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Les nouveaux territoires de transmissIon du savoir - Organisations - Le Monde.fr : Supplément partenaire

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LES NOUVELLES TECHNOLOGIES, ALLIEES DES PME - enquête Les chefs d'entreprise sont en retard en matière de nouvelles technologies. C'est, en tout cas, ce qui ressort du bilan dressé en octobre dernier par Eric Besson, secrétaire d'Etat au Développement de l'économie numérique, lors de la présentation du Plan France Numérique 2012. A l'occasion de cet événement, le gouvernement a dévoilé près de 150 mesures pour aider les Français, ainsi que les PME et PMI, à mieux utiliser les technologies de l'information et de la communication (TIC). Le but étant de combler le gouffre existant entre l'Hexagone et certains pays industrialisés, tels que les Etats-Unis, l'Allemagne ou encore les pays d'Europe du Nord. La France en retard? Pour François Bourdoncle, vice-président du Comité Richelieu, une association rassemblant des PME innovantes, le problème est surtout culturel. JEROME CALLEC, p-dg de Linkeo Comptez entre 600 et 2 000 euros par an pour disposer d'un site web professionnel opérationnel. Internet, un outil de communication et de veille.

Erreur de chargement de la page La Commission européenne a fait de 2009 «l’année de l’innovation et de la créativité». La «classe créative» est devenue ces dernières années, la nouvelle élite à capter dans un contexte de concurrence mondiale entre territoires urbains, d’autant qu’elle cherche à réconcilier deux mondes, celui de l‘économie mondialisée et celui de la culture. Dans ce cadre, deux thèmes sont abordés dans cet article : la géographie 2006 de la classe créative en France (cantons) et la recherche des déterminants de la classe créative et de la mesure de l’influence de la classe créative sur l’esprit d’entreprise, l’innovation et la croissance locale (zones d’emploi). 1ère partie - La localisation des créatifs en France : une analyse exploratoire de données localisées Sébastien CHANTELOT, Enseignant-chercheur - ESC Bretagne, Brest Stéphanie PÉRÈS, Ingénieur de recherche - USC INRA 2032 GAIA - Enita de Bordeaux Stéphane VIROL, Maître de conférences - GREThA UMR - CNRS 5113 Université Montesquieu - Bordeaux IV

USA : Trois types de “Smart Cities” modelées par l’informatique USA / / Amérique du nord On n’associe pas “grande ville” et “développement durable”, pourtant les statistiques montrent qu’un foyer urbain consomme 15% d’énergie en moins par rapport aux habitations rurales. Des villes comme Manchester sont devenues des "Smart Cities" grâce à un important effort de modernisation. © G-Man (Wikimédia Commons) La ville, centre écologique par excellence Les villes sont les endroits les plus fidèles au développement durable. Même si l’idée paraît extrême, le développement des “Smart Cities” va dans ce sens : ces villes utilisent les technologies de l’information et de la communication pour rendre leurs infrastructures et leurs services (sécurité, transport, éducation, etc.) plus flexibles, interactifs et efficaces. Trois genres de “Smart Cities” Une étude menée par Forrester Research sur les “Smart Cities” s’est penchée sur le rôle de ces technologies et a distingué 3 principaux profils : La solution: la solidarité

Les nouvelles technologies et les nouvelles formes d'organisation du travail IDC et Bouygues Telecom Entreprises viennent de publier un livre blanc sur la mise en place de solutions de travail collaboratif et sur les nouvelles organisations du travail. C’est un observatoire qui repose sur une enquête menée auprès de 240 entreprises de plus de 50 salariés, dans divers secteurs d’activité. L’objectif est d’étudier les nouvelles formes d’organisation du travail, notamment vis-à-vis des équipements, à une époque où la frontière entre vie professionnelle et vie privée a tendance à s’estomper. L’étude porte principalement sur les nouvelles technologies de l’information et de la communication, et comment elles favorisent l’efficacité et l’efficience notamment dans le cas du travail en équipe. On y apprend qu’un tiers des entreprises interrogées ont déjà mis en place une équipe virtuelle, c’est-à-dire des équipes dont les membres ne sont pas forcément situés au même endroit.

La périurbanisation comme projet Laissac (cc) CAUE de l’Aveyron Depuis quarante ans, la société se périurbanise. Depuis quarante ans, des observateurs scientifiques décrivent et expliquent cette périurbanisation problématique. Et, depuis quarante ans, les solutions mises en œuvre pour contrer la périurbanisation sont tenues en échec. En France, pays de densité relativement faible en Europe, de petite propriété foncière et d’hyper-localisme dans la gestion du droit des sols, les conditions restent plus que jamais favorables à l’étalement. L’entrée en action de chercheurs en sciences dites exactes (physiciens, climatologues, écologues) porteurs de l’alerte au changement global (énergie, climat, biodiversité) ressemble fort au « dernier combat » : la ville dite post-carbone et vivable sera compacte ou ne sera pas. Les injonctions ne font pas progresser le débat Alors que la périurbanisation se poursuit à l’échelle de la planète, le discours dominant continue à s’inscrire dans le registre de l’injonction.

USA : Trois types de “Smart Cities” modelées par l’informatique | www.greenetvert.fr | Readability USA / / Amérique du nord On n’associe pas « grande ville » et « développement durable », pourtant les statistiques montrent qu’un foyer urbain consomme 15% d’énergie en moins par rapport aux habitations rurales. Des villes comme Manchester sont devenues des "Smart Cities" grâce à un important effort de modernisation. © G-Man (Wikimédia Commons) La ville, centre écologique par excellence Les villes sont les endroits les plus fidèles au développement durable. Même si l’idée paraît extrême, le développement des « Smart Cities » va dans ce sens : ces villes utilisent les technologies de l’information et de la communication pour rendre leurs infrastructures et leurs services (sécurité, transport, éducation, etc.) plus flexibles, interactifs et efficaces. Trois genres de « Smart Cities » Une étude menée par Forrester Research sur les « Smart Cities » s’est penchée sur le rôle de ces technologies et a distingué 3 principaux profils : La solution: la solidarité

Ergonomie des IHM Module Enseignement se déroulant sur 2 années : Partie Ergonomies des interfaces Interactives en Licence Informatique 3° année (14 h CM, 14h TD, 6 h TP) dont 6 heures consacrées à la qualité logicielle et non présentée sur cette page. Partie Visualisation interactive d'Information en Master Informatique 1° Année (M1 SIAD) - 4h CM, 4 h TD, 4h TP Objectifs Faire découvrir aux étudiants la nécessité de la prise en compte de l'utilisateur final dans la conception des systèmes interactifs. Contenu et supports de cours Vous pouvez télécharger ci-dessous les supports de cours utilisés dans cet enseignement. Cours Chapitre 1 - Pourquoi l'ergonomie ? Bibliographie Baccino T. , Bellino C., Colombi T. (2005) Mesure de l’utilisabilité des interfaces. : Boucher A. (2007) Ergonomie Web. Ergonomie des Interfaces Homme-Machine

Les Français & Le Nouveau Monde numérique Enquête Retrouvez ci-dessous en images les résultats de la première édition du baromètre Inria « Les Français et le Nouveau Monde numérique ». Partager / Intégrer © 22 mars NetPublic - Accompagner l'accès de tous à l'Internet

High-Tech : Fiscalité numérique : taxer les données personnelles Le rapport de Pierre Collin et Nicolas Colin suggère des négociations internationales pour mieux imposer les géants du Web. En attendant, une taxe est proposée au niveau national, sur le modèle de la «taxe carbone». Une nouvelle fiscalité d'Internet, assise sur la collecte des données, est envisagée en France dans le rapport sur l'économie du numérique, confié en juillet 2012 au conseiller d'État Pierre Collin et à l'inspecteur des finances Nicolas Colin. Le conséquent rapport de 198 pages dresse un bilan de l'économie du numérique et justifie ses propositions car «les révolutions industrielles ont toujours appelé des réformes fiscales de grande ampleur». La proposition phare, de dimension franco-française, est «d'instituer une fiscalité spécifique du type de la taxe générale sur les activité polluantes ou de la “taxe carbone”. Tarif unitaire par utilisateur suivi La raison qui sous-tend l'imposition de ces données? Des entreprises plus traditionnelles pourraient être concernées

Révolution numérique ou révolution sociale ? 4 juil 2015 En partenariat avec Jean Claude FRAVAL, prospectiviste du pôle Images & Réseaux, je vous propose cet été une série d’articles sur la révolution numérique par les « business models », les marchés des technologies et de « l’économie numérique », les marchés « verticaux » ou la « société numérique ». Et pour ce 1er article je vous pose une question : la révolution numérique n’est-elle pas avant tout une révolution sociale ? La révolution numérique, une rupture des modèles économiques pour une économie numérique La révolution numérique est avant tout une révolution des usages et donc une révolution des modèles d’affaires (business models). Amazon, Airbnb, Uber en sont trois illustrations où la technologie joue un rôle en rendant possible ce qui ne l’était pas auparavant mais où la rupture principale est dans le modèle économique. Pas un jour, sans qu’un journal ou un magazine n’évoque la révolution numérique. Le client au centre du cercle vertueux ? Affaire à suivre/

Connexion universelle : un rêve des plus pauvres ou l’intérêt des plus riches « Connect the world ». C’est le nom d’une nouvelle initiative de Mark Zuckerberg, l’emblématique patron de Facebook, initiative annoncée cette semaine à la presse et qui sonne un peu comme le slogan d’une ONG ou des Nations Unies. Son entreprise s’apprête à investir des millions de dollars dans des drones atmosphériques pour aider les plus pauvres à se connecter à Internet. La terre est très vaste et le raccordement à Internet de façon fixe est très couteux, surtout s’il l’on veut un débit important. En fait, il faut savoir que cela est déjà possible car les satellites placés en orbite autour de la terre permettent de se connecter de n’importe quel point du globe mais cela coûte très cher et les résultats ne permettent pas une large mise à l’échelle, tant d’un point de vue technique que commercial. Et bien c’est assez simple et logique en fait. Jean Pouly @jeanpouly

Qui sont ces 4 milliards de personnes sans Internet? La réponse en carte Samedi 10 octobre 2015 5h57 Photo : Radio-Canada Au cours des dernières années, le taux d'utilisation d'Internet a augmenté rapidement dans les pays développés. Un texte de Bruno Maltais Tandis que près de 9 Canadiens sur 10 utilisent Internet, le taux n'est que de 1 sur 5 pour l'ensemble du continent africain. L'utilisation d'Internet dans le monde Pour voir la carte sur votre appareil mobile, cliquez ici. L'utilisation d'Internet dans le monde (données de l'Union internationale des télécommunications) C'est dans cette perspective que Facebook et Eutelsat ont annoncé cette semaine le lancement d'un satellite pour brancher à Internet des millions de personnes en Afrique subsaharienne. « Nous allons continuer de travailler pour connecter tout le monde, même si cela veut dire que nous regarder au-delà de notre planète », a écrit le patron de Facebook, Mark Zuckerberg, sur sa propre page. Pour les entreprises, le marché africain représente un potentiel de développement majeur.

Quelle place pour l'homme dans la transition digitale ? C'est dans le cadre prestigieux de la Monnaie de Paris, créée en 864 et plus vieille institution française encore en activité, que La Tribune a exposé ses 30 unes du futur pour célébrer les 30 ans du journal économique. Et c'est sous les ors de l'Hôtel de la Monnaie que s'est déroulée, les 10 et 11 décembre, la première édition de La Tribune Lab, deux matinées pour explorer le futur. La première table ronde avait pour sujet « Transitions numériques et industries du futur : quelle place pour l'homme dans la transition digitale ? » Pour répondre à cette question cruciale pour les prochaines générations, deux intervenants: Thierry Breton, ancien ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie, coauteur, en 1984, de Softwar, et auteur, en 1987, de Netwar, des romans d'anticipation, et PDG du groupe informatique Atos ; et Laurent Alexandre, chirurgien urologue, fondateur de la société de génétique DNA Vision (et actionnaire de La Tribune). Le facteur exponentiel des données

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