la centrale, la chaîne de décontamination de l’eau hautement contaminée va-t-elle totalement répondre à l’attente de l’opérateur ? La démonstration doit encore en être faite. Greenpeace France Des explosions d’hydrogènes se sont produites sur plusieurs réacteurs, libérant de fortes doses de radioactivité. D’autres réacteurs semblent être aussi dans une situation critique, notamment les piscines de refroidissements de combustibles, situées sur les toits de chacun des réacteurs. Le Japon est durement éprouvé par ce séisme de grande ampleur, les conséquences pour la population sont terribles. Le Rainbow Warrior, navire étendard de Greenpeace, n’a pas eu l’autorisation des autorités japonaises d’effectuer des mesures de radioactivité dans les eaux territoriales autour de la centrale de Fukushima. Le Japon empêche donc des mesures indépendantes et transparentes sur la contamination marine. C’est un aveu clair des craintes des autorités sur les éventuels résultats…

Fukushima : nouvelle fuite radioactive sur fond de série noire Fuite d'un réservoir de liquide radioactif, débordements d'eau de pluie contaminée, les incidents s'enchaînent à la centrale accidentée de Fukushima dont la situation est pourtant "sous contrôle" selon les affirmations du Premier ministre japonais. Tokyo Electric Power (Tepco), qui gère le site ravagé par le tsunami du 11 mars 2011, a annoncé avoir découvert mercredi 2 octobre en toute fin de journée des gouttes sur la partie supérieure d'un réservoir de 450 m3, de huit mètres de haut. "Nous sommes désolés de devoir annoncer une nouvelle fuite", a expliqué lors d'une conférence de presse un porte-parole de la compagnie, Masayuki Ono, indiquant qu'on ne pouvait "pas écarter l'hypothèse d'un écoulement au-delà de la zone des réservoirs (entourée d'un muret) vers l'océan Pacifique" distant de 200 mètres environ. "Rempli à ras bord"

Les veilleurs de Fukushima Ils s’appellent Aimelle, Alex, Arnie, Borek, Cécile, Chris, Deedof, Dominique, Eddy, Florence, François, Guy, Hélios, Hugo, Jacques, Janick, Jeep, Jonathan, Jorge, Kloug, Luca, Nancy, Pascal, Patrick, Paul, Paulo, Pierre, Roland, Trifouillax, Ubick, Watura, etc. Ils sont les veilleurs de Fukushima. On ne peut pas tous les connaître, ils sont innombrables. Depuis le 11 mars 2011, ils sont à l’affut de la moindre information concernant la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi. Et inlassablement, à travers divers sites, forums, blogs, réseaux sociaux et vidéos, ils informent le monde sur cette catastrophe incroyable, très médiatisée dans les premières semaines après l’accident, puis oubliée petit à petit alors que la situation est loin de s’améliorer. Elle a bouleversé leurs vies : les veilleurs de Fukushima se couchent plus tard, sortent moins et abusent de leur ordinateur.

Fukushima/2012 Aujourd’hui, sept semaines après le tsunami du 11 mars 2011, la situation des réacteurs de la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi se dégrade inexorablement. Le 28 avril, TEPCO annonçait que la radioactivité ambiante était de l’ordre de 1220 millisievert/heure, ce qui correspond à quasiment 10 millions de fois la dose radioactive artificielle admissible en France (1 millisievert/année). TEPCO, réputé pour ses mensonges outranciers depuis le début de la crise, commence à préparer le monde entier à l’éventualité, plus que probable, de son incapacité à contrôler cette catastrophe nucléaire en 9 mois, ainsi que son carnet de route le stipulait. Certains réacteurs sont en fusion totale (et ce, depuis le premier jour), les fuites sont permanentes, les risques d’explosion sont plus que plausibles, etc, etc. Avant la fin de l’année 2011, tous les sols de la planète seront inexorablement contaminés par l’irradiation quotidienne et permanente des réacteurs de Fukushima.

Les informations - Page 15 BonsoirPoint d'information Les séismesSéisme de magnitude 6.7, à 10h16 (17h16 heure Japon) le 11 avril au nord-est du JaponCe séisme avait son épicentre proche de la centrale de Fukushima I et d’une faible profondeur (21 km). Il a provoqué une alerte locale au tsunami d’une ampleur correspondant à une hauteur de vague de 1 mètre selon l’Ambassade de France. Cette alerte a été levée rapidement.D’après une dépêche AFP datée de 11h02 (heure française), ce séisme aurait entraîné la coupure de l’alimentation électrique des réacteurs n°1, 2 et 3 de la centrale de Fukushima I.

Fukushima évacué suite à un tremblement de terre Par: rédaction 25/10/13 - 19h59 Source: Belga © reuters. MISE À JOURUn séisme de magnitude 7,1 s'est produit dans la nuit de vendredi à samedi au large de la côte est du Japon, a annoncé le Centre d'alerte aux tsunamis du Pacifique. Le personnel de la centrale de Fukushima a reçu l'ordre d'évacuer. Le séisme a eu lieu à 02h10 heure locale samedi à une profondeur de 10 kilomètres et à 320 kilomètres au large de la ville d'Ishinomaki, dans la préfecture de Miyagi, selon l'institut américain de géophysique, l'USGS, qui a pour sa part évalué sa magnitude à 7,5. Un tsunami de faible ampleur a touché la côte nord-est du Japon après le puissant séisme, a annoncé samedi matin la télévision publique NHK.

Fil actu Japon Les articles des grands quotidiens nationaux ne seront pas repris ici, sauf exception, il est facile de les trouver sur un moteur de recherche. Histoire d'une propagagande annoncée, suite. Source: Ex- traduction partielle depuis l'anglais: ...Le ministère des affaires étrangères du Japon compte utiliser Tweeter et Facebook pour convaincre le monde entier que tout va bien à Fukushima en invitant des étrangers ayant de nombreux suiveurs sur les réseaux sociaux au Japon contre la promesse de relayer des message du type: "le Japon est sûr""Dans le 2e budget supplémentaire pour 2011, le ministère a obtenu 1,5 billions de yens pour prendres des mesures pour contrer les "rumeurs sans fondement".

le complot médiatique de la science officielle se poursuit La diffusion des vrais informations relatives à ce qui arrive ,à Fukushima ,a provoqué une réplique médiatique de la part des universitaires ,des politiciens en poste et des médias capitalistes …en vue d’un combat de lavage de cerveau ! Parler de dilution en milieu fermé il faut le faire. Avec une constante déversation d’eau contaminée dans l’océan il finira tôt ou tard par y avoir une concentration importante d’éléments radioactifs dans l’eau … Je veux dire faut pas être un génie pour comprendre qu’un élément à la durée de vie de 30 ans ne disparait pas dans l’océan alors qu’il est déversé de manière continue ( on parle de tonnes d’eau déversées quotidiennement ).

Fukushima : Alex Borreca, homme en colère Il est en colère contre le nucléaire. Il a branché sa vidéo et le clame, décrivant la situation au Japon. La vidéo fait l’objet d’un grand buzz sur internet. Une toile pour vous Le cycliste de Tchernobyl: un roman à boycotter. Un roman d'usurpation de la mémoire d'un grand homme, Vassily Nesterenko... le livre de Javier Sebastian à boycotter. La fiction a ses limites que l'auteur en question a transgressées de manière particulièrement perverse. Voici un texte écrit à plusieurs mains à diffuser le plus possible. « Vous avez peut-être entendu parler du « roman » pseudo historique qui vient de sortir, "Le cycliste de Tchernobyl", qui est fort louangé par la critique du Monde (article de Chevillard dans Le Monde des livres du 13 sept, de Libération (le supplément Livres du jeudi 19 sept.) et l'objet d'un battage médiatique sur le net.

Japon: les eaux contaminées de Fukushima - Japon Le 11 mars 2011, la centrale de Fukushima, qui se trouve sur le bord de l'océan Pacifique au centre du Japon, est confrontée à un puissant séisme suivi d’un tsunami dévastateur qui va engloutir une partie du site nucléaire. Le raz-de-marée détruit de nombreux équipements, dont les pompes nécessaires au refroidissement des réacteurs qui vont se mettre à monter rapidement et dangereusement en température. Le directeur de la centrale en péril, Masao Yoshida, qui est décédé mi-juillet et qui est aujourd’hui reconnu comme un héros, a la présence d’esprit et le courage de désobéir aux ordres techniquement aberrants qui lui arrivent de sa direction : il décide d’inonder le réacteur n° 2 avec de l’eau de mer.

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