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Identité numérique et réputation à nouveau sur le devant de la scène

Identité numérique et réputation à nouveau sur le devant de la scène
Grosse actualité ce matin avec le lancement par Swiss-Life d’une offre de protection de la e-réputation des particuliers : Reputation Squad lance en partenariat avec Swiss Life la première offre d’assurance e-réputation. Une offre avant-gardiste et dans l’ère du temps (72% des internautes ne saurait pas supprimer les contenus diffusés à leur insu sur le web). Autant je déteste le terme “e-réputation”, autant je suis persuadé qu’il y a bien un enjeu de société avec la gestion de l’identité numérique. Dans ma vision des choses, il n’y a pas de “e-réputation”, simplement une réputation qui se propage de façon naturelle (anarchique ?) par bouches à oreilles ou sur d’autres médias. Le web étant le média où les particuliers ont le plus de chance d’être visibles, en tout cas bien plus de chances qu’à la TV ou la radio. Google est également en embuscade sur ce créneau depuis un petit bout de temps. Tout ceci est très intéressant, mais il n’y a pas beaucoup d’argent à gagner dans l’immédiat.

L’identification numérique est une aberration On parle de plus en plus ces temps-ci de l’identification numérique. Le service d’identité numérique de la Poste, Identic, a beaucoup fait parler de lui et les commentaires sont nombreux. Ce qui m’étonne le plus c’est que contrairement à de nombreux sujets, le consensus n’est pas visible au sein de la communauté compétente. L’identité numérique ? Tout d’abord, je vais tenter de résumer succinctement le principe commun aux systèmes d’identité numérique. Que ce soit MyID ou plus récemment Identic, le principe reste le même. Il est facile de s’attendre à un acteur qui deviendra majoritaire par effet de réseau (tout comme le 220 volts qui s’est généralisé pour ces raisons), et gèrera l’identité en ligne sur une majorité de sites. Voilà pour les prérequis. Pourquoi veut-on avoir une identité numérique certifiée ? C’est ça qui me bloque. – Je veux savoir à qui j’envoie un mail Effectivement c’est un réel problème. Or ce n’est pas du tout le cas. Ok, c’est pas faux. Les dérives de tels systèmes

Le Quantified Self au service de la productivité individuelle et collective Si les utilisateurs et les interactions sociales qui les relient sont la matière première principale du web sur les 5 dernières années (avec l’avènement des médias sociaux), les années suivantes devront composer avec une autre matière première précieuse : les données (cf. Du contenu roi aux données reines). Les données sont la matière première du géo-marketing, elles permettent d’optimiser l’implantation d’un hypermarché. Elles sont également à la base de l’analyse décisionnelle qui permet de piloter une activité commerciale. Non seulement les progrès réalisés par les outils de collecte et de partage vont grandement faciliter la constitution de personal data ecosystems, mais les annonceurs, collectivités et organisations vont nous y inciter, car elles apporteront des réponses aux questions que nous ne nous posons pas encore. Définition et origines du Quantified Self Les origines sont à chercher dans les journaux intimes et les pratiques de self-tracking. Pour des raisons médicales.

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L'hyper-connectivité, esclavagisme des temps modernes ? Il est loin le temps ou la sphère professionnelle se limitait au bureau qui nous retenait quotidiennement entre quatre murs. Dorénavant, on a accès à tout, tout le temps. On est connecté partout, à tout, tout le temps. Il est loin le temps ou la sphère professionnelle se limitait au bureau qui nous retenait quotidiennement entre quatre murs. Grâce ou plutôt à cause de lui, le monde professionnel ronge vicieusement les frontières qui lui sont dévolues et s’invite dans notre sphère intime. La liberté ne connait plus de frontières, internet les a virtuellement abolies De fait, alors qu’il existe bien des frontières réelles, le bureau, la technologie, quant à elle, ne nous rend pas plus libre si l’on n’y prend pas garde. Sous la lumière rassurante de son BlackBerry, dans son lit, alors que minuit sonne, se cache peut-être une dépendance bien plus dangereuse qu’il n’y parait car normalement cautionnée par la société : le travail, c’est la santé non ? Quel est le rapport avec la liberté ? ).

Thomas Stenger e-commerce marketing SI TIC communicationinteractivité achat en ligne interactif interactive Le désabonnement, nouveau comportement de l’internaute ? Je viens de passer une semaine avec un groupe de 30 personnes qui n’ont rien à voir professionnellement avec le web, les réseaux sociaux ou l’email marketing. Nous avons échangé à un moment donné sur nos activités professionnelles respectives. En parlant d’email marketing, j’ai été surpris par la quasi unanimité autour de la gestion de leur boite email. Pour gérer leur messagerie, aucun ne clique sur le lien de désabonnement pour supprimer leur adresse des bases de données. Ils déclarent les emails non désirés en courrier indésirable ou en spam. Pourquoi, alors que la plupart des acteurs sont clean et gérent correctement le désabonnement via le lien de désabonnement dans le footer de l’email (tout en bas) ? Leur réponse est unanime et directe : « si tu cliques sur le lien de désabonnement, tu valides ton adresse email et tu te mets à recevoir encore plus d’emails non sollicités ! Wouah, la claque que j’ai prise. Je ne pretends pas tirer une généralité de cette histoire.

Mot-clé - identic - Jérôme blogue...sérieusement ? Je vis, paraît-il, dans la plus belle ville du monde. C’est vrai qu’elle est belle ma ville en général, mais parfois elle m’inflige des petites souffrances. Le mois de juin est une période bien connue des Parisiens (en tout cas dans mon arrondissement) car c’est à cette époque qu’on s’inscrit pour les activités sportives/culturelles qui démarrent à la saison suivante, au mois de septembre. A Paris on s’inscrit donc tôt. Les centres d’animations proposent un large choix d’activités, de nombreux sports sont au programme. Seulement voilà, pour certaines activités, les places sont rares et il faut jouer des coudes pour obtenir une inscription. Reste donc la deuxième solution : faire la queue. J’avais prévu le coup : j’ai pris une journée de congé (oui, vivre à Paris demande parfois des sacrifices), un sac à dos avec des réserves d’eau et de la lecture. Arrivé peu avant 7h. 9h. 9h45. 10h. Lentement mais sûrement les choses se mettent en place, les rares places assises sont prises d’assaut.

de l’intérêt des avis négatifs et de la critique De nombreux discours sur l’e-réputation se concentrent sur les commentaires/avis négatifs. Cette vision binaire parfois étonnante, négatif = mauvais, positif = ce que l’on cherche à atteindre, exclue souvent tout l’intérêt que ces commentaires jugés comme négatifs apportent à une organisation. Voyons rapidement pourquoi… Tout d’abord, il est important de rappeler que rien n’est négatif ou positif en soit, ce n’est qu’une question de perception. Au final, ces commentaires/avis qui peuvent paraitre négatifs et critiques sont (et on peut en débattre) une vraie valeur ajoutée pour une organisation. Un commentaire négatif permet de s’améliorer : ce n’est pas parce que vous avez pensé que votre produit ou votre campagne de communication auraient tel ou tel impact que cela va arriver. Mais aussi de se positionner face à une communauté (sociale) à laquelle il veut se rattacher ou s’opposer. Les avis négatifs sont en quelques sortes un critère de différenciation important pour une organisation.

The man who wants your ID – Myid.is launches beta to 1.2m people I first met Charles Nouÿrit at Le Web in 2007. Surrounded by ‘boothe babes’ in tight white T-shirts, he was handing out cards about something called Myid.is. Was this the standard French startup pitch at Le Web? It probably was back in 2007. A giant trial with the French Post office (La Poste) with a service branded as “Identic” will soon launch, claiming to be a world first in the Identity space. The trial will last for 6 months, and will allow the 1.2 million citizens of the Essonne region in France to register on Identic in order to certify their Digital Identity. What does this mean? So, here’s a possible future example: Without me needing to get a “verified by Twitter” badge on my account, Twitter could simply pull the data from Identic where I’d already had my identify verified by a trusted third party partner. One might be to strengthen confidence linked to any social profile or to authenticate access to a site using their Identic/MyID.is username and password.

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