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A solution to reverse Africa's growing deserts

A solution to reverse Africa's growing deserts
I've often said that the most sophisticated "green" technology on the planet is the humble tree. Trees sequester carbon, fix nitrogen into the soil, create organic compost, prevent erosion and encourage rain, while providing sustainable crops, shape, lumber and even fuel. The single most important activity on the planet (I believe) is planting trees, a fact backed up by the latest McKinsey study on abating the effects of global warming. But there is a problem. Reforestation efforts in denuded lands such as Africa, Mexico, India and China have never been taken seriously as a means to abate climate change because young saplings are very difficult to establish. They take a lot of water and require regular maintenance — two things that are in scarce supply in precisely the regions where they are needed most. But what if there were a device that eliminated those risks? Dew is created at night when the tiny amount of moisture in the air condenses on semi-permeable surfaces like leaves.

Avec Mikis Théodorakis ! « A La Une « Le blog de Jean-Luc Mélenchon Communiqué du Parti de Gauche – 19 juin 2011 "Le Parti de gauche se réjouit du vote clair des adhérents communistes en faveur de la candidature de Jean-Luc Mélenchon. Le choix définitif formulé ainsi par le PCF après celui de la Gauche Unitaire, de la FASE et, naturellement, du Parti de Gauche, donne du sens à la dynamique politique du Front de Gauche engagée depuis les dernières élections européennes. Ici juste un mot amusé sur les sorties de Chirac qui ont tant embarrassé ce malheureux François Hollande. Je ne crois pas que Chirac ait perdu la tête en disant vouloir voter Hollande. Chirac, je suis socialiste et j’ai un programme à gauche, vous le savez bien ! François Hollande veut constitutionnaliser le dialogue social. de tous, le pire, celui d’avoir désigné pour unique souverain le peuple, considéré comme un tout. Il faut examiner de près sa tribune dans « Le Monde ». sociaux sur des sujets bien précis et après vérifications des mécanismes de représentativité ». Note du webmestre

Qui a peur de la démondialisation ? Dans une tribune récemment publiée sur Mediapart (6 juin 2011), des membres du conseil scientifique d’Attac (Geneviève Azam, Jacques Cossart, Thomas Coutrot, Jean-Marie Harribey, Michel Husson, Pierre Khalfa, Dominique Plihon, Catherine Samary et Aurélie Trouvé) déclarent « s’inquiét(er) de la fortune rencontrée par la démondialisation ». Je crois avoir à leur endroit suffisamment d’estime et d’amitié pour leur dire mes désaccords – à plus forte raison après m’être rendu coupable d’avoir moi-même employé le mot « à problème » (1)… Dépolluer du FN Du problème en question, il est sans doute utile de commencer par déblayer la situation politique – entendre la dépolluer du Front national. Au fait, qu’est-ce que la mondialisation ? Il y a alors deux définitions possibles de la mondialisation : De quelques approximations de l’anti-démondialisation La question décisive de la souveraineté Les signataires objecteront qu’ils visent moins loin que le monde : l’Europe. Souveraineté, peuples

Urgence d'un changement civilisationnel face à la nouvelle ruée minière mondiale, entretien avec William Sacher Mouvements : À l’échelle internationale, on observe une véritable ruée minière, que ce soit pour l’or, l’argent, le cuivre ou des métaux plus rares et spécifiques, dont les prix ne cessent d’ailleurs de s’accroître sur les marchés internationaux. Comment l’expliquer ? Y a-t-il des régions particulièrement concernées ? Lesquelles ? William Sacher : Nous sommes en effet dans une nouvelle ère minière. La production de nombreux minéraux a explosé au cours des dix dernières années, tandis que les dépenses d’exploration dans l’industrie atteignent des sommets [1]. Il est possible d’isoler une série de facteurs explicatifs. Mouvements : Arrêtons-nous sur la volonté des pays les plus puissants, Etats-Unis, Europe et Chine en tête, de "sécuriser l’accès aux ressources". William Sacher : La Chine aurait investit 9,2 milliards $ dans 33 opérations minières à l’étranger en 2009-2010 [7], notamment en Afrique et en Amérique Latine. Mouvements : Quelles sont les conséquences de cette ruée minière ?

Tête de Quenelle ! Le commencement de la fin Pareilles aux images aériennes du front de tsunami avançant inexorablement vers une côte japonaise dont le sort est scellé, le déploiement de la crise financière depuis trois ans donne une impression d’irrésistible fatalité, avec en prime cette sorte d’incrédulité un peu stupide de dirigeants qui croient encore pouvoir tout sauver quand tout est déjà compromis. Un choc de la magnitude de la crise dite « des subprime », crise dont on ne redira jamais assez qu’elle a été celle de la finance privée, était voué à produire, via le canal du crédit, une récession dont les conséquences sur les finances publiques s’annonçaient désastreuses. Plus encore impliquées dans la détention de titres souverains qu’elles ne l’ont été dans les titres privés hypothécaires, un choc massif dans l’un puis l’autre compartiment menace de mettre à bas tout le système des institutions financières. Quand les agences font de la politique Les Etats-Unis à leur tour dans la lessiveuse Le chaos cognitif de la finance

Frédéric Lordon : leur dette, notre démocratie - transcription : J'ai dû louper un épisode... Vous vous souvenez peut-être de l'intervention très forte de Frédéric Lordon lors du colloque co-organisé par Attac et Médiapart... Eh bien Saadia m'en a envoyé la transcription ( merci à elle !) et elle est en-dessous ( et là en PDF) "Leur dette, notre démocratie" : Frédéric Lordon Frédéric LORDON Leur dette, notre démocratie Conférence du 15 Janvier 2012 organisée par ATTAC et Médiapart Puisque les questions de cette table ronde sont posées carrément, j'ai pris le parti d'y répondre de même, c'est-à-dire sans circonlocutions inutiles. La démocratie représentative est morte...vive l'oligarchie autistique ? Ce sera l'un des deux en tout cas ; car la chose que par charité, nous persistons à appeler « démocratie représentative » est morte et bien morte, et ça fait un moment déjà : souvenez-vous de l’époque gratinée du Traite Constitutionnel Européen... Le tiers intrus au contrat social Le problème donc n’est pas dans ces points focaux. La question de la souveraineté

Le Blog d'Olivier Berruyer sur les crises actuelles Roosevelt 2012 - un collectif et 15 réformes pour changer la donne 1Redonner de l'oxygène à nos Étatsen PDF > diminuer très fortement les taux d'intérêt sur la vieille dette Est-il normal que les Etats payent 600 fois plus cher que les Banques privées ? Au même moment, dans de nombreux pays, les peuples subissent de plein fouet des plans d’austérité car les marchés financiers ne prêtent de l’argent à certains États qu’à des taux de 6, 7 ou 11 %. Est-il normal que, en cas de crise, les banques privées, qui se financent d’habitude à 1 % auprès des Banques centrales, puissent bénéficier de taux à 0,01 % mais que, en cas de crise, les Etats soient obligés, au contraire, de payer des taux 600 ou 800 fois plus élevés ? plus de détails 2 Dégager de nouvelles marges de manœuvre financièresen PDF > créer un impôt européen sur les bénéfices des entreprises Le taux d’impôt sur les bénéfices des entreprises n’est que de 25 % en moyenne en Europe contre 40 % aux Etats-Unis. Pourquoi l’Europe a-t-elle un taux aussi faible ? plus de détails plus de détails plus de détails

BlogAntiPub Développement de la formation : comment sortir des imprécations ? La formation est en France un sujet consensuel, tout le monde est pour et chaque grande négociation sociale (comme lors de l'accord du 11 janvier 2013) la met en avant, sans parvenir à la rendre efficace et praticable par le plus grand nombre. En septembre 2003 déjà, quand les partenaires sociaux sont parvenus à un accord pour développer la formation tout au long de la vie, ils ont imaginé un révolutionnaire droit individuel à la formation (DIF) censé refonder une formation professionnelle dont tout le monde disait (déjà) le plus grand bien (personne n’est contre la formation) mais dont chacun reconnaissait les défauts : trop complexe, trop chère, trop mal répartie entre les salariés. La situation était la suivante : vous avez certes un droit à la formation (comme un droit au travail ou à la qualification) mais sans d’argent pour le réaliser. En 2004, plusieurs commentateurs ont comparé le droit à la formation (DIF) au droit aux congés payés de 1936.

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