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L’agriculture aussi mise sur les drones

L’agriculture aussi mise sur les drones
GRANGE. “On est plus une start-up”. Jeune responsable marketing, Érick Lebrun contemple le vaste stand occupé par Airinov au Salon de l’agriculture. Il faut désormais de la place à cette jeune entreprise pour accueillir les agriculteurs intéressés par un suivi aérien de leurs champs. Créée en 2010 dans une grange du Poitou par deux informaticiens fils d’agriculteurs, Airinov revendiquait fin 2015 2,5 millions d’euros de chiffre d’affaires et plus de 40 salariés. Plus de 5000 agriculteurs ont fait appel à la société en 2015, 10 000 vols de drones ont été réalisés pour couvrir plus de 100 000 hectares de blé et de colza. 2016 sera l’année du déploiement dans les pays voisins. Cartes produites par les drones airinov, chaque couleur correspond à une densité de végétation. Les drones d’Airinov sont équipés de capteurs photographiant la couleur des plantes dans quatre parties distinctes de la lumière : vert, rouge, proche infrarouge et infrarouge. Objectif : réduire les épandages d’engrais Related:  les espaces productifs

La "ferme numérique" au salon de l'agriculture GESTION. "On veut connecter tous les hangars agricoles" où sont immobilisés des tracteurs, assure Laurent Bernède président de WeFarmUp, site de location de matériels entre professionnels du monde agricole lors du Salon de l'Agriculture à Paris. M. Bernède, agriculteur dans le Lot-et-Garonne, a eu l'idée de ce site quand il a été dû remplacer son vieux tracteur. Assurance comprise Le site permet donc de mettre en relation ceux qui ont un engin agricole à disposition et ceux qui cherchent à en louer un. Des capteurs plein les champs C'est aussi pour faciliter la vie des agriculteurs que le site Agriconomie a été créé. Le logiciel libre Ekylibre, lancé en janvier 2015 par une start-up girondine promet de "gérer l'exploitation du sol au silo" en "développant des passerelles avec les objets connectés", explique Karine Cailleaux, responsable de la communication. RADIO.

Après dix ans de bataille, un accord de paix sur le camembert de Normandie D’ici 2021, il n’y aura plus qu’un seul et unique camembert de Normandie AOP, mettant un terme à la bataille qui oppose le produit AOP et celui « fabriqué en Normandie ». La guerre du camembert de Normandie est officiellement terminée. Les producteurs de lait normands et tous ceux qui produisent les camemberts dans la région ont fini par se mettre d’accord jeudi 22 février, après dix ans d’invectives autour de leur étiquette. D’ici à 2021, il n’y aura plus qu’un seul et unique camembert de Normandie AOP (appellation d’origine protégée), a signalé jeudi l’Institut national des appellations d’origine (INAO), à l’issue d’une réunion entre tous les acteurs de la filière. Les producteurs de camembert « fabriqués en Normandie » – parmi lesquels essentiellement de gros industriels comme Lactalis – ont en effet « accepté de respecter le futur cahier des charges de l’AOP camembert de Normandie », a précisé l’INAO dans un communiqué. Deux types de production s’affrontaient

Aéroports, usines, palais, sites olympiques : la friche en géographie et en photographies Les friches, qui inspirent autant les photographes et les plasticiens que les chercheurs en sciences sociales, sont des lieux idéaux pour croiser géographie et arts plastiques. La presse d'actualité se fait l'écho d'un engouement pour les friches qui sont, depuis longtemps déjà, un objet d'étude intéressant la recherche. Exemples dans la presse récente : Boris Manenti, « La friche, c'est chic », L'Obs, 23 septembre 2017. Bertrand de Saint Vincent, « À Montmartre, les jeunes créateurs en friche », Le Figaro, 1er octobre 2017. Des photographies d'espaces en friche dans la presse Grégoire Fleurot, « Les sites abandonnés des Jeux olympiques d'Athènes 2004, 10 ans plus tard, en photos », Slate, 2014. Quelques travaux de recherche sur les friches, par ordre chronologique inversé Patrice Duny (dir.), Les friches : entre contrainte et potentiel de renouvellement urbain, Aucame Caen Normandie, « Observatoire foncier », juin 2016 [pdf]. Dans Géoconfluences

Agriculture en Seine-et-Marne : les chiffres-clés L'agriculture en Seine-et-Marne, c'est près de 335 000 hectares de surface agricole utile, soit près de 60 % du territoire et 60 % de l’espace agricole d’Île-de-France ! Un secteur dynamique qui emploie 6 428 agriculteurs, soit un tiers de l’emploi agricole régional, dans 2 780 entreprises agricole. Comme au rang national, on constate, depuis les années 70 une diminution de moitié du nombre d'exploitations parallèle à une augmentation de la surface des exploitations. La surface agricole est cependant hétérogène : l'agriculture est plus présente à l'Est et au Sud du département, où la surface agricole représente encore fréquemment plus de de 70 % de la superficie des communes (en 2008). Quel type d'exploitations trouve-t-on en Seine-et-Marne ? Les grandes cultures en Seine-et-Marne La vocation céréalière du département est toujours importante, même si cette production agricole se diversifie. Plus d'informations sur l'Agriculture en Seine-et-Marne et en Île-de-France :

l'Ouest en mémoire - La pollution de l'eau par les nitrates Depuis le milieu du XXe siècle, les Bretons des champs ont fait leur "révolution verte", qui a littéralement emporté l'ancienne économie paysanne au profit d'un système agro-industriel. L'agriculture encore semi autarcique et isolée pratiquée par une paysannerie nombreuse, pauvre et délaissée est devenue une gigantesque entreprise agroalimentaire entrée de plain-pied sur les marchés européens et internationaux. Au terme de cette révolution, dans les années 1980, la Bretagne fournit 12% en valeur des livraisons totales de l'agriculture française sur seulement 6% de la surface agricole. Si le paysage a été bouleversé, la "révolution verte" a aussi et surtout considérablement altéré l'écosystème : baisse de la qualité de l'eau, eutrophisation et "marées vertes", contamination bactérienne des eaux littorales et interdictions périodiques de ramassage des coquillages. Bibliographie : - Joël Cornette, Histoire de la Bretagne et des Bretons, tome 2, Seuil, 2005. Fabien Lostec

La montagne retrouve son attrait touristique en été Les stations ont amélioré et fait évoluer leur offre. Avec chaque année plus de 92 millions de nuitées, leur chiffre d’affaires dépasse désormais lors de la saison estivale les 5 milliards d’euros. LE MONDE | 13.08.2018 à 11h14 • Mis à jour le 13.08.2018 à 11h17 | Par Philippe Jacqué (Les Saisies, Savoie, envoyé spécial) Sur la droite, deux nouvelles pistes de descente de VTT viennent compléter la dizaine de pistes existantes. A gauche, le centre aqualudique ne désemplit pas, tandis qu’un circuit de pumptrack – une piste à bosses destinée aux vélos et trottinettes – est en cours d’aménagement. « Nous n’avions pas vraiment le choix, explique Bruno Clément, directeur de l’office de tourisme des Saisies, une station de moyenne montagne savoyarde. Principale saison d’activité Dans certaines d’entre elles, les touristes se sont fait attendre. « A La Plagne, le mois de juillet a été mitigé, constate son maire, Jean-Luc Boch, le président de France Montagnes.

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