background preloader

Bibliothèques publiques et open data : quels enjeux ?

Bibliothèques publiques et open data : quels enjeux ?
En plus des traditionnels open source et open access, les bibliothèques vont être de plus en plus confrontées à l’avenir à un troisième Open, l’Open data. Il faut bien entendu commencer par des fondamentaux. Rassurez vous je ne vous propose pas de long discours, mais une seule présentation, à consulter avant d’aller plus loin. Elle vient de très bons spécialistes de la question : Libertic qui animent un blog de veille de très grande qualité sur ces questions. L’Open Data c’est quoi ? En complément, voici la définition proposée dans cet excellent Guide pratique de l’ouverture des données publiques territoriales proposé par Amandine BRUGIÈRE et Charles NÉPOTE dans le cadre de la FING et accessible ici si vous voulez y contribuer. Comme toute organisation aujourd’hui, un acteur public utilise l’informatique pour préparer toutes ses décisions, produire tous ses services, évaluer toutes ses actions. complèteprimaireopportuneaccessibleexploitablenon discriminatoirenon propriétairelibre de droit

Linked Open Data - Libraries, Archives, Museums If there's one truly ahead-of-the-game area that librarians and archivists can claim, it's data consistency. Consistency and name authority files will propel libraries into deeper semantic engagement. Museums, archives & historical societies will vary and, in some cases, be more difficult, and possibly impossible (???) to engage with. But, the value of museum & archive collections is HUGE. That's the interest of Linked Open Data - Libraries, Archives, Museums (LOD-LAM). The work of @musebrarian and the good folks building the Open-Archives Initiative - Protocol for Metadata Harvesting (OAI-PMH) could be one answer, but moving everyone into that standardized framework might be like pushing a boulder up a cliff. How can we work with collections as they are? Google Scholar abandoned OAI-PMH (a traditional library standard for integrating collections) in favor of using sitemaps and metadata embedded in HTML.

Bibliothèque, open science, open data et données de la recherche au Canada : quels enjeux ? - Par Alexandre Tur Alexandre Tur, chartiste de formation, a obtenu le diplôme de conservateur des bibliothèques de l'enssib en 2015. Il a effectué son stage professionnel au Canada dans le département des services aux chercheurs de la Queen's University de Kingston (Ontario) où il a travaillé en priorité sur l'aide à la gestion des données de la recherche, notamment pour les chercheurs en Humanités, et à la promotion de l'open access au sein de l'université. Il est également l'auteur du mémoire d'étude "Accompagner les citoyens dans l'acquisition d'une culture numérique : le rôle des bibliothèques de lecture publique dans la formation au numérique ". Dans le cadre de son stage professionnel à la bibliothèque de la Queen’s University de Kingston (Ontario, Canada), Alexandre Tur a eu l’occasion de proposer plusieurs formations internes sur les enjeux de la gestion des données de la recherche en Humanités numériques. Cependant, cette situation ne relève pas d’une quelconque spécificité canadienne.

Vers un libéralisme des données ? Mercredi dernier, j’ai été invité par les organisateurs de I-Expo à une table ronde animée par Bernard Benhamou, un vieil ami. Intervenaient également deux autres amis : Stéphane Distinguin et Axel Adida (un entrepreneur confirmé et un entrepreneur dont on entendra bientôt parler). Nous étions donc globalement assez d’accord entre nous. Nous parlions de l’immense bascule qui s’est produite en quelques années : les produits et services grand public sont désormais si performants que la puissance de calcul, la puissance de communication et la puissance de création à l’extérieur des entreprises sont supérieures à ce que l’on trouve à l’intérieur des organisations. Nous évoquions les changements énormes que cela apporte dans l’organisation du travail, dans les stratégies d’innovation, dans la conception des services. Mais une question du public nous a conduit sur un problème beaucoup plus ardu, qui a légèrement troublé notre bel unanimisme. Captation de valeur par les nouveaux monopoles ?

« Open access, open data en bibliothèque » Avec l'avènement des ressources numériques, la fonction des bibliothèques change profondément. Lors de cette demi-journée d’étude, Sitthida Samath et Chérifa Boukacem‑Zeghmouri ont abordé ces nouveaux rôles et responsabilités des bibliothèques par le prisme de l’open access et de la bibliométrie. Open access et open data, un nouveau rôle pour les bibliothèques? Sitthida Samath, assistante de ressources documentaires à l’Institut des Sciences de l’Homme à l’Université Lyon 2 a ouvert cette journée en définissant l’open access et l’open data. L’open access est un mouvement qui propose un accès libre et rapide à la production scientifique (articles, thèses, rapports, etc.). Le mouvement de l’open data est plus récent. Mais quelle est la nature de ces données auxquelles on veut donner accès ? Les données sont donc de nature très diverses. Pourquoi et comment gérer ses données ? Cependant, plusieurs outils existent pour répondre à ce nouveau besoin comme le Data Management Plan (DMP).

OKCon: The 80 Most Popular Data Search Terms According to Google / News / News / Home - ePSIplus - Public Sector Information Auch das Bonusprogramm, welches den Kunden bei den unterschiedlichen Wettanbietern geboten wird, ist bei allen Wettanbietern anders. So kann zum Beispiel bei einigen Wettanbietern der Bonus für die Neukunden höher ausfallen, wenn sich diese bei dem Anbieter registrieren. Dafür hat ein anderer Wettanbieter mehr Aktionen für bereits bestehende Kunden, mit welchen sich diese über Gutscheine oder andere Boni freuen können.

Bibliothèque et Open data. [Texte imprimé] : Et si... L’appli iphone d’une bibliothèque : retours L’appli iphone d’une bibliothèque : retours Lundi 5 décembre 2011 Le 1er avril 2011, la bib’ de Toulouse rendait publique son appli iphone (vous pouvez revoir tout le projet ici). 8 mois plus tard, quels sont les retours ? 1. La bib de Toulouse c’est 70.000 usagers pour 450.000 hbts. L’appli iphone a buggé pendant les six premières semaines, jusqu’à ce qu’une V2 vienne la consolider. L’appli iphone a été suspendue fin septembre 2011 pendant 3 semaines pour cause de non-paiement d’abonnement au programme Apple Dev’. 2. Depuis 6 mois, on est sur un rythme de 10 téléchargements de l’appli par jour. Les mises à jour (de V1 à V2) se sont faites sur ce modèle : 83% des V1 ont été migrées sur la V2. 3. Beaucoup plus dur à déterminer. Mais… Je peux mesurer cela : Le nb de connexions à cet environnement dédié a bel et bien chuté. A très gros traits, je dirais donc que l’usage est de : 100 visites par semaine depuis avril, en hausse de 30% par semestre 4. Pour la V2, les commentaires sont très bons : 5.

Bibliothèques et Open-data Début juillet, la bibliothèque de Rennes métropole, akaLes Champs Libres, ouvrait ses données en open-data. Plus précisément, la publication en open data des données ne concerne que les statistiques de fréquentation et s'est vue portée par le collectif Open Data Rennes. C'était l'opération #biblioviz. Mais encore ? L’open data, ou ouverture des données, est un mouvement visant à rendre les données publiques accessibles à tous les citoyens, qui peuvent ensuite les réutiliser et les redistribuer librement et sans restriction. Les données publiques, i.e. des informations rassemblées, conservées, créées ou éditées par le service public, les administrations, les collectivités, les institutions ou l’état, regroupent : L'objectif est multiple : Et donc ? En France, toujours, plusieurs institutions ont ainsi ouvert leurs données. ouvrir les données, est-ce la panacée ? N'allons pas croire cependant que l'ouverture des données est la réponse à tous les problèmes. En bibliothèques ? Cf aussi :

Related: