10 rappeuses qui se battent pour les droits des femmes
A travers le monde, ces rappeuses se battent pour les droits des femmes. Le site Madame Rap les a répertoriées. Le rap serait la musique la plus misogyne qui existe. C’est ce que les médias traditionnels et la société nous répètent depuis des décennies. Pourtant, quand on s’y intéresse de près, on découvre que la scène hip hop internationale regorge de rappeuses qui luttent pour les droits des femmes. Petit tour d’horizon. Krudas Cubensi (Cuba/USA) C’est par leur action sociale que les “artivistes” de Krudas Cubensi se sont lancées dans le hip hop. Justina (Iran) Comment rapper dans un pays qui l’interdit et envoie les artistes en prison? Blimes Brixton (Los Angeles) Initialement connue sous le nom de Oh Blimey, la rappeuse californienne Blimes Brixton évolue sur la nouvelle scène queer de Los Angeles. Dee MC (Inde) Depuis Bombay, Dee MC tente d’éveiller le monde à la condition des femmes dans son pays. GOTAL (Sénégal) Rebeca Lane (Guatemala) Neblinna (Venezuela) Reykjavíkurdætur (Islande)
FLOT SILLAGES | FLOT : Être en responsabilité demain : se former à l’égalité femmes-hommes
<div class="no-js-alert">Merci d'activer JavaScript pour voir ce site.</div> MOOC Égalité femmes-hommes Date : 03/06/2015 Catégorie5- Conseils utiles Partager : MOOC Grammaire élémentaire de la langue française MOOC Bases de données relationnelles
YouTube aurait pu être une page blanche, elle est le reflet des pires stéréotypes sur le genre
Temps de lecture: 6 min Sur YouTube aussi, le sexisme a la vie dure. La visibilité apparaît alors comme le premier signal des inégalités existantes sur la plateforme de partage de vidéos en ligne. Il n'y a qu'à s'arrêter au nombre de femmes et d'hommes qui l'utilisent. Le rapport serait de 46/54%. En France, le haut de ce classement est là encore très masculin et fait la part belle aux jeunes humoristes tels Cyprien, Norman, Rémi Gaillard ou encore Mister V. Un espace d'expression genré Outre les considérations quantitatives, c'est aussi le contenu des vidéos qui pose question. La populaire Yuya, dédie ses vidéos à des thématiques féminines ou considérées comme telles: maquillage, beauté et bien-être. À son image, les «influenceuses» qui réussissent sont, pour l'immense majorité, des filles qui parlent de trucs de filles, à destination d'autres filles. Une reproduction des codes patriarcaux Combattre le cliché de la youtubeuse beauté Un déficit de crédibilité La tech: un monde de mecs
Cette illustratrice déconstruit tous les stéréotypes de genre chez les enfants
STÉRÉOTYPES - Oui, les petits garçons peuvent s'émouvoir, pleurer et être coquets. Non, les petites filles ne se soucient pas que de leur apparence, ne sont pas toujours sages et peuvent devenir des meneuses. En fait, chacun peut être ce qu'il veut. Voilà ce que tient à rappeler l'illustratrice jeunesse Montréalaise, Élise Gravel, dans ses dessins qui déconstruisent les clichés. Cette artiste engagée a posté ce lundi 15 janvier sur sa page Facebook une affiche brisant les stéréotypes de genre. Cette maman de deux filles s'était illustrée dans le même registre lors de la journée internationale de la fille, le 11 octobre dernier. Le dessin avait rencontré un franc succès et la question d'en proposer l'équivalent pour les petits garçons avait rapidement fait surface. Ces petites affiches, elle les destine "aux parents et enseignants qui ont envie de déboulonner les stéréotypes sexuels". "Un petit livre en libre accès pour aider les enfants à faire face aux stéréotypes de genre."
Leurs premières classes mixtes
Égaux sans ego
Illusions et aménagements contre l’égalité
« Le présent mémoire s’intéresse à l’écart qui existe entre la volonté admise des individus de partager les tâches domestiques et parentales de manière égalitaire et les données d’enquête qui font état de l’inégalité qui subsiste tant dans le temps alloué que dans le type d’activités exécutées par les hommes et les femmes. » Dans son introduction, Julie Garon souligne les écarts de temps passés par les femmes et les homme dans le quotidien domestique et parental. Les statistiques – ici au Québec – sont sans ambiguïté, les priorités des un·e·s et des autres sont différentes, le temps consacré aux travaux ménagers et aux soins des enfants par les femmes est toujours plus important que celui assuré par les hommes. Je ne présente pas les éléments méthodologiques de cette étude. Je souligne que les effets matériels et asymétriques des rapports sociaux et leur imbrication ne sont pas évoqués. En complément possible, dans la riche littérature féministe : Titiou Lecoq : Libérées. Didier Epsztajn
Évaluations nationales : des représentations sexistes à l'école primaire
En cette rentrée de septembre 2018, les élèves de CP et de CE1 des écoles publiques ont été dans l’obligation de passer des évaluations nationales en lecture et écriture. L’un des exercices imposés aux élèves de CE1 consiste à rédiger un court texte en s’appuyant sur les images suivantes : Que montrent ces deux planches ? Une fille passive, se faisant belle d’un côté, et un garçon très actif de l’autre. La fille est cloîtrée dans l’espace domestique, le garçon multiplie les activités physiques en extérieur. Ces évaluations nationales étaient déjà contestées par un certain nombre d’enseignant-es et d’organisations syndicales. Voici donc encore une bonne raison de ne pas se plier aux exigences d’un Ministère qui malgré ses beaux discours continue de véhiculer les stéréotypes qu’il prétend combattre.
Place aux filles !