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Les études de médecine

Les études de médecine
Envie de devenir médecin ? Il faut compter 9 ans d’études à l’université pour les généralistes, et 10 à 12 ans pour les autres spécialistes, comme les chirurgiens ou les pédiatres. À la clé, le DE (diplôme d’État) de docteur en médecine, obligatoire pour exercer. ©Nyul - stock.adobe.com - Médecine, 9 à 12 ans d'études où l'on passe des amphis à l'hôpital. La 1e année : la PACES ou ses alternatives Le cursus de médecine débute avec la PACES (1re année commune aux études de santé) ou les alternatives mises en place dans une partie des universités. 20 % des étudiants en moyenne franchissent l’obstacle du concours à l'issue. À la rentrée 2019-2020, le numerus clausus en médecine (nombre de places ouvertes au concours fixé chaque année par l’État) s'élève à 9 314 places, un chiffre en augmentation pour lutter contre les déserts médicaux. Les 2e et 3e années de médecine : les bases du médical La pratique commence avec un stage infirmier de 4 semaines à temps plein. Related:  Santé

PACES vs AlterPACES : le match des concours PACES ou AlterPACES ? L'Etudiant a comparé les deux principales voies d’accès aux études de médecine, pharmacie, odontologie et maïeutique. Durée, difficulté, profil des étudiants, mode d'admission : tout différencie ces deux parcours. D’un côté, la PACES (première année commune aux études de santé), des concours très difficiles – seulement 37 % de réussite en un ou deux ans toutes filières confondues – organisés en deux temps sur toute une année. De l’autre, les expérimentations AlterPACES, mises en place à partir de 2014 pour encourager les vocations tardives et diversifier le profil des futurs professionnels de la santé. Une quinzaine d'universités permettent ainsi à tous les étudiants ayant validé leur licence d’intégrer la deuxième année des études médicales, odontologiques, pharmaceutiques, maïeutiques. Pour le moment, les places AlterPACES sont rarement toutes attribuées. PACES et AlterPACES, même combat ? Où réussit-on le mieux ?

Les études de pharmacie Envie de devenir pharmacien ? Il faut compter 6 ou 9 ans d’études à l’université, selon le lieu d'exercice visé : pharmacie (officine), industrie, hôpital, laboratoire d'analyses ou de recherche ou encore agence de santé. À la clé, le DE (diplôme d’État) de docteur en pharmacie, obligatoire pour exercer, et d'autres diplômes complémentaires. © Oneinchpunch-iStock.com - Des stages obligatoires à effectuer en officine La 1e année : la PACES Le cursus de pharmacie débute avec la PACES (1re année commune aux études de santé) ou les alternatives mises en place dans certaines universités. 30 % des étudiants en moyenne franchissent l’obstacle du concours à l'issue. Les 2e et 3e années de pharmacie : le tronc commun Ces 2 années permettent d’assimiler de nombreuses disciplines à la fois théoriques et appliquées à la santé : étude des grands systèmes du corps humain, biochimie, biologie humaine et végétale, infectiologie, etc. Les 4e et 5e années : choisir une filière Le cycle court de pharmacie

La PACES : 1re année commune aux études de santé PACES pour "première année commune aux études de santé". Cette 1re année d’études supérieures est un passage incontournable – et souvent redouté- pour les étudiants qui se destinent à l’une des 4 filières médicales - médecine, dentaire (odontologie), pharmacie ou maïeutique (sage-femme). Ente organisation des études, sélection via un concours et solutions de réorientation : l’Onisep fait le point pour vous. Que l’on veuille devenir médecin, dentiste, pharmacien ou sage-femme, il faut suivre un cursus long à l'université - de 5 à 11 ans d'études, entre cours en amphi et stages sur le terrain. Tout débute après le bac par la PACES (première année commune aux études de santé) qui conduit les étudiants aux 4 filières médicales - médecine, dentaire (odontologie), pharmacie ou maïeutique (sage-femme) - au terme d'un concours très sélectif. En cas d'échec ou de volonté de changer de voie, les étudiants peuvent se réorienter vers d’autres cursus, en fin de 1er semestre et en fin d’année.

Pour réussir la Paces : un bac S, oui mais avec mention Plus d’un étudiant sur trois réussit, en un an ou deux, le concours de fin de première année commune aux études de santé. L’essentiel d’entre eux sont des titulaires de bac S avec mention. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Adrien de Tricornot La première année commune aux études de santé (Paces) – pendant laquelle les étudiants se préparent aux concours de médecine, pharmacie, odontologie et maïeutique – confirme sa réputation de sélectivité : environ un tiers des bacheliers 2014 inscrits dans ce cursus (33,6 %) auront réussi ce précieux concours en un an ou deux, selon une étude du ministère sur les résultats de la session 2016. La plupart des admis auront ainsi redoublé pour parvenir à ce résultat : « Un bachelier sur dix réussit à passer en deuxième année au bout d’un an de Paces et près d’un sur deux s’y réinscrit l’année suivante. Lire aussi : La démocratisation des études de médecine au point mort Ces chiffres concernent les 35 375 bacheliers 2014 inscrits en Paces.

De l'atome à l'humain : à la racine des mots scientifiques À propos du cours Cette session est terminée, pour accéder à la session 2018-2019, rendez-vous à cette adresse : Quand on fait des études de sciences et de santé, on doit assimiler des milliers de mots. Ces mots sont fabriqués au moyen d’un certain nombre de briques, dont le nombre est limité, et qui sont faciles à reconnaître. Le but du cours est de vous familiariser avec ces briques et aussi avec leur mode d’assemblage, afin que, devant un mot que vous n’avez encore jamais vu, vous soyez capable de le décomposer et d’en déduire le sens grâce aux connaissances que vous aurez acquises. Ce cours en ligne gratuit porte donc sur l’étymologie du vocabulaire scientifique et médical. Ce cours est ouvert toute l’année, de septembre à septembre. Format Le cours est prévu pour se dérouler sur quatre semaines, même si vous pouvez y accéder quand vous le souhaitez, et le suivre au rythme que vous souhaitez.

Les études de sage-femme Envie de devenir sage-femme ? Il faut compter 5 ans d’études, dont 4 ans en école de maïeutique (la science de l'accouchement). À la clé, le diplôme d’État de sage-femme, obligatoire pour exercer. © iStockphoto - Les étudiants en maïeutique sont amenés rapidement à être acteurs sur le terrain. La 1e année : la PACES Le cursus de sage-femme (aussi appelé filière maïeutique) débute avec la PACES (1re année commune aux études de santé) ou les alternatives mises en place dans certaines universités. 30 % des étudiants en moyenne franchissent l’obstacle du concours à l'issue. Les étudiants admis en 2e année poursuivent leur formation dans l'une des écoles de sages-femmes (une trentaine environ), selon leur université de rattachement. Les 2e et 3e années de maïeutique : le socle théorique Ce 1er cycle se concentre sur les apports théoriques. En fin de 3e année, les étudiants obtiennent le DFGSMA (diplôme de formation générale en sciences maïeutiques), reconnu au niveau licence.

Psychiatrie Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes »(mai 2015). Améliorez sa vérifiabilité en les associant par des références à l'aide d'appels de notes. Pratiquée ordinairement par un psychiatre ou neuro-psychiatre ainsi que par les chirurgiens neurologues et les médecins généralistes, la discipline est composée par des sous-matières telle que la pédopsychiatrie, qui concerne les enfants, la psychogériatrie destinée aux personnes âgées ou la neuropsychiatrie, la « psychiatrie des ethnies » et la politico-psychiatrie entre autres. Histoire[modifier | modifier le code] Origines[modifier | modifier le code] Emil Kraepelin a étudié et proposé des idées de classification des maladies mentales. L'histoire de la psychiatrie est relativement récente. De l'aliénisme à la psychiatrie[modifier | modifier le code] En France la situation est contrastée.

Le profil idéal de l'étudiant en médecine Si les bacheliers peuvent choisir librement de s'inscrire en médecine, tous ne sont pas assurés de passer le cap de la deuxième année : à la fin de la première année, un concours très sélectif (16,90 % des étudiants le réussissent) ne garde que les meilleurs. Parmi les atouts permettant de décrocher une place en deuxième année, certains sont presque incontournables... Un bac S et une mémoire d'éléphant Pour réussir en médecine, mieux vaut être issu d'une série S. Au concours, il faut répondre à des QCM (questionnaires à choix multiples) et rédiger des réponses courtes sur des points de détail du cours. « Plus qu'un bon niveau en maths ou en biologie, on demandera surtout une excellente mémoire et une énorme capacité de travail », explique Mathilde Fron, qui à décroché dès sa première tentative le concours de fin de première année à Paris 5. Redoublant, pas triplant Pour déterminer ceux qui seront autorisés à tripler leur première année, le règlement diffère selon les universités.

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