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Ah ! l’unité à gauche…

Ah ! l’unité à gauche…

hu hu hu hu unité 2012 Unité 2012 est la dernière œuvre majeure de l'élite de la gauchosphère. Le présent billet, écrit dans un sincère et loyal esprit d'ouverture et de camaraderie, doit être lu comme une critique constructive. La lecture d'Unité 2012 rappelle le tout 1er texte du No Sarkozy Day. Un objet quasiment abstrait qui ne fâche pas, tendance gauche pour les bisounours, tout le monde il est beau de Royal à Vaillant en passant par Huchon, Mahéas et Guérini, tout le monde il est gentil de Lamy à Valls et Aubry en passant par Mélenchon, Peillon et Besancenot ! En effet, Unité 2012 s'abstient d'évoquer les questions qui fâchent : Unité 2012 évoque le spectre du 21 avril 2002 sans toutefois l'écrire en toutes lettres, probablement pour ne pas traumatiser les bobos jadis en larmes de Solférino, et surtout pour ne pas rappeler la responsabilité de la gauche plurielle, et de sa première composante qui n'a jamais, au grand jamais exercé son droit d'inventaire ! Amigos Notre choix est fait, et on y croit !

la baisse des impots ne fait pas la croissance Les faits sont tétus, les chiffres aussi, et voilà le tout sous forme d’une courbe qui démontre que chez nous aussi la baisse des impots pour les riches ne fait pas la croissance. Encore une fois, la grotesque théorie du ruissellement se prend une claque. Regardez cette courbe qui représente le taux marginal supérieur de l’impôt sur le revenu, c’est à dire celui de “la dernière tranche“. Cela depuis 1950. Vous observez donc que la croissance du PIB mensurée en jaune clair, n’est pas lié à la baisse ou non des impôts pour les plus riches. Je vous ai déjà expliqué dans un précédent billet que depuis 2002, cette baisse et ces cadeaux fiscaux représentaient actuellement plus de 30 milliards d’euros en année pleine. On notera et c’est un rappel, que ces baisses d’impôts ont commencé dans les années où la financiarisation de l’économie à commencé elle aussi. Quand à Sarkozy, Fillon, Lagarde et la bande de zozos de l’UMP. Comments are closed.

Unité 2012 : des blogueurs au pays des bisounours ! Il y a toujours un grand paradoxe à voir des blogueurs, à forte dominante socialiste, demander l’unité à gauche pour les autres, alors qu’ils ont mobilisé beaucoup de leur énergie à faire passer Ségolène Royal pour une dinde et ainsi contribuer à la faire battre en 2007. Je ne parle pas non plus de l’attitude de certains d’entre eux qui ne perdent pas la moindre occasion pour défoncer tantôt Nicolas Hulot et les écolos, tantôt Jean-Luc Mélenchon. Certes, nous avons tous le droit à l’erreur. Mais à ce niveau de persévérance, cela en devient presque inhumain. Sur le fond maintenant ! L’analyse de nos collègues – et néanmoins amis – blogueurs est de nous dire que, pour l’emporter au 2e tour, il faut pouvoir passer le 1er. En 2002, Lionel Jospin a perdu pour deux raisons essentielles. Le rejet de Sarkozy Même s’il s’emploie à redorer son blason, le rejet de l’homme Sarkozy dans l’opinion est, aujourd’hui, total. L’intérêt de la candidature de Nicolas Hulot Doutes sur les législatives

Finances publiques : le rapport que Sarko n'a visiblement pas lu Le premier d'entre eux livrait des conclusions intéressantes, peu explicitées dans les constats et recommandations énoncées par Nicolas Sarkozy à son assistance. Le rapport sur la situation des finances publiques, réalisé par Paul Champsaur et Jean-Philippe Cotis, donne en effet quelques résultats gênants pour l'argumentaire sarkozyen. 1. Le déficit structurel du budget s'est aggravé en de 2000 à 2003, puis à nouveau en 2007 et 2008. 9.

L'appel "Unité 2012", derrière la main tendue et l'espoir d'une victoire de la gauche, c'est le sectarisme et la défaite... Le Front de Gauche vit un moment déterminant de sa jeune histoire. Dans quelques jours les militants communistes vont se prononcer sur le candidat qu’ils soutiendront à l’élection présidentielle de 2012. Je souhaite évidemment que Jean-Luc Mélenchon soit ce candidat. Parallèlement, nous sommes dans une phase de discussion et de négociation avec la direction du PCF pour se mettre d’accord sur la totalité d’un « contrat » politique, dans un premier temps programmatique et qui englobe aussi les élections législatives qui suivront la présidentielle. C’est une discussion serrée que tout le monde doit prendre au sérieux. opiniâtre mécanicien de la locomotive de l’histoire du Front de gauche. Ce billet sera consacré à une autre initiative prise par quelques blogueurs, qui circule sur le net. Alors, discutons sur le fond. Sans doute, de bonne foi, la plupart de nos blogueurs me répondront non. Cet appel proclame aussi une autre affirmation sans plus d’explications.

Le grand flop des heures sup (photo : Robbert van der Steeg - Flickr - cc) Le 21 mai dernier le gouvernement a diffusé une étude réalisée par la Dares, le service statistique du ministère. Elle dresse un bilan mauvais, très mauvais même du dispositif des heures supplémentaires défiscalisées issues de la fameuse loi Tepa (travail emploi et pouvoir d’achat), loi qui créait entre autres le fameux bouclier fiscal. D’abord, 80% des salariées du secteur concurrentiel déclarent être dans des entreprises qui ne font pas faire des heures sup. Vous direz donc 20% font des heures sup'. Pourtant les salariés réclament des heures sup ! Ça, c’était le rêve du gouvernement, les salariés allaient réclamer de travailler plus pour gagner plus. Et les salariés restent attachés aux 35 heures Ils sont incorrigibles ! Ca fait un pour un non ? Pas du tout ! Moralité ? La politique de l’emploi en France a tout faux. Du même auteur Retrouvez les chroniques de Bernard Maris sur France-Inter

”L’Etat perd 100 milliards de recettes fiscales!” - Edition - Larrouturou - interview Plus que jamais, l'inventeur de "la semaine de 4 jours" prône "le partage du travail" et "un nouveau contrat social". A l'heure où l'Assemblée vote l'allègement de l'ISF, il estime que l'Etat s'assurerait 100 milliards de recettes fiscales supplémentaires par an s'il revenait à la fiscalité de l'an 2000. Interview de ce joyeux pessimiste (propos recueillis le 10 juin 2011). Comme celui d'Edouard Tréteau ("Quand le dollar nous tue") ou de Myret Zaki ("La fin du dollar"), votre livre est très alarmant sur la situation de la dette américaine Il a trois problèmes aux Etats-Unis dont la dette est aujourd'hui abyssale : . l'injection d’argent dans le circuit est de moins en moins efficace pour relancer la machine : c'est comme une voiture qui roulerait encore, mais doit s'arrêter tous les trois cents mètres à cause d'une fuite d'essence, . le chômage remonte, . les fonds privés font de moins en moins confiance à la dette américaine et se désengagent des bons du trésor. 1) prévenir les gens

UMP, camouflons l'échec en attendant la catastrophe La semaine passée, l'apercevant débiter son baratin en usine devant un parterre casté, dans un remake pourri du pourtant pas fameux "La Conquête", regardant droit dans les yeux un ouvrier à qui il affirmait des trémolos dans la voix que grâce à la réforme sa retraite serait garantie, j'éprouvais à nouveau ce puissant dégoût que, grâce à des heures de méditation zazen et à la lecture de l'intégrale de Guy des Cars, j'avais réussi à esquiver ces deux dernières années lorsque son nom revenait dans la conversation. La campagne présidentielle est lancée, il va nous falloir reparler du commis des puissants. L'embellie est "nette" parait-il et il n y aura pas assez de C dans l'Air et d'éditos exaltés de Valeurs Actuelles pour nous convaincre que l'homme du mouvement perpétuel est de retour : +6 points de popularité. Notre glorieux monarque aurait de nouveau la gagne (c'est le mot d'ordre dans les rédactions). 1 / Le chômage "Travaillez plus, pour gagner plus ?" 2 / La dette. Du lol en lingot.

Pressé d’avoir son avion, Sarkozy a acquis un Airbus ancien au prix du récent…et a dû acheter des moteurs neufs pour 23,4 millions d’euros Nicolas Sarkozy, pressé de renouveler la flotte gouvernementale, a acheté un avion ancien au prix du récent. Rien de grave, s’il n’avait pas fallu in fine acheter des moteurs neufs. Surcoût de l’opération, 23,4 millions d’euros, selon le rapport de la Cour des comptes, qui détaille le financement du nouvel A 330-200 de l’Elysée. Petit retour sur une saga, débutée le 15 février 2008. Ce jour là, le chef de l’Etat major particulier de Nicolas Sarkozy notifie à Matignon la décision de renouveler la flotte gouvernementale, avec une exigence de délais : le nouvel avion du président doit être prêt à l’été 2010. De cette exigence vont naître de considérables surcoûts. Vendu par ILFC 45 millions d’euros, l’avion est finalement acheté 50 millions d’euros par l’Etat. Mais le plus gênant n’est pas là. Bref, l’Etat a acheté du vieux au prix du récent, et cela a fini par lui coûter 23,4 millions d’euros. Signaler ce contenu comme inapproprié Cette entrée a été publiée dans Actualité.

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