Créateur d'entreprise : comment trouver un bon nom de marque Ca y est, vous êtes plongé dans l'univers de l'entreprenariat. Votre business plan est en cours, vous êtes presque prêt à partir à l'assaut des investisseurs et des clients. Là tombe la question à laquelle vous n'aviez pas encore pensé... au fait, je l'appelle comment ma marque ? Nom de société et nom de marque : quelle différence ? Si la différence entre les deux notions peut sembler évidente pour certains, elle prête néanmoins souvent à confusion. Pourquoi ? - Le nom de la société fait le plus souvent référence à la dénomination sociale, aussi appelée raison sociale de l'entreprise. - Le nom de la marque fait référence à un signe distinctif et identitaire d'une ou plusieurs activités de l'entreprise : marque de fabrique, de service ou de commerce, ou parfois nom de la société. Y a-t-il des bons et des mauvais noms de marque ? Certains noms de marque sont parfois décidés autour d'un dîner entre amis, certes. Le conseil MB&Scott
Interview croisée de Paul Wauters et Delphine Bommelaer Interview croisée de Paul Wauters, directeur de la création de Babel et Delphine Bommelaer, directrice de création design et contenus de Babel. Comment résumeriez-vous le travail réalisé pour le groupe ADP ? Paul Wauters : c’est un cas d’école, un de ceux qu’on n’a pas souvent l’occasion de traiter dans une carrière tant il est global. Quelles réflexions, quels univers ont influencé la création ? Paul Wauters : L’idée était de faire de Paris Aéroport un petit bout de Paris, aux yeux des voyageurs, de leur donner un avant-goût de la capitale, y compris pour ceux qui sont en transit, sans pour autant tomber dans le cliché. Delphine Bommelaer : Nous avons eu dès le départ la conviction qu’il fallait, d’une part travailler sur un symbole fort - la tour Eiffel – et d’autre part, traduire l’idée de “marque lumière” rayonnante, tant sur le plan physique qu’en termes d’influence et d’aura. Paul Wauters : La création ne s’est pas limitée à la dimension graphique de la marque.
Consommation : l'emballage, un choix stratégique pour déclencher l'achat En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous permettre de partager du contenu via les boutons de partage de réseaux sociaux,pour vous proposer des publicités ciblées adaptées à vos centres d'intérêts et pour nous permettre de mesurer l'audience. Pour en savoir plus et paramétrer les cookies Francetv.fr plus NewslettersConfidentialité Consommation : l'emballage, un choix stratégique pour déclencher l'achat Forme, graphisme, couleur, les marques jouent sur le conditionnement pour attirer les acheteurs. Francetv info Mis à jour le , publié le Souvent pratique et parfois ludique, le packaging est désormais une arme fatale pour déclencher un achat. Une experte analyse tout "Un bon packaging ça peut vous apporter énormément d'avantages, en terme d'image et évidemment en terme de parts de marchés et donc de volume et d'argent", avoue Maria Di Giovanni, directrice de Sorgem. 23 milliards de chiffre d'affaires Le JT Les autres sujets du JT
L’e-commerçant Sézane présente son offre... Ce qu’il faut retenir : • Sézane reste fidèle à son concept initial : le showroom permet aux clientes d’essayer les pièces qu’elles peuvent ensuite commander en ligne. L'Appartement permet d'améliorer l'expérience des clientes. Sézane fait souffler un vent de "Dolce Vita" sur la capitale. L’Appartement fait évoluer son offre En plus des produits de partenaires, les clientes pourront acheter directement en boutique quelques pièces « best-sellers » de Sézane, comme les jeans qui sont des essentiels, le parfum, la maroquinerie, et quelques produits signatures de ce printemps été 2016. Un thème par saison Entre citronniers et pièces iconiques, Sézane propose une expérience unique à ses clientes, puisqu’il s’agit de la seule boutique que possède la marque. Charlène Lermite
Infographie : Les grandes tendances des logos en 2016 Les designs épurés des logos créés en 2015 persisteront-ils cette année ? Réponse en image avec Creads. En 2015, le minimalisme était de mise. Qu'il s'agisse des couleurs, du style ou de la typographie, les designs sobres et épurés laissaient place à l'essentiel, pour répondre aux enjeux de la visibilité sur Internet. Le flat design s'est d'ailleurs à nouveau imposé comme une tendance majeure, puisque 78% des logos ont été réalisés sous cette forme. Et en 2016 ?
Les meilleurs poissons d’avril 2016 des... Sur les réseaux sociaux, sur leur site, ou même en magasin, les marques et enseignes ont décidé de sortir le grand jeu pour le 1er avril 2016. Les marques ont dévoilé leurs meilleures innovations produit du moment, Innocent propose un jus de fruit goût camembert, et LDLC veut faire pousser des PC. H&M a annoncé un partenariat avec Mark Zuckerberg, le fondateur de Facebook, pour un look de rêve grâce à ses fameux jeans difformes et tee-shirt gris. Tandis que Google lance un casque de réalité virtuelle en plastique… qui permet de voir la réalité ! Mais la palme revient à l’e-commerçant GrosBill qui relève les défis lancés par les internautes toute la journée sur les réseaux sociaux. Les meilleures innovations produit Cochonou pense à vos dents, avec un dentifrice unique Google crée un casque de réalité virtuelle pour voir la réalité Innocent se lance dans le jus salé Bio c Bon compte faire avaler du compost à ses clients LDLC fait pousser des PC Burger King lance la frite unique
Les trois tendances qui marqueront le retail de demain Premièrement, les clients veulent des expériences d’achat personnalisé à tous les points de contact avec un commerce. L’acte d’achat, que ce soit dans un magasin physique ou à travers des canaux digitaux, ce n’est pas seulement une acquisition fonctionnelle mais aussi quelque chose que l’on souhaite; les clients recherchent une expérience qui les divertit, les surprennent et les excitent. Les gens sont devenus de plus en plus habitués à des algorithmes d’apprentissage sur leurs préférences et les comportements afin de servir à faire des recommandations individualisées. Maintenant les consommateurs commencent à exiger la même expérience personnalisée quand ils achètent dans des magasins physiques. Deuxièmement, il y a une demande croissante pour des expériences sociales d’achats. Un des éléments les plus importants de cette tendance que les entreprises devraient considérer est le passage du comportement du consommateur d’ « achat immédiat » à « attendre, réfléchir et consulter ».
"La digitalisation, c’est le retour du... Quels sont les projets de Samsung sur le secteur du retail et de la digitalisation des points de vente ? Maxime Guirauton : Nous prenons les projets par plein de côtés différents, mais Il y a un vrai mouvement ! Il y a eu beaucoup de travail en interne pour d’expliquer que le magasin n’est pas mort. Et ce qui est intéressant, c’est que de plus en plus de distributeurs ont compris l’intérêt de créer une roadmap. Nous essayons de les accompagner en écrivant avec eux les points de passage obligés. Toute cette digitalisation, c’est le retour du magasin au premier plan. Par quoi passe cette digitalisation des points de vente ? "L'un des nouveaux axes de la digitalisation des points de vente, c'est la réalité virtuelle." En quoi la réalité virtuelle peut-elle révolutionner le secteur de la distribution ? En quoi la VR peut-elle être utile à la formation des vendeurs ? Quelles sont justement les nouvelles solutions de Samsung ? "Le beacon, le smartphone, les écrans : cela ne fait qu’un".
Infographie : quel est le nom de vos marques préférées à l’étranger ? Par Mégane G. il y a 2 mois Vous prendrez bien un bol de Cocoa Krispies au petit déjeuner ? C’est une expérience que nombre de voyageurs et d’expatriés connaissent : n’espérez pas trouver votre déodorant Axe dans les supermarchés britanniques. Du moins pas sous ce nom. Comme de nombreuses autres entreprises, Axe adapte son nom en fonction du pays où elle est implantée, pour devenir Lynx. Nombreuses sont les marques à être devenues polyglottes pour être comprises ou acceptées.
Carrefour et Arena Media récompensés pour la... Les 8e Internationalist Awards for Innovation in Media, qui récompensent les campagnes media les plus innovantes, ont récompensé le 11 avril 2016 du prix Argent la campagne TEX et sa cabine d’essayage virtuelle en ligne imaginée par Carrefour et l'agence Arena Media (Havas Media Group). Il s’agit de la 3e récompense consécutive de cette collaboration, après l’Or pour la course aux cadeaux du 50e anniversaire en 2014 et pour la cabine virtuelle en 2015. A noter que Arena Media est non seulement la seule agence française primée, mais Carrefour est le seul annonceur français présent au palmarès. Sont également récompensés McDonald’s, Pepsi, Oreo, Mattel, GE, Macy's, KFC, Mastercard ou encore Visa. A l’occasion du lancement de sa nouvelle collection TEX de la rentrée 2015, Carrefour est devenue la première enseigne de grande distribution à proposer l’essayage virtuel en ligne grâce à une technologie développée par la start-up Fitle. Le palmarès complet
Un mois une marque : LuMARKETING PGC Difficile d’y échapper. Lu fête cette année ses 170 ans. Rien que cela. 86 % de foyers consommateurs Tout un symbole ! Qui aurai pu imaginer que cette marque née à Nantes et qui a vu le jour en 1846 pèserait un jour 800 M€ ? C’est en passant aux mains de BSN (ex-Danone), en 1986, que la marque élargit fortement son portefeuille de produits et de marques. Le groupe industriel cède ensuite ses activités de biscuiterie à l’américain Kraft Foods, en 2007, renommé Mondelez en 2012. Aujourd’hui la marque mère englobe un portefeuille d’une quarantaine de marques filles que le groupe scinde en trois pôles : Coeur de LU : Véritable petit beurre, Napolitaine, Pim’s, Ourson, Pépito, Paille d’Or, etc.Marques autonomes : Prince, Belvita, Mikado, Granola, etc.Marques patrimoines : Thé, Sablés des Landes, etc. La marque préférée des Français Avec plus de 300 références, Lu couvre cinq segments et s’inscrit en leader sur la plupart. En quelle année a été inventé le Véritable Petit Beurre LU ?
Après les food trucks, les fashion trucks ? Vendre des vêtements dans des camions ambulants : cette forme de commerce connue sous le nom de « fashion trucks » a le vent en poupe aux Etats-Unis. Elle reprend le même principe que les food trucks qui proposent une restauration rapide à partir de camions aménagés. « En 2010, il y avait cinq de ces boutiques dans tout le pays », explique à l’AFP Jeanine Romo, vice-présidente de la American Mobile Retail Association qui fédère les fashion trucks. Elle estime aujourd’hui leur nombre entre 300 et 400. Ce sont surtout des femmes qui se lancent dans l’ouverture de fashion trucks, attirées notamment par le faible investissement par rapport à une boutique traditionnelle : un camion-boutique reviendrait en moyenne à 20 000 dollars. Propriétaire de 4 fashion trucks, Shelley Sarmiento livre les secrets de la réussite : pas de dette, un investissement de départ le plus bas possible, des petits prix, et un tel choix « que personne ne résiste à acheter quelque chose ». Pour en savoir plus :