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"Nulle part en France" de Yolande Moreau

"Nulle part en France" de Yolande Moreau
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Henry de Lesquen, au nom de la race C’est donc vrai qu’on ne peut plus rien dire. Voulez-vous débattre des mérites de la «musique nègre» ou de l’actualité de la «lutte des races» ? La justice vous envoie, un jour de mars 2016, au Mémorial de la Shoah pour deux jours de «stage de citoyenneté». Cette mésaventure est celle d’Henry de Lesquen, 67 ans, ci-devant vicomte, énarque, polytechnicien, président de l'ultradroitière Radio Courtoisie et du tout aussi droitier think tank «Carrefour de l’Horloge». Candidat déclaré, enfin, à la prochaine présidentielle, bien que l’annonce semble avoir échappé à l’attention du public. Le FN, un «lupanar pédérastique» Inconnu du plus grand nombre, l’homme est pourtant une figure de son camp, c’est-à-dire de cette extrême droite à qui la «dédiabolisation» ne dit rien qui vaille. Moins joueuse, la Licra a quant à elle signalé certains écrits, et Henry de Lesquen a été convoqué par la police. «J’ai bousillé leur stage de citoyenneté» Primaire Dominique Albertini

« Les migrants construisent eux-mêmes les murs de leurs propres prisons » En Libye, vous visitez des prisons une première fois en décembre 2014, puis une seconde fois en avril 2015. La situation a-t-elle évolué en quatre mois ? Les prisons sont pleines de nouveaux visages et de nouvelles histoires. Des hommes et des femmes en situation irrégulière, dont on a parfois volé les papiers, ou qui ont été repêchés en mer. Dans la prison de Kararim, une ancienne école, cent à cent cinquante personnes sont enfermées dans moins de quatre-vingts mètres carrés. Comment les autorités libyennes et les prisonniers réagissent-ils à la présence des journalistes ? Les autorités sont dépassées par les événements. Comment les migrants sont-ils traités de manière générale ? Les femmes sont particulièrement vulnérables. Existe-t-il une solidarité parmi les migrants ? Oui, la solidarité se ressent partout. En Libye, tous les migrants ne cherchent donc pas à venir en Europe… Les migrants ne rêvent pas forcément de l’Europe. Comment certains migrants trouvent-ils du travail ?

Loi Travail : dégradations, lacrymos... La journée de colère tourne à l'affrontement Plus de 50.000 personnes ont manifesté en France, contre le projet de loi Travail et des échauffourées ont éclaté dans plusieurs villes ce jeudi 28 avril, journée test pour mesurer la détermination des opposants au texte après deux mois de contestation. De violents heurts ont opposé cet après-midi la police à des manifestants à Paris lors du défilé. A l'entrée du pont d'Austerlitz, sur la rive gauche de la Seine, plusieurs dizaines de manifestants ont lancé des bouteilles, des pavés et des extincteurs contre les forces de l'ordre, qui ont riposté à coups de gaz lacrymogènes. Ces incidents ont interrompu la progression du cortège, qui n'avait pas encore passé le pont, et provoqué l'arrivée de CRS en renfort. En banlieue parisienne, entre 60 et 100 jeunes, qualifiés d'"anarchistes" par la police, s'étaient regroupés vers 6h30 à Gennevilliers pour tenter de bloquer le plus important port fluvial de la région parisienne. Une Porsche incendiée Une quinzaine de lycées bloqués S.D. avec AFP

L'actu par la BD - CLEMI Mettre en scène l'information sous une forme visuelleDécouvrir un nouveau format narratif d'informationIntroduire les notions de caricature, satire, parodie Denis Jourdin, Point de vue et images du monde, L'Association, 2003.Anouk Ricard, Faits divers, Cornélius, 2012.En découvrir des extraits sur www. actualitte.com/critiques-bd/ anouk-ricard-reinvente-les- faits-divers-1952.htmLe blog graphique« Dessine-moi l'éco ».www.lemonde.fr/dessine-moi-l-eco Une actu, une case Illustrer chaque jour ou chaque semaine une actualité avec une case extraite d'une BD.Déterminer l'événement qui a marqué la classe. Demander aux élèves de choisir une case d'une BD qui viendra en apporter un commentaire visuel humoristique. L'actu en quelques cases Mettre un fait d'actualité sous la forme d'un récit court.Imaginer le récit d'un fait d'actualité sous la forme d'une petite bande dessinée de trois à six cases, appelée strip. Une navigation graphique

Qu'est-ce que l'image ? — Enseigner avec le numérique Jean-Paul Achard, docteur en Sciences de l'Information et de la Communication, est le concepteur d'un site ressource très complet sur l’analyse et les fonctions de l’image. Le sommaire général affiche les entrées suivantes : Qu'est ce qu'une image ? Qu'est ce que cadrer ? De la perspective dans l'image, Le temps dans l'image, De la couleur dans l'image, De la lumière en cinéma, vidéo..., L'image en mouvement, Signe, sémiologie, indice, icône, symbole..., Fétichisation de l'image, Le genre documentaire, Dialectiques de l'image, Schématisation de la communication audiovisuelle, Éléments pour l'analyse de l'image, Image et pédagogie, pédagogie de l'image. L'auteur distingue deux grandes familles d'images, les images mentales (ou images psychiques) et les images perceptives correspondant à la vision naturelle et aux reproductions (images reproduites par le biais d’un support intermédiaire). Sources Veille Éducation Numérique - Publication du Centre de documentation de la DGESCO

THÉORIE BD: Cadrages, perspectives, composition et mise en couleurs par Gil FORMOSA La BD comme toute œuvre en 2 dimensions, doit recréer du relief afin de tromper l’œil et donner une profondeur à la scène. C’est pourquoi les auteurs doivent structurer leurs images en privilégiant un avant-plan qui est souvent un personnage, un élément du décor, un véhicule, un animal, dessiné de façon partielle ( vue hors cadre) en avant de la scène, mais dans tous les cas ce 1er plan doit amener le regard selon des lignes de perspective ou de fuite forçant le regard du lecteur à rentrer dans l’image vers l’arrière de la scène (plan moyen), là où va se passer l’action (vue en amorce ). Cette mise en scène a pour vocation de renforcer le climat, l’atmosphère pour les rendrent soit dramatiques, amusants ou détendus pour le lecteur.

Réfléchir à la question des migrants et des réfugiés à l’école Rédacteur : Matthieu Clément Le métier d’enseignant n’est ni de coller à l’actualité, ni de répondre à toutes les questions. Il n’en a pas le temps, ni toujours les moyens, ni toujours l’envie. Il est aussi citoyen, engagé ou pas qui subit également l’actualité. Il n’a pas que des réponses. Néanmoins, il se doit de mettre en questions et en réflexions ses élèves en proposant une mise à distance de l’effroi qui franchit parfois leurs murs en partage (Facebook ou autres). Car c’est bien ce qui s’est passé avec les photos d’Aylan, cette première semaine de septembre 2015 pour une grande majorité de nos élèves. Aussi, les documents qui constituent ce dossier en partage, ont été recherchés, sélectionnés et sourcés afin de proposer une aide à la lecture de la crise des réfugiés en Europe. Pour remettre en perspective ce qu’il convient d’appeler un événement médiatique, il fallait rappeler l’importance des contextes : temporels (long et court) et spatiaux (dans une approche multiscalaire).

L'info, contenu ou expérience En 2015, 44% des 13-18 ans ne lisent pas les journaux, et ne consomment l’information qu’à condition qu’elle ait une destination sociale . En plus de cela, les jeunes ont éteint la télé. "Le Printemps des médias", une rencontre à Paris entre divers acteurs de la galaxie des médias, a permis de mettre en relief le fait que la génération qui vient ne se contente pas de contenus informatifs, mais veut de l'info qui soit en même temps une expérience. Jeudi 12 mai, la seconde édition du « Printemps des médias » proposait, sur la terrasse de Numa Paris, un débat intitulé "Info : Que veulent les ados", rythmé par de nombreux acteurs des médias autour des initiatives et des tendances qui bourgeonnent. Difficile de parler de "la génération Y" en général, tant les Millenials ont des modes de vie et des projets différents. Plateformisation de l’info Formats à picorer (snackable) Narration (Storytelling) Personnalisation Immersion Partager de l'expérience Voyage

L’intox des migrants « nourris et blanchis » avec 1 481 euros par mois en Gironde Des sites d’extrême droite affirment que les 36 migrants accueillis prochainement en Gironde recevront des aides sociales dépassant largement le salaire minimum. C’est faux. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Adrien Sénécat Le conseil départemental de Gironde a voté le 17 octobre une délibération en faveur de l’arrivée de migrants, venus du camp de Calais. Le site Infos Bordeaux.fr, qui se présente comme un site d’information locale quelconque, mais qui est en réalité un faux nez de l’extrême droite identitaire, écrit ceci : « Dans la convention soumise au vote des conseillers départementaux, il est précisé que les migrants seront logés, nourris et blanchis aux frais des contribuables et que l’Etat versera la somme de 319 963 euros, soit 1 481 euros par migrant et par mois. » L’expression « logés, nourris et blanchis », accolée à ces montants, laisse entendre qu’il s’agirait d’argent versé aux migrants. Lire aussi : A quoi les migrants ont-ils vraiment droit en France ?

Idée reçue sur les migrants (5/6) : « Ils viennent profiter des allocations » En réalité, les aides auxquelles ils peuvent prétendre sont réduites. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Mathilde Damgé Cet article est un élément d’une série en six volets sur les idées reçues concernant les migrants. Vous pouvez relire les premier, deuxième, troisième et quatrième volets en cliquant sur les liens. Il existe une longue tradition de critique de l’« assistanat » en France. En France, il existe une dizaine de minima sociaux, qui répondent à des critères très précis d’attribution. Asile : une allocation de 8,40 euros par personne et par jour Comme à chaque fois, il faut distinguer les cas de migrants. En France, cette allocation a été modifiée en 2015, dans le cadre de la réforme de l’asile. Son montant varie en fonction de la composition familiale, des ressources et du mode d’hébergement – les pouvoirs publics ont fondé leur budget sur un montant moyen de 8,40 euros par personne et par jour, soit 252 euros mensuels. Pas d’allocation familiale ni de RSA, sauf pour les réfugiés

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