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La motivation au travail

La motivation au travail
La motivation au travail « fait référence aux énergies investies pour initier et réguler les comportements liés à un emploi et qui déterminent la forme, la direction, l’intensité et la durée de ces dits comportements » selon Jacques Forest et Geneviève A. Mageau, chercheurs en psychologie à l’université du Québec à Montréal (2008). En effet, la motivation au travail varie en forme et en intensité, ce qui la rend multidimensionnelle. Les différentes formes de la motivation La théorie de l’autodétermination (TAD) contribue à comprendre plus finement la motivation au travail à travers deux grands types de motivation : la motivation autonome et la motivation contrôlée. La motivation autonome Cette forme de motivation est dite autonome car elle s’auto-entretient, elle est donc peu coûteuse en énergie, contrairement à la motivation contrôlée. La forme de motivation la plus autodéterminée est la motivation intrinsèque. La motivation contrôlée Related:  ghjuliane

Réussir son journal interne : conseils et exemples Nous n'insisterons jamais assez au sujet de l'importance de la communication interne. Un de ses objectifs majeurs est d'aider à obtenir une certaine cohésion au sein de l'entité. Le journal interne est un outil au service de ce type de communication. Pourquoi créer un journal interne ? Il permet entre autre de renforcer le lien entre la direction de l'entreprise et ses employés. Ce support fait partie de la palette des outils à la disposition de l'entreprise pour communiquer avec ses employés. Comment procéder pour produire une telle publication ? Les étapes sont classiques et commune à d'autres supports, à savoir : définir l'objectif général et la cible pour chaque publication, fixer la ligne éditoriale, concevoir la forme du contenu et sélectionner les sujets à traiter. Contenu d'un journal interne Quelles informations faire apparaître ? Pour en savoir plus au sujet des objectifs, du contenu, et de la conception, nous avons sélectionné plusieurs ressources. Des conseils... Articles Lantrefilet

Climat, stress et qualité de vie au travail – Baromètre Cegos 2014 Cette année, Cegos publie la 16ème édition du baromètre « Climat, stress et qualité de vie au travail ». 700 salariés, 290 managers et 145 DRH-Responsables des RH d’entreprises privées, en France, ont été interrogés cours des mois de septembre et octobre 2014. Les points clés de l’édition 2014 Le climat social se dégrade, les salariés et les managers sont de moins en moins motivés et pourtant ils restent impliqués. les risques psycho-sociaux, et particulièrement le stress, sont à des niveaux records. Managers et DRH sont attentifs à l’amélioration de la qualité de vie au travail. Découvrez le baromètre sous toutes ses formes Présentation : les résultats complets du baromètre Téléchargez le baromètre sur le climat, le stress et la qualité de vie au travail (.pdf) Infographie : l’essentiel en un coup d’œil Téléchargez l'infographie (.pdf)

Pyramide de Maslow : motivez à partir des besoins Définition de la théorie de Maslow Abraham Maslow est un psychologue américain né dans les années 1900 et père de la théorie en question. Ses recherches montrent que les motivations des êtres humains naissent dans des besoins à satisfaire hiérarchisés en 5 niveaux . Une hiérarchie qui débute par les besoins physiologiques jusqu'à l'étape ultime, l'accomplissement de soi. Il est question de hiérarchie, car les besoins les plus bas dans la pyramide doivent être satisfaits en priorité avant ceux positionnés à l'étage supérieur. Néanmoins, cela ne signifie pas pour autant qu'un besoin ne peut être satisfait si le précédent ne l'est pas totalement . La pyramide des besoins Besoins physiologiques : dormir, se nourrir, boire, s'habiller... La représentation sous forme de pyramide n'est pas d'A.Maslow Applications des travaux La pyramide de Maslow est surtout enseignée dans les écoles de commerce pour étudier en marketing le comportement des consommateurs .

Assurer la santé et le bien-être de ses salariés La santé du point de vue du développement durable à l’échelle des entreprises, ce n’est pas seulement l’application de la législation qui impose la prévention des maladies et risques professionnels mais c’est aussi un démarche volontaire, source de cohésion sociale, de bien être pour les salariés et donc au final de motivation générale. Repère : L’entreprise a tout intérêt d’assurer la santé de son personnel Moins d’absentéisme et les problèmes de coûts et d’organisation liés Favorise une meilleure ambiance de travail, limite le stress et engendre de meilleures performances Limite le risque d’accident et d’engagement de la responsabilité de l’entreprise Mettre en œuvre un plan santé et sécurité pour votre entreprise constitue un véritable politique de longue durée, pour laquelle il convient de faire intervenir tous les parties prenantes de l’entreprise (comité d’hygiène et sécurité, représentants du personnel, syndicats…). Votre plan d’actions en 2 étapes

Travail : le coût du présentéisme plus élevé que celui... de l'absentéisme INFOGRAPHIE - Avec la crise, les employés sont plus enclins à venir travailler en toutes circonstances. Or un salarié présent à son poste mais fatigué ou malade est peu productif, ce qui a un coût considérable pour l'entreprise. Le surinvestissement au travail est néfaste à la santé des employés et la productivité des entreprises. Pour lutter contre ce phénomène, le Japon a décidé de forcer les travailleurs à prendre un minimum de 5 jours de vacances par an. De fait, Matthieu Poirot, fondateur du cabinet Midori Consulting, explique «qu'avec la crise, les salariés sont de plus en plus enclins à venir travailler, même malades ou fatigués. Une comparaison entre pays permet d'établir un lien inversement proportionnel entre taux de productivité et temps passé au travail. Les travailleurs français se situent dans la moyenne. «Les entreprises qui n'investissent pas sur la qualité au travail le paient en termes de chiffre d'affaires», alerte ainsi Matthieu Poirot.

Bilan de compétences, un outil trop souvent inefficace Tournés vers le passé, peu pertinents, bâclés… Sauf exception, les bilans ne remplissent pas leur rôle. Explications. Moi, ils m’ont dit que j’étais faite pour les métiers administratifs. Je me demande encore comment ils en sont arrivés à cette conclusion…», s’interroge Isabelle Sadate, aujourd’hui formatrice free-lance. La jeune femme travaillait en salle des marchés lorsqu’elle a décidé d’effectuer un bilan de compétences (BC) : «Je voulais valider mon projet d’acquérir une spécialité en mathématiques financières pour évoluer dans ma branche. C’est souvent le cas lorsque ces bilans sont pris en charge par des sous-traitants de Pôle emploi, car leur principal objectif est de recaser le plus vite possible les chômeurs en fonction des jobs disponibles. Amateurisme. De nombreux acteurs (cabinets de con­seil ou de recrutement, coachs…) se proposent de fournir cette prestation.

Les risques psychosociaux au travail On parle de souffrance relationnelle au travail lorsqu’une personne ou un groupe de personnes ressent un mal-être à cause des relations qu'elle vit sur son lieu de travail. Il s'agit par exemple de situations de conflits graves ou d'abus. On parlera plus précisément : de violence lorsqu’une personne est menacée ou agressée physiquement ou psychiquementde harcèlement moral lors de conduites abusives et répétées dirigées à l’encontre d’une ou plusieurs personnesde harcèlement sexuel lorsqu’on observe un comportement à connotation sexuelle non désiré. Tous ces comportements ont de graves conséquences sur l’équilibre psychologique du travailleur. Ils peuvent provoquer des angoisses, de l’agressivité, du stress, de la dépression, voire un stress post-traumatique. Les impacts négatifs du harcèlement se font également sentir sur l’entourage professionnel et créent un mauvais climat de travail, diminuant la qualité du travail. Pour plus d’informations : www.respectautravail.be

Adoption de la flexibilité au travail : où en sont les entreprises D’après les points de vue recueillis auprès des dirigeants & managers RH du monde entier dans notre baromètre international, nous constatons que la fonction RH connaît un changement radical. Elle n’est désormais plus considérée comme une fonction administrative et s’oriente davantage sur le recrutement, le développement et la gestion des talents. C’est pourquoi les entreprises s’appliquent à offrir à leurs salariés un environnement flexible, répondant à leurs souhaits d’évolution ou d’équilibre vie pro/vie perso par exemple. 66% des entreprises ont adopté des conditions de travail flexibles… … mais seulement la moitié d’entre elles déclarent s’appuyer sur une charte écrite. Royaume-Uni et Irlande : 72,7%Luxembourg : 53,7%Allemagne : 50,8%Australie : 46,5% Autre constat : si la plupart des entreprises proposent une certaine flexibilité dans le travail, celle-ci ne s’applique pas à l’ensemble des équipes. Quelles sont les mesures les plus fréquemment mises en place ?

Facteurs de la démotivation des salariés | Causes et conséquences | Les thématiques | Enjeux et Obligations RH La motivation est essentielle pour l’efficacité des salariés comme pour celle de l’entreprise. Malheureusement, elle peut être altérée par de nombreux facteurs. Pour réduire le risque de démotivation, ces facteurs doivent donc être identifiés et surveillés de très près par les cadres dirigeants. Quels sont les causes et facteurs de démotivation des salariés ? Les causes multiples de la démotivation peuvent être regroupées en trois catégories. La démotivation liée à l’individu La démotivation au travail est variable en fonction des individus. La démotivation liée aux relations de travail Parmi les facteurs de démotivation des salariés, des relations tendues ou inexistantes avec la hiérarchie ou les collègues de travail altèrent considérablement le plaisir que l’on peut éprouver au travail et qui est l’une des principales sources de motivation. Un travail où l’on a peu de contact avec les autres est source d’isolement, le salarié ne se sent pas intégré dans la vie de l’entreprise.

Génération Z : pas encore dans l'entreprise, elle inquiète déjà - Mobilité interne - Fidelisation des salariés - Focus RH Elodie Gentina, professeure à Skema Business School, enquête depuis dix ans sur cette génération Z qu'elle a vue grandir. Elle livre ses observations dans "Marketing et génération Z, nouveaux modes de consommation et stratégies de marque"*. Ils ne sont pas encore dans l'entreprise, mais inquiètent déjà les managers. Quel est le portrait de la génération Z ? Pour la comprendre, il faut se repérer par rapport à la génération Y, qualifiée de « digital migrant ». Cette génération est-elle fondamentalement différente de la précédente ? Si la génération Y comptait ses amis par quantité sur les réseaux sociaux - bien souvent au détriment de la qualité - et partageait beaucoup de vidéos, la Z est plus sélective : elle recherche de l’intimité dans la relation aux autres, délaisse Facebook, trop « voyeur », au profit de SnapChat, où les photos s’effacent une fois vues. Comment va se développer la relation de ces jeunes à l’entreprise ? Que peut proposer l'entreprise ?

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