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Où est l'info ? D'où vient l'info ?

Où est l'info ? D'où vient l'info ?
Je me suis servie d'un article de Libération vendredi en 5e, en demi-groupe, et je compte bien le faire avec tous mes groupes. C'était épatant ! Le groupe est assez faible, avec beaucoup d'élèves d'ULIS, mais ils étaient très intéressés et actifs. L'activité dure une heure, et permet à la fois de faire des révisions de vocabulaire, d'attirer l'attention sur la quantité de pub présente sur les sites, et de leur faire pister une image. Etape 1 : l'article vidéoprojeté Je me sers de cet article, et je commence par montrer sa version en ligne au vidéoprojecteur : Un élève est à la souris, et doit montrer l'URL, le nom du site, le début de l'article, la fin de l'article. Etape 2 : distribution des pdf photocopiés Ensuite, je distribue les 5 pages du pdf, chaque élève a ses 5 pages. Les vacances, c'est bien, mais du coup, on a plus de temps pour cogiter... Related:  Medias

L’information service, un enjeu majeur pour les médias ? – Mondes Sociaux CC Wikimedia Commons OpenCliparts Vous ne connaissez pas l’information service ? Rien d’étonnant à cela, puisqu’elle est un type d’information souvent négligé par les spécialistes… de l’information. Pourtant, elle est née en même temps que l’information journalistique, s’est parfois confondue avec elle et a toujours joué un rôle important dans l’offre éditoriale et le modèle économique de nombreux journaux. Trois éléments la définissent : elle est potentiellement utile pour la vie quotidienne du lecteur ; elle est construite et attestée par une source extérieure au média ; son contenu n’est pas transformé par le média qui la publie. Il s’agira ici de rappeler la place qu’elle a occupée dans l’offre médiatique, en particulier pour la Presse Quotidienne Régionale (PQR). Bousquet F., 2015. « L’information-service au cœur de la reconfiguration de la presse infra-nationale française », Réseaux, n°193, 137-165. CC Wikimedia Commons CC Wikimedia Commons Atresgots CC Pixabay Geralt

Quelle part du trafic social media au sein de la presse ? L’idée de cet article sur la part du trafic social media au sein des médias m’est venue suite à une publication de Maxime Barbier (fondateur du site MinuteBuzz) sur LinkedIn, d’un commentaire d’un de nos rédacteurs (Jason Rouet) et de ma curiosité maladive… Sur cette publication LinkedIn, saupoudrée d’un peu d’orgueil, Maxime Barbier partageait l’engagement Facebook du compte MinuteBuzz par rapport à d’autres pages dont des médias comme LeMonde.fr ou le Figaro. L’engagement de MinuteBuzz est certes remarquable notamment en comparant ceux de LeMonde.fr et Le Figaro : Dans son commentaire, Jason mettait en évidence la comparaison très peu pertinente en terme de contenus (je rajouterai de cibles) entre MinuteBuzz et les grands médias de presse : Whoo ça c’est de l’engagement ! Un effet des nouveaux « like » de facebook ? Trafic global / mois En janvier 2015, c’est 75,70 millions de visites et une moyenne de 75,60 millions sur les 6 derniers mois.

L’info en ligne en France passe de plus en plus par les pure players et les réseaux sociaux 10% des Français payent pour de l’information en ligne, selon le Digital News Report 2015* publié par Reuters. Un niveau qui place l’Hexagone au-dessus du Royaume-Uni (6%) et de l’Allemagne (7%), mais en dessous de la Finlande (14%) ou du Danemark (13%). Au final, Le Monde, Les Echos et Le Figaro, sont les trois médias qui comptabilisent le plus d’abonnements numériques, rapporte l’étude, qui cite presseettablette.com. Mais en terme de «marques médias» en ligne, le rapport 2015 révèle que les Français préfèrent 20 Minutes, Le Monde et… Google News en 3e position, qui devancent Le Figaro. La recherche, principale porte d’entrée vers l’info en ligne En France comme chez ses voisins du Sud, la confiance envers les médias est plus faible qu’ailleurs. Dans un tel contexte, le moteur de recherche constitue la première porte d’entrée vers l’information en ligne (40%), devant l’accès direct aux sites des marques (27%), les réseaux sociaux (21%), l’e-mail ou les notifications mobiles.

Bruno Devauchelle : Médias de flux, télé et numérique Si Internet et le numérique ont pris petit à petit une place essentielle dans l'environnement techno-culturel de chacun de nous et en particulier des plus jeunes, la télévision n'a pas dit son dernier mot. Les meubles encombrants comme les télévisions à tube cathodique et l’ordinateur de bureau sous forme de tours sont de moins en moins présents, remplacés soit pas d'immenses écrans plats soit par des ordinateurs portables ou des tablettes. Regarder les programmes de télévision ce n'est plus regarder le poste de télévision, mais plutôt un écran, n'importe lequel, qui donne accès à des émissions en flux continu. Or ce flux continu semble être porteur et au vu du nombre de chaînes et des bagarres pour exister sur ce vecteur de transmission, c'est qu'il y a probablement en réception des spectateurs qui en sont friands. Le flux plus fort que l'interactif ? Le baromètre TNS-Sofres de janvier 2016 conforte cette analyse. Les ambigüités du décryptage de l'information Bruno Devauchelle

cFactuel, l'actu autrement ! Parce que vous souhaitez vous concentrer sur l'essentiel de l'actu. Parce que vous souhaitez comprendre et non suivre l'actu. Parce que vous souhaitez un média qui adopte les formats numériques Et pour un tas de bonnes raisons ! L’équipe rédactionnelle propose un sujet par jour en fonction des grands événements du moment. sont ancrés dans l’actualité reposent sur des notions complexes concernent nos utilisateurs cFactuel revendique une information citoyenne devant permettre de mieux comprendre la société dans laquelle nous vivons. cFactuel est une entreprise de presse qui a pour ambition de rapporter des faits et de rappeler leur contexte. Pour ce faire, le principe de la double source d’information est généralisé afin de s’appuyer sur des informations sûres. cFactuel est transparent : chaque contenu publié listera l’ensemble des sources utilisées pour sa réalisation. cFactuel a été créée en 2015 par Benjamin, Boris et Maxime. Vous souhaitez nous rejoindre ? Télécharger

Découvrez Atlas, la nouvelle maison du data journalisme - Politique Le média américain Quartz vient de lancer Atlas, une plateforme pour répertorier le plus de graphiques, statistiques et autres données à toutes fins utiles. Ou non, après tout. Atlas est « une nouvelle maison pour les statistiques et la data » hébergée par Quartz. Les graphiques sont ensuite tous conservés en ligne et consultables directement sur le site. Un mélange des genres finalement intéressant par la diversité des informations disponibles, qui donne à voir un monde mouvant et passionnant par les chiffres. Retrouvez The Atlas par Quartz à cette adresse. Lire Journalisme augmenté : comprenez la prison comme si vous y étiez, en réalité virtuelle Open Data : le gouvernement veut muscler les sanctions La première base de données ouverte des Panama Papers est en ligne Le gouvernement se lance sur GitHub pour publier des textes de lois L'Assemblée nationale se met à l'Open Data Le.TAXI fournira enfin une API de géolocalisation des taxis disponibles

Tous les outils du journaliste numérique (liste commentée) Philippe Couve Journaliste, consultant et formateur chez Samsa.fr Philippe Couve accompagne les journalistes, les médias et les marques pour l’élaboration de stratégies éditoriales plurimédia et multi-supports (innovation, formation, conseil, coaching). Les derniers articles par Philippe Couve (tout voir) Cédric Motte et Jérémie Poiroux lancent #jTools, une liste commentée et actualisée d'outils numériques pour les journalistes et les producteurs de contenus. Au sein du collectif Médiacadémie, nous sommes plusieurs à avoir des idées fixes. Avec le concours de Jérémie Poiroux, Cédric vient de lancer #jTools. Le site #jTools est encore en phase de démarrage et il va se nourrir des contributions de chacun. [Transparence] Nous vous signalons que le site#jTools est réalisé par un des membres du collectif Médiacadémie.

Avec la vidéo, la radio devient virale La clé pour disséminer les contenus, ce sont les réseaux sociaux. France Inter a lancé depuis quelques semaines le 79 secondes, une compilation du 7/9 sur un ton décalé, mais aussi des best of d’émissions (comme Boomerang d’Augustin Trapenard) et des best of humour sur YouTube, et réfléchit à d’autres formats de mashups pour le weekend. L’équipe digitale d’Europe 1, qui s’efforce d’apparaître parmi les Trending Topic de Twitter tous les jours, diffuse parfois sur Facebook live et tente de renforcer son contact avec les jeunes via Whatsapp. Depuis la rentrée dernière, la station a lancé la Social Room, un moment où l’invité de la matinale répond face caméra aux questions twittées des internautes. « Notre stratégie de rayonnement des contenus sur le web repose sur le mobile, la vidéo et les réseaux sociaux, explique Thomas Doduik. Il n’y a pas encore de modèle économique bien défini, mais cette stratégie est intégrée au fonctionnement de la rédaction. » [2] sur Facebook.

Le journalisme numérique à l’heure du copier/coller Quels sont les outils des journalistes ? Que votre imagination soit plutôt marquée par Tintin ou House of Cards, par Albert Londres ou les comparses d’Edward Snowden, vous vous figurez sans peine le reporter muni de l’inévitable calepin ou du plus moderne smartphone, vous croyez entendre le cliquetis du télégraphe ou le ronronnement du télex, vous voyez une cabine téléphonique comme dans un film noir, un téléobjectif en train de capter une scène compromettante, voire un disque dur encrypté ou une des données perdues dans les nuages… Parmi ces outils, les ciseaux et la colle ne s’imposent pas comme les accessoires indispensables des journalistes. Ils seraient même plutôt décriés. Des journalistes en train de jouer des ciseaux et de la colle ? Et pourtant, les ciseaux et la colle jouent un rôle non négligeable dans les processus de production de l’information journalistique. Ces outils-là façonnent une bonne partie de l’information en ligne. En a-t-il toujours été ainsi ?

Comment rétablir la confiance dans les médias ? - La Croix Il y a un an, lorsque l’institut TNS Sofres avait, pour La Croix, sondé les Français sur leur confiance dans les médias, des Français, nombreux, brandissaient des crayons place de la République, les journaux s’arrachaient dans les kiosques, les audiences des radios et télévisions s’envolaient. La rédaction de Charlie Hebdo venait d’être prise pour cible par des terroristes. Tuer des journalistes, c’était s’en prendre à la liberté d’expression, un socle de la démocratie. Les résultats de notre Baromètre (intérêt record pour l’information, crédibilité des médias en hausse, moindre défiance envers les journalistes…) reflétaient alors ce besoin évident d’union nationale, qui se révéla éphémère. Les sujets « sérieux » plutôt que le sensationnel69 % des personnes sondées déplorent la couverture médiatique excessive de la querelle entre les footballeurs Benzema et Valbuena. Retour à la normale, un an après CharlieL’intérêt des Français pour l’information reste fort (à 70 %). Méthodologie idé

Presse française : qui possède quoi, par Marie Beyer & Jérémie Fabre (Le Monde diplomatique, juillet 2016) Dernière mise à jour : décembre 2023 Ce graphique prend le parti de la lisibilité plutôt que de l’exhaustivité. Y figurent des médias d’information qui « font l’opinion » et qui, pour la plupart, dépendent d’intérêts industriels ou financiers, ou de l’État : publications (principalement) généralistes nationales, quotidiens et hebdomadaires régionaux, médias en ligne, audiovisuel national et quelques chaînes de télévision locales. Les titres et groupes de presse indépendants ainsi que la presse dite alternative ne sont pas représentés. Enfin, on a limité les liens capitalistiques aux principaux actionnaires et décideurs. Malgré les nombreux changements intervenus depuis la dernière publication papier, le principe demeure : les entreprises de presse constituent une marchandise de luxe très prisée des grandes fortunes. Des erreurs peuvent subsister.

Slow journalism : quand les médias changent de rythme Le slow journalism peut se définir par un nouveau contrat passé avec le lecteur. « C’est plus que de la lecture, c’est de l’immersion », s’enthousiasme Amélie Mougey, journaliste au Quatre Heures, mensuel en ligne à l’aspect attrayant. Le slow journalism entre en rupture avec le rythme de production et de diffusion de l’information classique. « On essaie toujours d’aller en profondeur [dans l’anayse] des sujets de façon à être à l’opposé d’un média de réaction », revendique Claire Berthelemy de l’Imprévu, magazine en ligne qui s’est fait une spécialité de traiter les sujets survolés par les autres médias. Des affaires judiciaires aux catastrophes naturelles en passant par les conflits sociaux, nombreux sont les sujets qui ont fait grand bruit le temps d’un scandale avant de retourner aux oubliettes. Aller en profondeur pour traiter les sujets, c’est aussi l’idée cachée dans les plis du 1, un hebdomadaire papier fondé par Eric Fottorino, ancien directeur du Monde, en 2014.

« L’humain est encore qualifié pour juger de la valeur d’un article » Comment définir le slow journalism ? Marie-Catherine Beuth : Je distingue slow news et slow journalism. Dans le slow journalism, on va trouver des projets de médias créés par des journalistes qui veulent traiter l’actualité un peu différemment. Le résultat, ce sont souvent des articles très longs, avec un coté magazine, où la promesse est de dire « on prend son temps » pour lire et comprendre l’information. C’est l’exemple du Quatre Heures. Vous vous situez dans le slow news. Marie-Catherine Beuth : Le constat de départ est que nous avons une surabondance d’informations, et le numérique permet de produire toujours plus d’informations, par toujours plus de personnes, et d’y accéder en toujours plus d’endroits. News On Demand est d’abord cette promesse d’essentiel avec le minimum de culture générale sur l’actualité qu’il faut avoir. Ensuite, il y a une deuxième couche sur la profondeur –article court ou long- pour permettre au lecteur de choisir comment il veut allouer son attention.

Définition - Historique Sans les agences, la presse ne pourrait pas fonctionner. La plus grande partie des informations que véhiculent les media de toutes formes est collectée, mise en forme et transmise par les agences de presse. Consulter la liste des agences de presse L’agence de presse est un maillon essentiel et incontournable dans la chaîne de l’information. Elle s’adresse à tous les types de media dans le monde entier : presse écrite, radio, télévision, internet. Elle collecte l’information à tous les niveaux : local, régional, national, international. Elle est généraliste ou spécialisée (économie-finances, sports, religions, loisirs, …) 70 ans de la FFAP par ffap75 Le concept d'agence de presse est né en France en 1835, grâce à Charles Havas. En 1848, six journaux new-yorkais s'unissent pour créer l'Associated Press. En 1851, Julius Reuter, qui avait notamment travaillé pour Charles Havas, fonde l'agence Reuter.

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