background preloader

La peinture murale domestique dans la Rome antique

La peinture murale domestique dans la Rome antique
Après l’architecture, un petit point sur la peinture murale, pariétale, dans la Rome antique. Celle-ci fait l’objet d’une typologie en 4 styles. Ce classement à été produit par l’archéologue August Mau, qui s’est basé essentiellement sur les découvertes de Pompéi et sur les descriptions données par Vitruve à propos des maisons de Campanie (De architecturae). La limite de l’exercice réside évidemment dans le fait que ces seules sources ne prennent pas suffisamment en compte ce qui se passe ailleurs dans l’empire. Mais malgré les discussions et polémiques sur les datations et les typologies qui ont pu se produire depuis ce classement, il demeure encore. Offert par exemple à Rome par la maison des griffons. Offert par exemple dans la maison de Fannius Synistor, à Boscoreale, dès le milieu du 2eme siècle. un panneau médian complètement illusionniste, présentant des architectures et bâtiments,une influence certaine des décors de théâtres Fresque romaine Il se caractérise par Ici on remarque :

Une percée dans l'étude des peintures anciennes Culture 12:18 15.02.2016URL courte Des chercheurs de l'université Northwestern ont découvert le secret des portraits funéraires de l'Egypte ancienne. Marc Walton, chercheur à l'université Northwestern, et ses collègues ont découvert le secret des portraits funéraires du Fayoum, mettant ainsi en lumière des mutations artistiques survenues dans la période se situant entre le Ier et le IIIe siècle de l'empire roman. Les chercheurs ont dévoilé les résultats de leurs travaux lors d'une conférence annuelle tenue par l'Association américaine pour l'avancement des sciences (AAAS). En employant les outils scientifiques les plus modernes, les chercheurs ont élevé l'étude des peintures anciennes à un niveau supérieur. A l'aide des données obtenues, les chercheurs ont pu identifier le type de pigments utilisés par les peintres, l'ordre dans lequel la peinture était appliquée ainsi que le type de coups de pinceaux. © REUTERS / Jorge Cabrera

Fresque romaine La Fresque en Gaule La fresque est une technique de peinture murale dont les premiers exemples apparaissent en Gaule du sud avant la conquête romaine, sous l’influence de la culture hellénistique et romaine, mais qui prend un essor important avec la romanisation, où les élites provinciales gauloises adoptent cette mode venue d’Italie. Le goût pour la fresque se répand rapidement et les ateliers régionaux se multiplient, assimilent les techniques et modèles romains mais expriment aussi des variantes locales. Construction et Composition Le mur, destiné à recevoir la peinture, était recouvert de couches successives de plus en plus fines d’enduit fait d’un mortier de sable et de chaux, dont la dernière recevait les couleurs « a fresco » (dispingere a fresco : peindre « à frais » en italien). Conservation et restauration La conservation des fresques in situ est rare (le cas de Pompéi est exceptionnel). De la fouille à la restauration, un exemple amiénois Références documentaires

Les peintures des tombes de Tarquinia Deprecated: Function create_function() is deprecated in /home/taravella/public_html/wp-content/plugins/wordpress-23-related-posts-plugin/init.php on line 215 Deprecated: Function create_function() is deprecated in /home/taravella/public_html/wp-content/plugins/wordpress-23-related-posts-plugin/recommendations.php on line 264 Tarquinia – Tombe du Triclinium J’ai eu un coup de coeur pour ces oeuvres d’artistes cachées dans la nécropole étrusque de Tarquinia (n’hésitez pas à cliquer sur l’image pour l’agrandir). Ci dessus, une femme, la tête renversée en arrière pour figurer l’extase dans la danse, avec les doigts de la main retournée vers elle comme si une transe l’avait envahit jusqu’aux extrémités de son corps. Un autre danseur bondit, est athlétique. Une autre représentation a attiré mon attention, dans la tombe des léopards. Tarquinia – Tombe des léopards La technique picturale de la fresque était inconnue des égyptiens mais familière en Crête et en Grèce. Heureusement pour nous.

Les stucateurs romains : témoignages littéraires, épigraphiques et juridiques Dans son acception la plus large, tectorium s'oppose à structura pour désigner tout ce qui recouvre le gros œuvre9 et Varron l'utilise aussi bien pour les enduits polis et peints de la pars urbana de la villa 10 que pour les enduits utilitaires et beaucoup plus grossiers de la pars rustica11. Le terme est d'ailleurs si général que l'auteur éprouve le besoin, lorsque c'est nécessaire, de préciser par un adjectif la nature de sa composition : opus tectorium marmoratum12, opus tectorium testaceum13. En revanche, chez Vitruve, le sens tend à se restreindre pour désigner un enduit très précis à base de chaux et de poudre de marbre, et c'est le tector qui est chargé d'élaborer le mélange, comme il apparaît au livre VII du De architectural. 9 Vitruve, de arch., 2, 5, 1 (Édit. de F. Granger, coll.

L'étude de la peinture murale La recherche sur la peinture murale antique s’est considérablement développée en France depuis les années 1970 avec, entre autres, la fondation en 1972, par le laboratoire AOROC de l’ENS-CNRS (UMR 8546), du Centre d’Étude des Peintures Murales Romaines (CEPMR), longtemps dirigé par Alix Barbet. Une des caractéristiques fondamentales d’un tel laboratoire est que, loin de limiter ses recherches au seul point de vue archéologique ou stylistique, il rassemble de nombreuses spécialités. En effet, l’étude de la peinture murale se fonde sur l’observation de celle-ci comme objet matériel et, à ce titre, il convient bien mieux de parler d’enduits peints que de peinture murale. Ces quelques points que le sujet pousse à aborder font déjà entrevoir la multitude des disciplines concernées : participent donc archéologues, architectes, chimistes, historiens, mais aussi chercheurs en littératures antiques (qui avait dit que les antiquisants n’avaient pas de débouchés ?...) I. A. 1. 2. C. II. A. B. C.

Pompéi - Eléments de Civilisation (page 3) 1°) Matériaux et techniques de construction Les maisons étaient bâties principalement en tuf (roche poreuse formée par des cendres volcaniques ou des dépôts calcaires) et en brique, laquelle servait pour les murs d'angle et l'encadrement des portes. Primitivement, les murs étaient faits avec des moellons (pierres de petite dimension grossièrement taillées, utilisées pour les constructions, principalement pour les murs) liés à de l'argile et maintenus par des blocs de tuf (schéma 1 ci-dessous). Puis les techniques évoluèrent lentement. 1°) La façade Les murs des maisons pompéiennes étaient enduits de plâtre intérieurement et extérieurement. 2°) L'entrée Ci-dessus l'entrée d'une maison pompéienne. 3°) Des voleurs la nuit Pompéi n'avait pas de véritable force de police. 2°) L'atrium de la maison de Casca Longus 1°) Les visiteurs de l'aube Bien avant l'aube, la clientèle des riches Pompéiens commençait à se rassembler devant la demeure des patriciens. Maison du Samnite à Herculanum.

Muurschilderingen (fresco's) in Pompeii Eens, lang geleden, heerste er op Kreta een machtige koning, die Minos heette. Zijn hoofdstad was wijd en zijd beroemd om een kunstig gebouw, dat het Labyrint werd genoemd, en waarbinnen de gangen volgens zulk een ingewikkeld patroon liepen, dat wie er eens binnen was gekomen, nooit meer de weg terug vond. Diep in het Labyrint woonde de verschrikkelijke Minotaurus, een ondier met de kop van een stier en het lichaam van een mens; hij was de vrucht van een liefdesverhouding tussen Minos' gemalin Pasiphaë en een stier, die Poseidon, de god van de zeeën, uit zee had doen opstijgen. (Dat is weer een ander verhaal) Telkens als de nieuwe maan aan de hemel verscheen, moest er een mens aan de Minotaurus worden geofferd; want als het monster niet op bepaalde tijden mensen kreeg aangeboden om zijn honger te stillen, kwam het naar buiten stormen om dood en verwoesting onder de bewoners van de gehele streek te zaaien. Koning Minos had een zoon, die zijn trots en vreugde uitmaakte.

Europe des Arts et de la Culture

Related: