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Bitcoin: de la révolution monétaire au Ponzi 2.0

Bitcoin: de la révolution monétaire au Ponzi 2.0
Derrière l'idée révolutionnaire, libertarienne et anti-banques Bitcoin ne fait que reproduire un système injuste. Toucher aux règles monétaires n’a rien d’anecdotique. Lorsque nous dépensons, que nous travaillons, tous les jours, ce que nous faisons a un rapport avec la monnaie, sans même que nous y pensions. Que se passe-t-il alors lorsque des geeks créent une monnaie universelle, décentralisée, sécurisée, anonyme ? Lorsque ceux-ci peuvent faire du commerce en dehors de toute forme de contrôle, qu’il soit bancaire, étatique, ou fiscal ? En apparence, une révolution. Qu’est-ce que bitcoin ? Bitcoin est une monnaie virtuelle créée en 2009 par Satoshi Nakamoto, un personnage mystérieux dont personne ne connait la véritable identité. Bitcoin est donc deux choses à la fois : il s’agit tout d’abord d’un outil très basique de gestion de portefeuille, un logiciel open-source que tout le monde peut télécharger et lancer depuis son ordinateur. Comment ça marche ? Y-a-t-il une « bulle bitcoin » ?

ecash In the United States, only one bank implemented ecash, the Mark Twain bank and the system was dissolved in 1997 after the bank was purchased by Mercantile Bank, a large issuer of credit cards.[2] Similar to credit cards, the system was free to purchasers, while merchants paid a transaction fee. In Australia ecash was implemented by St.George Bank, but the transactions were not free to purchasers. In June 1998, ecash became available through Credit Suisse in Switzerland. It was also available from Deutsche Bank in Germany, Bank Austria, Finland's Merita Bank/EUnet,[3][4] Sweden's Posten, and Den norske Bank of Norway.[citation needed] "ecash" was a trademark of DigiCash, which went bankrupt in 1998, and was sold to eCash Technologies, which was acquired by InfoSpace in 2002,[citation needed] currently know as Blucora. Plaintiff sued alleging trademark infringement and unfair-competition claims. See also[edit] References[edit] Jump up ^ Chaum, D., Fiat, A., and Naor, M. 1990. Literature[edit]

Indignados : vous êtes tous des arabes ! Vous écrivez pour ne rien dire ; à quoi bon alors écrire ? Si demain l’individu à peur, qu’il est touché dans sa chair, dans son portefeuille et qu’il souffre de la vie et en plus qu’il soit trahi par ses élites et ses politiques.... alors là .....tout est envisageable, le meilleur... comme le pire.Surtout le pire. Les gens sont déjà terrifiés, c’est visible comme un feu rouge. Essayez de dire bonjour à un passant, vous allez le faire fuir. Ou bien, il vous ignorera et fera semblant d’être pressé ou malentendant. Regardez les gens dans le métro : ils se conduisent comme si ils étaient en danger de mort - ce qui n’est même plus vraiment sujet à caution. Le monde, les gens depuis toujours sont compulsivement individualistes, ne s’unifiant que pour des intérêts réciproques. Encore une connerie. Pour l’instant le « bon peuple » est anesthésié. Vous pouvez parfois dire des choses sensées. Mais tout cela est déjà en train de se passer, cher ami. Chaque jour, un peu plus.

“Il n’y a pas besoin d’être un banquier pour créer de l’argent” Étienne Hayem (aka @zoupic) blogue sur le sujet des monnaies alternatives depuis plusieurs années déjà. Il nous livre son point de vue sur la dernière lubie des geeks, Bitcoin. Bitcoin est une monnaie virtuelle créée en 2009 par Satoshi Nakamoto, un personnage mystérieux dont personne ne connait la véritable identité. Que t’inspire Bitcoin ? Bitcoin est avant tout une initiative qui fait réfléchir. D’où sort Bitcoin ? C’est apparu en 2009, à l’initiative de Satushi Nakamoto, ce pseudo japonais [personne ne connaît sa véritable identité, ndlr]. Rien n’empêche de penser que l’on puisse créer une monnaie sur Internet dans le cadre d’une communauté, par exemple avec tous les utilisateurs des auberges de jeunesse. Alors qu’avec Bitcoin, la masse monétaire est complètement déconnectée avec un processus purement algorithmique, sur le modèle de Google. Donc beaucoup de gens y pensaient ? Oui, mais c’est une vision qui est, pour moi, assez étriquée de la monnaie. Oui c’est ça ! Charles Ponzi Photo

RippleWiki Solomon Asch Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Asch. Solomon Asch Principaux travaux Psychologie sociale (Conformisme, Influence Sociale) Solomon E. Biographie[modifier | modifier le code] Né en 1907 à Varsovie, il émigre vers les États-Unis d'Amérique en 1920. En 1928, il obtient son baccalauréat à l'Université de New-York. Solomon Asch est aussi connu pour avoir été le professeur du célèbre étudiant Stanley Milgram. Contributions[modifier | modifier le code] Psychologue social progressiste allemand émigré aux États-Unis, fait partie du courant gestaltiste. Contribution importante[modifier | modifier le code] L'expérience de Asch sur le conformisme. Bibliographie[modifier | modifier le code] Solomon Asch, Social psychology, 1952.The legacy of Solomon Asch. Voir aussi[modifier | modifier le code] Lien externe[modifier | modifier le code] (en) The Solomon Asch Center for Study of Ethnopolitical Conflict

Crowd funding Crowdfunding is the practice of funding a project or venture by raising monetary contributions from a large number of people, typically via the internet.[1] One early-stage equity expert described it as “the practice of raising funds from two or more people over the internet towards a common Service, Project, Product, Investment, Cause, and Experience, or SPPICE.”[2] The crowdfunding model is fueled by three types of actors: the project initiator who proposes the idea and/or project to be funded; individuals or groups who support the idea; and a moderating organization (the "platform") that brings the parties together to launch the idea.[3] In 2013, the crowdfunding industry grew to be over $5.1 billion worldwide.[4] History[edit] Types[edit] The Crowdfunding Centre's May 2014 report identified the existence of two primary types of crowdfunding: Rewards-based[edit] Equity[edit] Debt-based[edit] Litigation[edit] Charity[edit] Role of the crowd[edit] Crowdfunding platforms[edit] Origins[edit] Press

La COFIDES - Coopérative Financière pour le Développement de l’Economie Solidaire Nord Sud | COFIDES Nord Sud Expérience de Milgram Graphique montrant que 65 % des sujets de l'expérience infligent des souffrances maximales si on le leur ordonne Reconstitution de l'expérience de Milgram (extrait)[1]. L’expérimentateur (E) amène le sujet (S) à infliger des chocs électriques à un autre participant, l’apprenant (A), qui est en fait un acteur. La majorité des participants continuent à infliger les prétendus chocs jusqu'au maximum prévu (450 V) en dépit des plaintes de l'acteur. L’expérience de Milgram est une expérience de psychologie publiée en 1963 par le psychologue américain Stanley Milgram[2]. L'expérience a suscité de nombreux commentaires dans l’opinion publique, ainsi que dans le milieu de la psychologie et de la philosophie des sciences, et a inspiré de nombreuses œuvres de fiction ou de télévision. Déroulement de l'expérience[modifier | modifier le code] Fac-similé de l'annonce publiée en 1961 par l'équipe de S. L'expérimentateur et l'élève sont en réalité deux comédiens. Contexte[modifier | modifier le code]

Le dur parcours de l’assassin de créateurs Philippe Aigrain a poussé jusqu'au bout la logique de cette phrase du chargé des questions Internet à l'UMP : « Prendre une œuvre créée par quelqu’un qui vit de sa création, gratuitement alors qu’elle est payante, c’est tuer le créateur. » Absurde. Lors d’un récent débat sur Public Sénat (à partir de 15′), où Félix Tréguer de La Quadrature du Net tentait de finir une phrase pour défendre le partage des œuvres culturelles numériques, Thierry Solère, chargé des questions Internet à l’UMP l’interrompit avec cette phrase : Prendre une œuvre créée par quelqu’un qui vit de sa création, gratuitement alors qu’elle est payante, c’est tuer le créateur. Tout énoncé qui vise à clore un débat par l’affirmation d’une évidence supposée mérite au contraire qu’on s’y arrête. Il va falloir ici considérer presque chaque mot. « Prendre » d’abord : l’étymologie du mot renvoie à prehendere (faire préhension, chasser). Considérons des situations analogues. Les bibliothèques : du crime en bande organisée Paul J.

La Nef pour une economie plus humaine Allocation universelle Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le revenu de base est un revenu versé par une communauté politique à tous ses membres, sur une base individuelle, sans conditions de ressources ni obligation de travail, selon la définition du Basic Income Earth Network (BIEN)[1]. Il reconnaît la participation de l'individu pour la société, indépendamment de la mesure de l'emploi. Cette proposition est aussi appelée : « revenu universel »[2], « revenu inconditionnel »[2], « revenu inconditionnel suffisant »[3], « revenu d'existence »[4], « revenu minimum d'existence »[5] « revenu social »[6], « revenu social garanti »[4], « allocation universelle »[4], « revenu de vie »[7], « revenu de citoyenneté »[8], « revenu citoyen »[9],[10], « dotation inconditionnelle d'autonomie »[11] ou « dividende universel »[4]. Le revenu de base a été expérimenté notamment au Canada, en Inde ou en Namibie. Montant[modifier | modifier le code] Financement[modifier | modifier le code]

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