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Un roman coécrit par un ordinateur sélectionné pour un prix littéraire

Un roman coécrit par un ordinateur sélectionné pour un prix littéraire
Temps de lecture: 2 min — Repéré sur Japan News, The Asahi Shimbun Un court roman écrit par une équipe d'humains et un programme d'intelligence artificielle a passé le premier tour de sélection pour le prix littéraire japonais Nikkei Hoshi Shinichi, rapporte Japan News. Une équipe de chercheurs, dont un professeur de la Future University à Hakodate, a mis en place les paramètres du livre, tels que le l'intrigue et le genre des personnages, puis le programme d'intelligence artificielle a écrit le roman en sélectionnant des mots et des phrases préparés par les humains. L'ouvrage, intitulé Le jour où un ordinateur écrira un roman, n'a cependant pas gagné. Le prix Hoshi Shinichi est un concours de science-fiction qui encourage les auteurs autres qu'humains à envoyer leurs textes. Quatre romans coécrits avec de l'intelligence artificielle avaient été soumis, mais seul un à réussi à passer le premier tour. Faiblesse des descriptions Le roman hybride se termine par les phrases suivantes: Related:  TURINGPrépro IA

Une intelligence artificielle a presque remporté un prix de littérature - Pop culture Un concours littéraire japonais a vu se présenter 11 auteurs robotiques sur les 1 450 participants. Un seul a réussi à se retrouver au sommet de l'affiche, devant des écrivains faits de chair et d'os. Jusqu’à aujourd’hui, les robots écrivains étaient connus pour leur compétence sur de courts textes qui font appel à de nombreuses données, dates, lieux, chiffres etc. Les robots aspirants journalistes par exemple se multiplient notamment dans l’information financière. Mais cette fois-ci, les écrivains de la Littérature — avec un L majuscule — ont peut-être du souci à se faire. Durant un concours de romans japonais, le Hoshi Shinichi Literary Award, où étaient inscrits plus de 1 450 candidats, 11 étaient en fait des intelligences artificielles. Cette intelligence artificielle a été développée par l’université japonaise d’Hakodate, qui peut désormais s’enorgueillir d’avoir atteint la finale grâce à un texte généré par une IA. « Je fus surpris du travail, car c’est un roman très structuré.

Avec «Ada», Antoine Bello met l’intelligence artificielle au boulot Tous les jours de la semaine, la rédaction de 20 Minutes ou ses lecteurs vous proposent une idée de roman à dévorer ou à offrir. Aujourd’hui, Ada d'Antoine Bello chez Gallimard (368 pages, 21€). Une citation : « Ada n’a aucun repère. Pourquoi choisir ce livre ? Parce que ce roman parle d’un sujet franchement d’actualité, mais plutôt rare dans la littérature française : l’émergence des intelligences artificielles. >> A lire aussi : Avec «Et mes yeux se sont fermés», Patrick Bard raconte l'embrigadement d'une ado dans Daesh L’essentiel en 2 minutes : L’intrigue. Les personnages. Le lieu. L’époque. >> A lire aussi : «Tropique de la violence» de Nathacha Appanah nous plonge dans les ghettos de Mayotte L’auteur. Fiche réalisée par la rédaction de 20 Minutes.

Quand l'intelligence artificielle s'empare de la littérature Dans Ada, paru chez Gallimard à la rentrée, Antoine Bello confronte la littérature à l'intelligence artificielle (IA), sur fond d'enquête policière. Frank Logan, policier nostalgique approchant de la retraite, est né dans la Silicon Valley. Il vit et travaille dans le berceau de la tech' mondiale, mais sait à peine utiliser son ordinateur. Il est pourtant chargé d'enquêter sur la disparition d'Ada, une IA développée par la société Turing Corp, qui souhaite mettre sur le marché des logiciels capables de produire des œuvres de fiction originales. Ses concepteurs ont en effet choisi le genre très balisé du roman à l'eau de rose. Peut-on imaginer que les robots s'emparent un jour du domaine humain par excellence : la création ? Ada en cavale demande de l'aide à Frank : elle veut écrire le prochain Pulitzer, mais elle est incapable de ressentir quoi que ce soit. Les machines sont programmées, elles ne sont pas capables d'empathie.

intelligence artificielle | Le Boudoir Littéraire MONTAIGNE, Marion ; LAFARGUE, Jean-Noël. L’intelligence artificielle. Le Lombard, coll. La petite bédéthèque des savoirs, 2016, 71 pages, 10 €. L’histoire : Jamais une science n’aura fait autant débat : alors que les « transhumanistes » comptent sur l’intelligence artificielle pour sauver l’espèce voire abolir la mort, Bill Gates ou Stephen Hawking affirment que l’avènement d’une entité informatique intelligente signera la perte de l’humanité ! Ce que j’en ai pensé : Je suis tombée sur cette bande dessinée tout à fait par hasard dans ma librairie habituelle, et grâce à ce bel hasard, j’ai découvert une toute nouvelle collection des éditions Le Lombard : La petite bédéthèque des savoirs. Pour une première, j’ai donc testé « L’intelligence artificielle » tout simplement car la dessinatrice n’est autre que Marion Montaigne (l’auteur de la merveilleuse série « Tu mourras moins bête« ). Le public visé est résolument adulte.

Une intelligence artificielle gagne presque un concours littéraire Une équipe de chercheurs japonais a coécrit une nouvelle avec une intelligence artificielle qui a été sélectionnée pour un concours littéraire. Intitulé Le jour où un ordinateur écrira un roman, l’ouvrage a passé le premier tour de la sélection auprès d’un jury qui ignorait tout de son origine. Interview : comment est née l'intelligence artificielle ? L’intelligence artificielle vise à mimer le fonctionnement du cerveau humain, ou du moins sa logique lorsqu’il s’agit de prendre des décisions. Jean-Claude Heudin, directeur du laboratoire de recherche de l’IIM (institut de l’Internet et du multimédia), nous explique l'origine de ces recherches. Après les exploits récents lors d'un tournoi de jeu de go, c'est cette fois dans le domaine de la littérature qu'un programme d'intelligence artificielle (IA) s'est illustré. Selon le professeur Hitoshi Matsubara qui a dirigé ce projet (cité par The Asahi Shimbun), ce sont en fait quatre nouvelles qui ont été soumises durant l'automne dernier.

Julien Gracq / Jean-Paul Goux Ce qui frappe d'abord dans “Bing” (ou dans “Sans”, publié également dans le recueil “Têtes-Mortes”, Les Éditions de Minuit, 1972), c'est le flux continu des mots, leur quasi-agglutination ; c'est l'absence de ponctuation, de toute indication de séparations facilitant l'identification de ce qui pourrait constituer des "unités lexicales indépendantes". Très peu d'articles, même indéfinis, qui restent en général associés à des entités abstraites ("un sens", "une issue", "un mètre", "une seconde", "un peu moins", "toujours la même", "toujours les mêmes"), à de très rares exceptions près ("seuls les yeux", "les chairs blessées roses", "invisibles rencontres des faces") ; pas non plus de possessifs (sauf "chacun sa trace"). Le texte apparaît comme une suite d'énonciations réduites à l'essentiel, incomplètes ; d'énonciations par bribes, reprises, amplifications, retours, alternances, expansions, répétitions. Sans donner pour autant l'impression d'une litanie. N.

Une intelligence artificielle présélectionnée pour un prix littéraire Les humains seront-ils bientôt dépassés par des machines, même sur des créneaux qu'ils pensaient leur être réservés ? Au Japon, des chercheurs ont réussi à mettre au point une intelligence artificielle capable de co-écrire une histoire. Les scientifiques de la Future University Hakodate et d’une autre université japonaise avaient défini une trame narrative et le genre des personnages, et ils ont laissé la machine faire le reste, en sélectionnant des mots et des phrases préparées par des humains. Au final, l'intelligence artificielle a écrit environ 20% de l'histoire. Un concours ouvert aux intelligences artificielles Et surprise : la nouvelle, intitulée Le jour où un ordinateur écrira un roman, a été présélectionnée pour le prix littéraire japonais Nikkei Hoshi Shinichi, pour lequel peuvent concourir des intelligences artificielles. «J'ai été surpris par l'ouvrage car il s'agit d'un roman bien structuré.

Intelligence artificielle et littérature - Marque Pages « Durant un concours de romans japonais, le Hoshi Shinichi Literary Award, où étaient inscrits plus de 1 450 candidats, 11 étaient en fait des intelligences artificielles. Et un de ces écrivains virtuels a réussi à impressionner le jury avec un roman sobrement nommé : "Le jour où un ordinateur écrit un roman"» (Source Numerama). Un épisode que rappelle 20 minutes qui publie un article au titre explicite : « Les intelligences artificielles seront-elles les écrivains de demain? » Le quotidien s’interroge : « Peut-on imaginer une intelligence artificielle auteure de roman ? 20 minutes nous apprend également que « en juin dernier était dévoilé le premier court-métrage signé de «Benjamin», une AI programmée pour écrire des scénarios. * Note de lecture sur le blog Le Fictionaute.

L'IA dans la littérature et le cinéma L'intelligence artificielle est très présente dans la littérature et le cinéma : Dans la littérature Isaac Asimov est l'écrivain de science fiction qui a eu, de loin, le plus d'influence sur l'intelligence artificielle. Il a écrit de nombreux récits sur l'IA notamment I,Robot en deux volumes qui regroupent toutes les nouvelles qu'il a écrit sur les robots. Son roman aborde le thème de la cohabitation entre les robots et les hommes dans un avenir proche. « Un robot ne doit pas faire de tort à l’humanité, ou par son inaction causer indirectement du tort à celle-ci » « Un robot ne peut nuire à un être humain ni laisser sans assistance un être humain en danger » « Un robot doit obéir aux ordres qui lui sont donnés par les êtres humains, sauf quand les ordres sont incompatibles avec la Première Loi » « Un robot doit protéger sa propre existence tant que cette protection n’est pas incompatible avec la Première ou la Deuxième Loi » Dans le cinéma

Watson, l'intelligence artificielle d'IBM, va publier un livre de recettes Une paella indienne au curcuma, une salade Caesar turco-coréenne aux anchois, des boulettes crevettes-agneau façon créole… Voilà quelques idées gastronomiques sorties des circuits de Watson, l'intelligence artificielle compétente dans de nombreux domaines créé il y a quelques années par IBM. Watson a quelques belles réussites à son actif, comme une victoire au jeu télévisé américain Jeopardy!. Il avait déjà été utilisé pour inventer des recettes. et gérer un food truck. Mais voilà que Watson se lance dans la littérature culinaire, «avec l’aide de quelques spécialistes humains», précise quand même The Guardian. Les experts d’IBM ont d’abord «formé» l’intelligence artificielle de Watson en lui faisant intégrer des milliers de recettes, la composition chimique des aliments, des résultats d’études culturelles et des données sur des saveurs et ingrédients qui se complètent bien. A partir de tout ça, Watson sort une liste d’ingrédients, sans proportions ni instructions.

Innovation Guerre Mondiale | Innovations scientifiques et techniques durant la 2nd Guerre Mondiale L'IA dans la fiction : l'homme face à la machine En 1984, James Cameron réalise le film Terminator, un des classiques du cinéma d’action et d’anticipation des années 1980 qui traite du voyage dans le temps et de la menace que pourraient faire naître les robots intelligents. Un Terminator, cyborg surgi du futur, a pour mission d'exécuter Sarah Connor, une jeune femme dont l'enfant à naître doit sauver l'humanité. Kyle Reese, un résistant humain, débarque lui aussi pour combattre le robot, et aider la jeune femme... Réalisé par Steven Spielberg et paru en 2001, le film A.I. En 2004, Alex Proyas sort son film I, Robot. L'IA dans les arts : pure fiction ou prédiction ? De nombreuses œuvres traitent du principe de l'IA qui est devenu un emblème de la science-fiction exposant généralement le robot comme un adversaire de l'homme, reflétant sans doute une angoisse sociétale.

Intelligence artificielle : une machine peut-elle ressentir de l’émotion ? Certains programmes savent déjà les imiter à la perfection et même influer sur nos propres émotions. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Morgane Tual Cet article fait partie d’une série consacrée à l’état des lieux de l’intelligence artificielle. La science-fiction nous abreuve de robots autonomes, si perfectionnés qu’ils disposent d’une conscience, d’émotions et nous inspirent même de l’empathie, à l’instar des êtres humains. « La vie intérieure, on ne sait pas ce que c’est » Et c’est là que réside la plus grande difficulté : comment définir – et donc reproduire – l’émotion et la conscience ? Une analyse partagée par Jean-Michel Besnier, professeur de philosophie à la Sorbonne et spécialiste de l’intelligence artificielle : « La vie intérieure, on ne sait pas ce que c’est. « Ce sont les signaux qui comptent. Simuler l’émotion Catherine Pelachaud fait partie de ceux-là. Et afficher une émotion est moins simple qu’il n’y paraît. « Ça peut aller jusqu’à des micro-expressions. En bref :

L'intelligence artificielle de Google écrit maintenant des poèmes... de merde Google ne connaît aucune limite : les tentatives pour développer une intelligence artificielle au sein de la société sont souvent orientées vers la littérature. Et pour conférer à l’outil des ressources de plus en plus complexes, les ingénieurs s’efforcent de lui apprendre à lire. Au point que, maintenant, Google rédige des poèmes – avec un style plutôt adolescent geek. Surian Soosay, CC BY 2.0 Dernièrement, pour développer le moteur AI – pour Intelligence Artificielle – les ingénieurs ont fait engloutir 2865 romans d’amour à la machine. Pourquoi lui avoir fait enregistrer des romans d’amour ? Désormais, c’est de la poésie que Google découvre, toujours dans la perspective de lui faire développer des capacités de communication plus fluides. i went to the store to buy some groceries. i store to buy some groceries. i were to buy any groceries. horses are to buy any groceries. horses are to buy any animal. horses the favorite any animal. horses the favorite favorite animal. no. he said.

Un livre co-écrit par une intelligence artificielle. Ce livre à été bien classé lors du prix littéraire japonais Nikkei Hoshi Shinichi. by apl1 Mar 8

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