Protestos de 2011 na Espanha
Origem: Wikipédia, a enciclopédia livre. Os protestos de 2011 na Espanha, chamados por alguns meios espanhóis de Movimiento 15-M, Indignados e Spanish revolution, são uma série de protestos espontâneos de cidadãos inicialmente organizados pelas redes sociais e idealizados em primeiro momento pela plataforma civil e digital ¡Democracia Real Ya! (em espanhol: Democracia Real Já!), que obteve nessa fase inicial o apoio de mais de mais de duzentas pequenas associações.[1] Começaram em 15 de maio de 2011, com uma convocação em cinquenta e oito cidades espanholas.[2] Trata-se de protestos pacíficos que reivindicam uma mudança na política e na sociedade espanhola, pois os manifestantes consideram que os partidos políticos não os representam nem tomam medidas que os beneficiem. Os protestos se iniciaram próximo às eleições municipais, marcadas para 22 de maio de 2011. Organização dos protestos[editar | editar código-fonte] Em 17 de maio a página de ¡Democracia Real Ya! Incidentes
Gérard Mordillat
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Gérard Mordillat (à droite) au Salon du Livre 2010 à Paris. Gérard Mordillat, né le 5 octobre[1] 1949 à Paris, est un romancier et cinéaste français. Il a, entre autres, publié Vive la Sociale !, L’Attraction universelle, Rue des Rigoles. Biographie[modifier | modifier le code] Né à Paris, dans le quartier de Belleville, d’un père serrurier à la SNCF, Gérard Mordillat s’intéresse très vite à la littérature et au cinéma. Il est, avec Eva Almassy, Patrick Besnier, Odile Conseil, Lucas Fournier, Jacques Jouet, Dominique Muller, Hervé Le Tellier et d’autres, l'un des « papous » de l’émission de France Culture Des Papous dans la tête, fondée par Bertrand Jérôme et animée par Françoise Treussard. Engagement politique[modifier | modifier le code] C’est un soutien de longue date du PCF. Télévision[modifier | modifier le code] Œuvre[modifier | modifier le code] Romans 1981 : Vive la sociale ! Poèmes Essais En collaboration avec Jérôme Prieur Préface
www.liberation.fr/monde/2012/05/12/aujourd-hui-tout-le-monde-sait-qui-sont-les-indignes_818124
Ils voulaient faire du 15 mai 2011 une journée historique. Il y a un an, à Madrid, le petit groupe de «Démocratie réelle maintenant » manifeste à la Puerta del Sol à quelques jours des élections municipales. Ne se sentant pas représentés, ces Espagnols réclament un changement dans l’exercice de la politique. Le mouvement se développe rapidement à l'étranger. Dans plus de 900 villes du monde, les Indignés occupent des lieux symboliques et se rassemblent pour débattre, échanger, questionner. Ce samedi, réunis pour leur premier anniversaire, les Indignés ont appelé à la mobilisation internationale. Quels ont été les apports du mouvement des Indignés ? Le mot «Indignés» a eu beaucoup plus de portée que le mouvement, parfois très modeste. Le mouvement a été modeste, vous refusez cependant de parler d’un échec... Ce n’est pas un échec. Pourquoi le mouvement n’a pas décollé en France, à l’inverse des Indignés espagnols ? La situation des jeunes sur le marché du travail n’est pas la même.
2011 Spanish protests
Documental 15M: «Excelente. Revulsivo. Importante». English subtitles The 2011–present Spanish protests, also referred to as the 15-M Movement (Spanish: Movimiento 15-M),[2] the Indignants Movement,[3] and Take the Square #spanishrevolution,[4] are a series of ongoing[5] demonstrations in Spain whose origin can be traced to social networks such as Real Democracy NOW (Spanish: Democracia Real YA) or Youth Without a Future (Spanish: Juventud Sin Futuro) among other civilian digital platforms and 200 other small associations.[6] The protests started on May 15, 2011 with an initial call in 58 Spanish cities.[7] The series of protests demand a radical change in Spanish politics, as protesters do not consider themselves to be represented by any traditional party nor favoured by the measures approved by politicians.[8] Spanish media has related the protests to the economic crisis, Stéphane Hessel's Time for Outrage! Background[edit] Organization[edit] Protests in 2011[edit] May 2011[edit]
47 Countries - 800 millions citizens
MADRID • La ville où sont nés les "indignés"
Le 15 mai 2011 : à l'issue d'une manifestation de jeunes indignés par la situation politique, économique et sociale, par la corruption et par la précarité, plusieurs centaines de personnes décident de ne pas se disperser, comme le veut l'habitude, et de camper sur la Puerta del Sol, au cœur de Madrid. Le "mouvement des indignés" (mouvement dit du 15-M) était né. Il allait essaimer dans le pays, puis en Europe et jusqu'aux Etats-Unis. Plus d'un an après, le mouvement n'est pas mort, loin s'en faut.
Proteste in Spanien 2011
Entwicklung[Bearbeiten] Die landesweiten Proteste begannen am 15. Mai 2011 mit einem Aufruf in 58 spanischen Städten. Sie erhielten Mitte Mai Unterstützung von über 200 Verbänden,[5] Ende Mai wuchs die Zahl auf etwa 500 Initiativen an.[6] Ab dem 18. Am 27. Am 29. Auf einigen großen Plätzen Spaniens hatten sich am 30. Am 7. Am 19. Ursachen und Hintergründe der Protestbewegung[Bearbeiten] Ziel der Demonstranten ist ein Wandel in der spanischen Politik und Gesellschaft. Es haben sich bisher keine Wortführer hervorgetan. Die Proteste wurden beeinflusst durch die Ereignisse des Arabischen Frühlings,[28][29] sowie durch die Proteste in Griechenland und Island im Jahr 2008.[30] Außerdem nehmen sie (in der Selbstbezeichnung Indignados (‚Empörte‘)) Bezug auf das Buch Empört Euch! Der Behauptung, die Bewegung sei in den sozialen Netzwerken entstanden, wurde von dem Soziologen César Rendueles entgegengehalten, diese Sichtweise entwerte den politischen Gehalt der Proteste. In Paris fand am 29.
ESPAGNE • Le mouvement du 15 mai réveille la société civile
Un an après son apparition spontanée, le mouvement des "indignés" n'est pas mort, loin s'en faut. Il a donné naissance a une multitude d'initiatives populaires qui remplissent les vides laissés par le désengagement de l'Etat. Un lundi de juillet 2011, à Madrid. Têtes connectées Voilà comment fonctionne le 15-M : ce sont des milliers de têtes connectées, sur les places publiques et sur les réseaux sociaux, qui cherchent à sortir de la crise. Grâce à ce mouvement , de nombreux réseaux de soutien ont vu le jour, comme le réseau d'assistance mutuelle du quartier madrilène d'Aluche : tous les jeudis et vendredis, cette association collecte le surplus des commerces et des restaurants, puis, le vendredi après-midi, elle distribue ces marchandises aux personnes du quartier qui en ont le plus besoin. Occuper le vide La question de l'emploi occupe actuellement une grande partie des efforts et des réflexions des militants. La lutte contre les expulsions, pendant ce temps, suit son cours.
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