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Les 4 parties du dossier

Les 4 parties du dossier
Les clients ne veulent plus uniquement acheter un produit. En magasin, ils attendent une expérience pédagogique, ludique ou encore émotionnelle, qui les motive à se déplacer. Et dans l’utilisation au quotidien, ils recherchent avant tout une solution qui s’adapte à leur besoin. > Retour au sommaire navigation contenu Les nouvelles offres qui transforment le produit en service pour le client Les marques multiplient les initiatives pour offrir à leurs clients non plus de simples produits mais un service global correspondant à un usage. Catherine Barba : « Sans expérience à vivre, les clients iront de moins en moins en magasin » Pionnière du digital en France, experte du retail et auteur entre autres de l’ouvrage « Le magasin n’est pas mort ! La personnalisation, des expériences uniques pour le client… et pour les magasins Mini annonce 4 millions de versions possibles de sa dernière voiture, selon les options de customisation. Related:  Comportement d'achatL'expérience de consommation

Marketing musical : le contrôle du consommateur par le son Allegro, battements par minute, tonalités majeures, mineures et crescendo sont des concepts étrangers à la majorité des consommateurs. Pourtant, leur utilisation en tant qu’outil d’amorçage cognitif sur certains lieux de vente influence directement leur comportement d’achat, sans qu’ils en prennent conscience, avec des processus sonores étudiés au décibel près par des professionnels. 50 à 75% des décisions d’achat se font en magasin et le marketing musical a un rôle clé à jouer dans ces décisions. Style, tempo & volume : l’art de la croche Le choix du style de musique est la première étape à prendre en compte pour influencer les consommateurs sur lieu de vente. Prenez un morceau de disco standard 120 bpm*, accélérez-le à 135 bpm et vous obtiendrez les ingrédients de base de la House music. Dans la restauration par exemple, la chaîne Hippopotamus utilise des musiques à tempo élevé afin d’accélérer la vitesse de mastication des clients et augmenter les volumes consommés. Sources (c) ill.

La fin des files d’attente… ou presque Chez Apple, « le temps des longues files d’attente est révolu » Le 24 avril dernier, l’arrivée des Apple Watch dans les magasins de la marque s’est faite sans les interminables files d’attente, qui étaient devenues emblématiques des lancements de produits Apple. Cette montre est pourtant un succès : les ventes ont dépassé, et de loin, toutes les prévisions. Mais tout s’est joué en ligne, les clients ne pouvant acheter l’Apple Watch en magasin. Dans un mémo interne, Angela Ahrendts, la nouvelle responsable du retail chez Apple (ci-dessus en photo), avait donné le ton : « Le temps des longues files d’attente devant l’Apple Store, en croisant les doigts pour que le produit soit toujours disponible, est révolu pour nos clients. « C’est là un changement de mentalité significatif », ajoute Angela Ahrendts. Plus d’infos : Business Insider Apple bis : un algorithme priorise les problèmes pour gérer la queue au SAV 9 to 5 Mac 25 % des achats sur Darty.com se font désormais en Click & Collect Le Monde

Comportement client : portrait satirique ! Le comportement client a largement évolué ces dernières années. Laissez-nous vous présenter ce portrait certes un peu caricatural et satirique mais, nous le croyons, assez réaliste de votre client en 2015 ! Ce qu’Internet a modifié dans le comportement de votre client Comportement client : « tais-toi vendeur, tu n’y connais rien… » Aujourd’hui, l’expert, ce n’est plus vous, c’est lui ! Connecté et mobile, le client 2015 a tous les moyens à sa disposition pour s’informer et ne s’en prive pas (selon un sondage IFOP, 95% des consommateurs se renseignent sur les produits avant l’achat). C’est donc en homme avisé (qui rappelons-le en vaut deux) qu’il se rend dans votre point de vente. Comportement client : « quand radin rime avec chauvin et citoyen ! Crise oblige, le consommateur 2015 est volontiers économe. Mais s’il veut consommer pas cher, il attend de vous que vous lui permettiez d’être un consommateur responsable et solidaire. Des outils pour mesurer le comportement de votre client

déclinaisons de l'expérience client : l'exemple de Starbucks Trivial. Simple. Voilà comment l’on pourrait décrire le parcours client. Nous savons que la simplicité est la raison première pour le choix d’un canal pour 88% des clients. Et pourtant, sa création et la proposition d’une expérience client unique relèvent d’un véritable challenge pour les entreprises. les nombreuses déclinaisons de l’expérience client Définir l’expérience à proposer sur chacune des étapes identifiées du parcours client est un travail où créativité fusionne avec rationalité. L'expérience éducatrice : le client apprend pendant l’expérience L’expérience divertissante : le client est distrait pendant l’expérience L’expérience esthétique : le client est émerveillé L’expérience d’évasion : le client vit l’expérience Ces quatre expériences reposent sur le degré de participation du client et son état de réception vis-à-vis de l’expérience vécue. l’exemple de Starbucks Concrètement, comment cela se traduit-il ? expérience esthétique expériences éducatrice et divertissante

Infographie : les nouveaux comportements des cyberacheteurs français La Fevad et Médiamétrie//NetRatings viennent de publier les résultats de l’Observatoire du Consommateur Connecté 2015. Des données présentées sous forme d’infographie à retrouver ci-dessous. L’étude montre que le nombre de cyberacheteurs continue de croître : près de 35 millions de consommateurs (78 % des internautes français) achètent désormais en ligne. 70 % des internautes achètent ou vendent entre particuliers Parmi les nouveaux comportements, l’étude confirme la montée en puissance de la consommation collaborative : 70 % des internautes ont déjà acheté, ou vendu, des produits entre particuliers. Du magasin au web et inversement Autre enseignement : 68 % des acheteurs en magasin se sont auparavant renseignés sur internet. 53 % le font même directement depuis le point de vente en faisant des recherches avec leur smartphone. Plus d’infos : Médiamétrie Pour rester informé :

Comment le story telling améliore votre webmarketing Aujourd’hui, je souhaite vous raconter une histoire ! Celle du story telling. Installez-vous bien confortablement, on va commencer. Il était une fois, il y a très, très longtemps, dans un pays lointain nommé Etats-Unis, une technique qui permettait aux entreprises de vendre beaucoup de leurs admirables produits… Les habitants du royaume France ne connaissait pas cette technique, et ils l’ont découverte de nombreuses années plus tard avec beaucoup de joie. Vous voulez savoir pourquoi ? Qu’est-ce que le story telling ? Vous l’avez peut-être compris en lisant mon introduction : le story telling est l’art de raconter des histoires. Beaucoup d’entreprises utilisent le story telling dans leur communication, que ce soit sous la forme de films, de bandes-dessinées, de jeux vidéos, ou tout simplement d’écrits… L’idée est de créer un univers autour de votre entreprise, puis d’ancrer votre communication dans cet univers en racontant des histoires qui s’y intègrent. Votre présentation d’entreprise

De plus en plus de Français prêts à consommer responsable - La Croix C’est plutôt une bonne nouvelle. La société GreenFlex, dont le but est d’accompagner les entreprises dans leur transformation environnementale et sociale, réalise de manière périodique une étude sur la « typologie » des Français, en tant que consommateurs face à ces enjeux. L’enquête de 2016 montre que « la part des Français concernés par les enjeux du développement durable et de la consommation responsable a fortement augmenté », souligne Élizabeth Pastore-Reiss, directrice générale déléguée de GreenFlex. Ces consommateurs sensibilisés représentent plus de 60 % des personnes interrogées (1), contre 45 % l’an dernier. « On voit que la Cop 21 a vraiment eu un impact sur les consommateurs », estime Élizabeth Pastore-Reiss selon laquelle les Français ont compris qu’une des meilleures façons de lutter contre le réchauffement climatique était de changer les modes de consommation. Huit catégories D’abord, les plus récalcitrants à changer, ceux que l’étude baptise « Les changez-rien ».

[Tribune] La boutique n'est pas morte mais doit être connectée Si la vente en ligne n'a représenté que 5,5% du commerce de détail français en 2013, les consommateurs sont résolument connectés : 91% d'entre eux se renseignent sur Internet avant d'effectuer un achat selon une étude Ifop. Le e-commerce ne va pas tuer la vente physique mais va la transformer en profondeur. La tendance est au "phygital" : l'utilisation complémentaire d'une stratégie digitale et des atouts d'un point de vente classique. Introduire le digital dans le magasin Les exemples de digitalisation des points de vente sont nombreux. Pour un shopping plus fun De nombreux dispositifs ludiques ont vu le jour et jouent sur cette convergence des techniques de vente digitales et physiques. Le beacon : un nouveau venu très prometteur La nouvelle étape de ce processus se présente sous la forme d'un outil particulièrement puissant : les beacons. D'abord développés par Apple et installés dans les Apple stores, les beacons connaissent aujourd'hui une forte croissance. Mathilde Roussel

Infographie : comment l'internaute réagit-il sur un site e-commerce Economie Entreprises Digital Manager Immobilier Création d'entreprise Argent et Patrimoine Art de vivre Produits et services Régions Tous les articles Nous contacter Accueil > Infographie : comment l'internaute réagit-il sur un site e-commerce ? Infographie : comment l'internaute réagit-il sur un site e-commerce ? Entreprendre.fr Publié le 07 sep 2015 Quelles sont les statistiques et les habitudes qui se cachent derrière les clics des internautes sur les sites de e-commerce ? Source : En ce moment Crowdfunding : Lymo.fr lève 500 000 euros La Bourse des PME Alternativa finance 10 PME Melty, la start-up française qui affole le Net Les TPE - PME et le digital : état des lieux en 2015 A lire aussi Dossier spécial : le Qatar veut-il racheter la France ? Start-up : Pierre Kosciusko-Morizet mise gros sur BlaBlaCar, Novapost et ChicTypes Marseille : l'incubateur Belle de Mai a créé 420 emplois Entreprendre Catégories Informations

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