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Le scandale financier du siècle - Banque et finance

Le scandale financier du siècle - Banque et finance
"Libor" : l'acronyme ne vous dit peut-être pas grand-chose. Derrière ces cinq lettres se cache pourtant l'un des plus grands scandales financiers présumés de l'histoire. Plusieurs grandes banques internationales sont soupçonnées d'avoir manipulé le London Interbank Offered Rate (Libor en abrégé) afin de camoufler leurs difficultés de financement lors de la crise financière. Parmi elles, que des grands noms de la finance mondiale : Bank of America, Barclays, Citibank, Crédit Suisse, Deutsche Bank, HSBC, JP Morgan, Royal Bank of Scotland, UBS... Dans le collimateur de plusieurs autorités de contrôle (aux Etats-Unis, en Grande Bretagne, au Japon et en Suisse, notamment), ces établissements financiers appartiennent en fait au "club" des 16 banques qui participent à la fixation quotidienne du Libor, le taux interbancaire offert à Londres. "Trafiquer" le niveau réel du Libor peut avoir des conséquences considérables sur les coûts de financement des entreprises et des particuliers.

Nicolas Sarkozy, le président de la dette Jeudi 3 mai 2012 4 03 /05 /Mai /2012 17:01 Hier soir, lors du débat du second tour de la présidentielle (video intégrale), François Hollande (à partir de la 52e minute) a critiqué la gestion désastreuse de la dette publique de la France par Nicolas Sarkozy, en rappelant que la France a atteint 1800 milliards d'euros de dette, 900 milliards depuis 2002 (voir tableaux ci-dessous), et qu'elle a augmenté de 600 milliards depuis 2007 : "La dette publique a-t-il déclaré, a augmenté de 600 milliards d'euros depuis le début du quinquennat de Nicolas Sarkozy. ... Elle était de 900 milliards en 2002, elle est donc passée à 1800. Le double. Voilà la responsabilité d'une équipe sortante depuis dix ans, la dette. En 1980 la dette atteint environ 100 milliards d'euros. Sous les deux mandats présidentiels du socialiste François Mittérand (1981-1995), soit 13 ans, 11 mois et 26 jours, elle est passée de 100 milliards à 663 milliards en 14 ans.

LEAD 1-L'Espagne se prépare à sauver Bankia, qui change de président * Un plan de renflouement de Bankia imminent * Le président de la banque a démissionné * Bankia pourrait recevoir jusqu'à 10 milliards d'euros * Madrid doit dévoiler vendredi un projet de "bad bank" * L'argent public mobilisé en dernier ressort, dit Rajoy (actualisé avec précisions, départ de Rodrigo Rato) par Julien Toyer et Jesús Aguado MADRID, 7 mai (Reuters) - Rodrigo Rato a démissionné lundi de la présidence de la banque espagnole en difficulté Bankia , un départ qui ouvre la voie à un renflouement dont Madrid espère qu'il rassurera les investisseurs internationaux quant à la stabilité financière du pays. Parallèlement, le président du gouvernement, Mariano Rajoy, a ouvert la porte à un recours à l'argent public pour aider le secteur bancaire espagnol, une hypothèse qu'il rejetait jusqu'à présent. L'aide apportée à Bankia prévoit une recapitalisation sur fonds publics de 7 à 10 milliards d'euros, a-t-on appris de deux sources proches du dossier. © Thomson Reuters 2014 Tous droits réservés.

Mark Gongloff: Alan Greenspan Bravely Rushes To JPMorgan Chase's Defense, With A Bucket Of Nonsense It was only a matter of time before it happened: Alan Greenspan has come to the defense of JPMorgan Chase. Yes, the Alan Greenspan, the same man who helped make it possible for banks like JPMorgan to get big enough to annihilate the financial system. The same man who made it easier for those banks to shoot craps with their spare cash while also holding federally insured deposits. The same man who kept derivatives from being troubled by regulation, in the name of market efficiency. The very man, in other words, who is as responsible as any other human being alive or dead for the financial crisis that affects us all to this day. The truly remarkable thing about this story is that Greenspan, rather than being driven from society to live the rest of his days in the wilderness foraging for roots and berries, continues to find people to listen to what he has to say, despite his being utterly discredited. And so it is. It's still Alan Greenspan's world, and we still live in it.

La course folle de la dépense militaire Pendant le temps que vous mettrez à lire cet article, on aura dépensé dans le monde 10 millions de dollars de plus en armes, armées et guerre. La dépense militaire mondiale se monte en effet à 3,3 millions de dollars à la minute. Soit 198 millions par heure, 4,7 milliards chaque jour. Ce qui équivaut à 1.738 milliards de dollars en une année. Ces données sont celles de 2011, publiées hier par le Sipri, le fameux institut international dont le siège est à Stockholm. Les Etats-Unis sont toujours la locomotive de la dépense militaire, avec 711 milliards de dollars, équivalents à 41% du total mondial. Dans les estimations du Sipri, la Chine reste au deuxième rang par rapport à 2010, avec une dépense estimée à 143 milliards de dollars, équivalents à 8% de la dépense mondiale. Suivent la Grande-Bretagne, la France, le Japon, l’Arabie saoudite, l’Inde, l’Allemagne, le Brésil et l’Italie. La dépense militaire continue ainsi à augmenter en termes réels.

Le parapluie fiscal bien caché de BNP Paribas Il y a l’image et il y a les pratiques. Face à l’opinion, BNP Paribas proclame qu’elle est irréprochable en matière de paradis fiscaux, ayant fermé ses filiales à Panama et aux Bahamas. Mais en interne, ses équipes encouragent sans complexe l’évasion fiscale pour leurs clients. La preuve avec un produit au nom prédestiné, la Sicav Luxumbrella, vendue depuis 2005 à la clientèle haut de gamme en Suisse ou à Monaco, et dont l’existence avait été révélée en 2010 par Marianne. Ce sujet gêne au plus haut point le président de BNP Paribas, Baudoin Prot. Interrogé le 17 avril par les sénateurs (lire page ci-contre), il a déclaré que «Luxumbrella n’a pas d’autre objet que de mutualiser la gestion sous mandat pour mutualiser le coût des transactions et des arbitrages facturés par ces gestions collectives». Fraude. Grâce à un tour de passe-passe, BNP Paribas réussit à refourguer cette Sicav à ses clients européens hors du Luxembourg. Défense. Nicolas CORI

Président de la République, Hollande va doubler son salaire Dans sa feuille de route présidentielle, François Hollande a mis cette mesure phare tout en haut: "Je réduirai de 30% la rémunération du président de la République et des ministres". Ce sera sa première décision dès le premier Conseil des ministres, prévu pour le mercredi 16 mai. Actuellement, le président de la République perçoit une indemnité nette mensuelle de 19.331 euros. Pour autant, l'effort est à relativiser si l'on considère que, dès son arrivée au pouvoir, Nicolas Sarkozy avait augmenté cette rémunération de 172%, arguant qu'il fallait l'aligner sur celle du Premier ministre et la rendre plus comparable avec celle des autres chefs de l'Etat européens. Aujourd'hui, Hollande gagne 8.400 euros bruts par mois En tout cas, en décidant de réduire son salaire d'un petit tiers, Hollande s'affiche bien plus vertueux que son prédécesseur Sarkozy, qui avait créé un certain tollé en se contentant de geler son salaire "jusqu’au retour à l’équilibre strict des finances publiques".

De l’argent il y en a Avant tout, il faut réduire "la dette". Les moyens ? Règle d’or, rigueur budgétaire, plan de stabilité... C’est-à-dire réduction des budgets santé, éducation, retraite, c’est-à-dire "assouplissement" du code du travail, c’est-à-dire menace sur la sécurité sociale... Pourtant, chaque année, à cause des paradis fiscaux, l’Etat perd 30 milliards d’euros, deux fois le déficit de la sécurité sociale. Selon Antoine Peillon, l’évasion fiscale est responsable des 600 milliards qui manquent à la France. Mais si les enquêtes n’aboutissent pas, c’est que l’Etat protège les fraudeurs. Pourquoi ? Entretien Daniel Mermet. Programmation musicale : DUVAL MC : "Rentier" Odieu : "Gloire à ma banque" Marty : "L’impôt sur les feignants"

Retraite des élus…Alors combien tu vas toucher (bis) ? Le petit Julien B continue de découvrir un peu comment que ça se passe quand on est élu. Vu que j’ai commencé avec les indemnités , je continue au fur et à mesure… Aujourd’hui, en plus « c’est dans l’actu », les retraites J Mais d’un bout du sujet, qui mérite un peu plus de temps (et si vous vous y intéressez, ne ratez pas la tribune de Louis Chauvel : le débat sur les retraites occulte l’horizon bouché de la jeunesse… ) J’ai mis un peu de temps parce que je n’ai pas compris tout de suite. Donc accrochez-vous un peu… Dans la mallette du nouveau conseiller régional, y avait donc 2 prospectus sur l’épargne retraite. Donc la retraite de l’élu, c’est au moins 2 niveaux… </b>*}Normal me direz-vous. C’est de la retraite par répartition donc. {*style:<b>2 : Le régime de retraite complémentaire : ah ah… « </b>*}Tous les élus qui perçoivent une indemnité de fonction peuvent cotiser de façon facultative à un régime de retraite complémentaire » Là c’est de la capitalisation. « Normal » aussi….

De l’argent il y en a (II Cher Exile, il est peut-être plus facile de réussir dans un pays "sous-développé", à condition de ne pas en être issu ou d’y naître dans une frange privilégiée de la population. En effet il est autrement très difficile d’avoir accès à l’éducation et aux soins si ces derniers sont privés. Les services privés sont peut-être supérieurs, pour quel pourcentage de la population ? Les pays du monde que vous avez cités représentent 7 des quelques 194 pays du monde. Un modèle comme cela ne peut pas fonctionner à plus grande échelle car les pays pré-cités sont totalement dépendants d’autres pays : les fortunes qui s’exilent en ces pays ne se sont pas faites sur place, elles ont été faites, comme vous le citez, dans les “pays sous-développés” (et même dans les pays “développés”) dont la superficie surpasse nettement 3500 km carrés. Les nombres sont tirés de wikipédia.

Combien nous coutent nos dirigeants - Économie À l'heure où on nous parle sans arrêt de crise et de dette publiqueNos dirigeants eux, ont la belle vis, ils ont mis au point depuis quelques années des systèmes qui leur assurent de gros revenus tout en leur garantissant des retraites des plus avantageuses Les retraites des ex présidents par exemple . Le président de la République ne bénéficie ni d'un régime spécial ni même du régime général en matière de retraites. Son indemnité est fixe et ne correspond pas, contrairement à la majorité des retraités, à un montant de cotisation. Une retraite calculée sur l'ensemble de leur carrière Si cette somme peut sembler faible au vu des responsabilités d'un président de la République et de son salaire (réévalué en 2007 par Nicolas Sarkozy à environ 19 000 euros brut par mois), l'ancien chef de l'Etat bénéficie, après son mandat, d'autres avantages en nature : il peut conserver, jusqu'à la fin de sa vie, un garde du corps, une voiture et un bureau pour son secrétariat*. ( Source )

Après son refus de payer sa dette, l’Islande fera le triple de la croissance de l’UE en 2012 23 janvier 2012 Posté par benji sous Argent et politique 12 commentaires Je ne cesserai jamais de répéter que l’Islande est LE pays à prendre en exemple,même s’il est complètement ignoré des médias, s’il est loin ou quelle qu’en soit la raison pour ne pas en parler, c’est le pays à suivre! Payer pour les banques? Même pas en rêve, là bas ils ont été emprisonnés! Sauver les banques? Islande a terminé l’année 2011 avec une croissance économique de 2,1% et selon les prévisions de la Commission européenne, elle va faire le triple du taux de croissance attendu pour l’UE en 2012 (La croissance de l’UE est prévue à 0,5% en 2012 contre 1,5% en Islande). Pendant ce temps dans un pays comme l’Espagne, le ministre l’économie qui fut un grand responsable chez Lehman Brothers, a maquillé les soldes bancaires et a gonflé les résultats pour faire croire à une solvabilité du système financier résultant de la déréglementation des marchés mais ce dernier a fini par s’effondrer. * Journaliste.

La corruption coûte chaque année 120 milliards d'euros aux États membres de l'UE - E-012317/2011 Les États membres de l'Union européenne perdent chaque année 120 milliards d'euros du fait de la corruption, soit presqu'autant que la totalité du budget de l'UE. Prenant la parole à la Conférence annuelle de «Transparency International», observatoire de la corruption, la commissaire Malmström a déclaré: «La corruption est une maladie qui ronge de l'intérieur les pays européens et met à mal la confiance de la population à l'égard des institutions démocratiques». Elle a en outre déclaré que la lutte contre la corruption était essentielle à la stabilité économique de l'Europe et a épinglé à cet égard le manque de volonté politique. 1. 2. 3. 4. 5. 6.

Tribune de Michel Rousseau, président de la Fondation Concorde, sur la fiscalité EurofinsScientific, leader mondial dans les services bioanalytiques ; Sword Group, fournisseur de services informatiques et de logiciels ; Storengy, filiale stockage gaz de GDF-Suez. Ces trois sociétés viennent d'annoncer leur intention de délocaliser leur siège social au Luxembourg. Ces délocalisations, qui ne se limitent pas à quelques dirigeants, sont désastreuses pour notre économie. Plus que jamais, notre fiscalité constitue une machine infernale à exporter les capitaux, les entreprises et les emplois. Un investisseur ne peut plus résider en France. On estime ainsi entre 50.000 et 100.000 le nombre de Français résidants à l'étranger pour des raisons fiscales. Le mouvement a toujours été délibérément sous-estimé par les autorités françaises qui ne recensent que les exils des Français redevables de l'ISF et non ceux des chefs d'entreprise propriétaires de leur outil de travail non redevables de l'ISF, qui sont pourtant les cas de figure les plus courants.

Sarkozy champion incontesté de la dette // Et incidence de la Loi “Pompidou Giscard” de 1973 Discours convenu : la droite est rigoureuse, la gauche dépensière…A y regarder de plus près… Il suffit d’un graphique, d’un tableau et d’un court rapport de la Cour des Comptes pour montrer et expliquer aux Français : Que la dette a baissé sous le gouvernement Jospin : en 1997 elle était de 59,5 % du PIB et en 2002 de 59,1 % du PIBQue la dette a augmenté, depuis 2002, de 248 Mds d’euros sous Chirac et d’environ 500 Mds d’euros sous Sarkozy (à fin 2011)Que Sarkozy et Fillon mentent effrontément aux Français sur les causes de la dette Le graphique est téléchargeable sur Le tableau est au chapitre « Evolutions récentes » sur Le rapport est téléchargeable sur Sarkozy et Fillon nous répètent « Les dépenses et les prélèvements obligatoires sont trop élevés.

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